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La méditation influence la mémoire et l’empathie

Le Psychiatry Research rapporte que la méditation aurait des effets notables sur la mémoire, la conscience de soi et l’empathie.
 
Les chercheurs ont suivi 16 personnes qui s’adonnaient à un programme de réduction du stress basé sur des mouvements de yoga et sur la méditation pleine conscience, qui consiste à porter volontairement attention aux sentiments, sensations et états d’esprit sans porter de jugement. Ce programme durait huit semaines.
 
On a effectué des imageries cérébrales des participants en les comparant à un groupe témoin également. On a remarqué que ceux qui pratiquaient la méditation avaient plus de matières grises dans l’hippocampe, la zone du cerveau qui gère l’apprentissage et la mémoire, ainsi que dans trois autres zones liées à la conscience de soi, l’empathie et l’introspection.
 
Toutefois, il s’agit encore de résultats préliminaires et les chercheurs demeurent prudents. Ils souhaitent approfondir les recherches avant de se prononcer davantage.
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Des aliments pour favoriser une bonne mémoire

Si vous souhaitez améliorer votre mémoire, sachez qu’il existe certains aliments plus bénéfiques que d’autres. Le journal The Sun rappelle que ces aliments aident à maintenir le bon fonctionnement de la mémoire, mais sont aussi efficaces pour lutter contre la dépression et prévenir la formation de tumeurs cérébrales.
 
D’abord, il y a les fruits riches en flavonoïdes, les fraises plus particulièrement, qui améliorent le fonctionnement de la mémoire. Les bleuets également, riches en antioxydants, diminuent également le stress subi au cerceau.
 
Les jaunes d’œufs aident au bon développement de la mémoire, de même que les grains de café qui contiennent des vitamines, minéraux, antioxydants et acides aminés. Des études affirment que boire du café régulièrement diminue les risques de démence.
 
Le saumon est aussi un aliment à ne pas négliger, car il est riche en oméga-3 avec DHA élevé. Un faible taux de DHA dans le cerveau favorise les pertes de mémoire ainsi que les troubles de concentration et d’humeur.
 
Finalement, les noix contiennent également des oméga-3, mais aussi de la vitamine E qui aide à maintenir la bonne santé du cerveau.
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Plusieurs aliments aident à conserver une bonne mémoire

Si vous avez tendance à oublier plusieurs petites choses, comme vos clés ou votre téléphone portable, c’est sans doute parce que la majorité du temps, vous faites plusieurs tâches en même temps. Toutefois, cela indique également un déclin de votre mémoire.
 
Cependant, il n’y a pas lieu de vous inquiéter. Selon le site MedicMagic, il est possible de conserver une bonne mémoire simplement en mangeant les bons aliments.
 
Les légumes, les bleuets, le cacao, le café, les jaunes d’œufs, le curry indien, le vin rouge, le romarin, le saumon, la sauce tomate et les noix sont autant d’aliments qui préservent vos facultés.
 
Des études ont démontré que les substances chimiques naturelles contenues dans ces aliments, épices et boissons pouvaient préserver votre mémoire. Ce sont donc des aliments à ne pas négliger qui devraient se retrouver régulièrement dans votre alimentation quotidienne.
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Marcher ralentit la perte de mémoire

Une étude américaine publiée dans Proccedings of the National Academy of Sciences (PNAS) démontre que les personnes de plus de 55 ans qui marchent régulièrement n’auront pas d’atrophie de l’hippocampe de leur cerveau.
 
L’étude a été effectuée auprès de 120 personnes de 55 à 80 ans. Au début de l’étude et six mois après la fin de celle-ci, un examen de résonnance magnétique a été effectué.
 
Au terme de la recherche, les chercheurs ont constaté que les personnes qui marchaient à un rythme modéré pendant 40 minutes, trois fois par semaine, avaient vu le volume de leur hippocampe être augmenté.
 
C’est cette région du cerveau qui joue un rôle primordial dans la mémoire. En vieillissant, l’hippocampe s’atrophie, mais la marche régulière peut renverser ce processus.
 
Après un an, les marcheurs avaient vu leur hippocampe gauche augmenter de 2,12 % et leur droit de 1,97 %. Chez les personnes qui n’avaient pas marché régulièrement, leur hippocampe gauche avait rétréci de 1,4 % et le droit de 1,43 %.
 
« Nous pensions que l’atrophie de l’hippocampe en vieillissant était pratiquement inévitable, mais nous avons montré par cette étude que des exercices cardiovasculaires, même modérés, pendant un an pouvaient accroître la taille de cette structure cérébrale et que le cerveau, à ce stade de vieillissement, restait modifiable », mentionne l’auteur principal de l’étude, Kirk Erickson.
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Une simple conversation peut aider à préserver la mémoire

Des scientifiques de l’Université de Zurich ont découvert qu’une simple conversation était aussi efficace pour le cerveau que les nombreux jeux qui existent sur le marché pour exercer la mémoire.
 
Selon le Daily Mail, les chercheurs ont comparé 36 études sur la mémoire réalisées entre 1970 et 2007. Plusieurs disaient que les personnes âgées en bonne santé arrivaient à mieux se souvenir de différentes choses après des entraînements pour la mémoire. D’autres études révélaient que les résultats étaient les mêmes avec de simples conversations entre les gens.
 
La perte de mémoire n’est pas identique pour tous les individus en vieillissant. Pour certains, cela se caractérisera aussi par une incapacité à planifier les choses, à leur porter une attention particulière ou à exécuter des tâches aussi rapidement qu’auparavant. Chez d’autres, ce ne seront que les pertes cognitives qui se feront remarquer.
 
Par le passé, il a été observé que les personnes âgées qui étaient moins isolées et moins seules avaient un déclin cognitif moins rapide et moins prononcé que celles qui souffraient de solitude.
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Influence des émotions sur le TDAH

Une récente étude de l’Université de l’Illinois à Chicago a levé le voile sur l’influence des émotions sur la mémoire chez des enfants avec des problèmes d’attention ou de bipolarité.

Pour ce faire, on a observé l’activité cérébrale d’enfants qui devaient faire une tâche requérant la mémoire active demandant la reconnaissance de visages exprimant diverses émotions.

Parue dernièrement dans le Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry, la recherche comptait 56 jeunes participants âgés de 10 à 18 ans.

Parmi eux, 23 étaient bipolaires, 14 souffraient du TDAH et 19 ne vivaient aucun de ces problèmes de santé. Aucun des enfants souffrant de bipolarité ou du trouble de l’attention ne prenait de médicaments.

Il en est ressorti que les deux premiers groupes accusaient une dysfonction du cortex préfrontal lors de l’expérience. De plus, ceux atteints du TDAH avaient la dysfonction la plus sévère des trois groupes.

Rappelons au passage que le cortex préfrontal est responsable de la mémoire active, du langage et de l’attention, entre autres.

La voie à suivre pour le traitement de ces troubles du comportement serait donc d’aider les patients à employer cette partie de leur cerveau.

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Un programme qui soulage des symptômes de l’hyperactivité chez les enfants

Dans le cadre d’une étude de l’Université de l’Ohio, des enfants qui avaient utilisé un programme à l’ordinateur ont vu certains de leurs symptômes du trouble envahissant du développement avec hyperactivité (TDAH) s’améliorer.

Après avoir passé cinq semaines intensives d’utilisation de ce programme d’entraînement de la mémoire, ils ont présenté de meilleures aptitudes en organisation et en planification notamment.

L’étude a porté sur 52 enfants de 7 à 17 enfants, lesquels visitaient tous une école spécialisée en difficultés d’apprentissage. Plusieurs d’entre eux étaient atteints du TDAH et 60 % prenaient des médicaments.

Le premier point visé par cet outil est justement la mémoire, qui constitue la déficience majeure des personnes atteintes de TDAH.

Il est constitué de 25 exercices que les sujets de l’étude devaient compléter à la maison, sous la supervision de leurs parents et des chercheurs, dans un délai de 5 à 6 semaines. Chaque partie durait de 30 à 40 minutes.

Parus dans le Journal of Clinical Child & Adolescent Psychology, les résultats de cette recherche donnent beaucoup d’espoir aux enfants atteints de ce trouble.

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Le décalage horaire altère la mémoire et la concentration

Une étude américaine dévoile que les effets du décalage horaire sont beaucoup plus persistants qu’on ne le pensait.
 
Les personnes qui voyagent à l’étranger ressentent de la fatigue, de la confusion et de l’insomnie en raison du changement d’heure provoqué par le déplacement. Habituellement, ces effets se dissipent après quelques jours, mais les impacts sur le cerveau demeurent plus longtemps.
 
On a soumis un groupe de hamsters, animal qui possède le même rythme circadien que les humains, à un décalage de six heures deux fois par semaine pendant un mois. Les niveaux de performances d’apprentissage et de mémorisation ont été évalués à la deuxième semaine, mais aussi après un mois de retour à la normale.
 
Même après un mois, les rongeurs soumis au décalage avaient plus de difficultés à effectuer de simples tâches comparativement au groupe témoin.
 
Selon la revue PLoS ONE, cela démontre que le décalage horaire aurait des effets persistants sur le cerveau. Ce phénomène est observé chez les employés de compagnies aériennes et les travailleurs de nuit. Des décalages répétés affectent la mémoire et la concentration. De plus, ces personnes auraient tendance à souffrir davantage de diabète, d’hypertension et de maladies cardiaques.
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Bien dormir pour avoir une bonne mémoire

Dormir régulièrement huit heures par nuit permet de conserver une bonne mémoire, selon une étude parue dans le journal Current Directions in Psyhcological Science.

Apparemment, les gens qui ont un sommeil réparateur organisent mieux leurs souvenirs. Ce faisant, ils ont également plus d’idées nouvelles et créatives.

« Avec le rythme effréné de notre société, l’une des premières choses que l’on réduit est le sommeil. Je pense que cela vient d’un malentendu profond qui veut que le cerveau endormi ne fasse rien du tout. Les personnes qui disent qu’elles dormiront lorsqu’elles mourront mettent à mal leur capacité d’avoir de bonnes idées », explique Jessica D. Payne, coauteure de l’étude, dans un communiqué.

Pour vous aider à mieux dormir, il serait préférable d’éviter la caféine et l’alcool, d’installer une routine pour vous relaxer avant de vous coucher, de faire de l’exercice régulièrement et de faire en sorte que votre chambre soit sobre, confortable et éloignée des bruits.

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La marche maintient notre cerveau en bonne santé

Une nouvelle étude démontre d’autres bienfaits de la marche.
 
Après avoir demandé à 299 personnes âgées de calculer le nombre de kilomètres parcourus à pied chaque semaine, on a découvert que de marcher 9,5 km par semaine prévenait le rétrécissement du cerveau et préservait la mémoire.
 
« La taille du cerveau rétrécit avec l’âge, ce qui peut entraîner des problèmes de mémoire. Nos résultats devraient encourager les essais bien encadrés d’exercice physique chez les personnes âgées comme des approches prometteuses pour éviter la démence et la maladie d’Alzheimer », mentionne l’auteur de l’étude Kirk Erickson, de l’Université de Pittsburgh aux États-Unis.
 
Selon le magazine Neurology, cette recherche s’est échelonnée sur neuf ans. Au terme de ces années, les cerveaux des participants ont été numérisés et quatre ans plus tard, on a refait des examens pour évaluer les traces de démence.
 
Après neuf ans, les personnes qui avaient marché 9,5 km chaque semaine avaient plus de matière grise au cerveau. Quatre ans plus tard, celles qui avaient marché le plus avaient deux fois moins de problèmes cérébraux que les autres.