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La mémoire à court terme à 30 semaines

La mémoire à court terme est déjà présente à la naissance du bébé, selon une équipe de chercheurs du Centre médical associé à l’Université Maastricht aux Pays-Bas. En fait, cette capacité mnémonique est observée dès la 30e semaine de gestation.

« C’est un pas vers une meilleure compréhension du développement du système nerveux central chez le foetus », a indiqué le coauteur de l’étude, le Dr Jan G. Nijhuis.

Ce dernier a travaillé avec 93 futures mères et a mesuré la réponse du bébé à une stimulation vibroacoustique répétée. Lorsque ce dernier ne réagissait plus à la stimulation, les chercheurs en ont conclu qu’il s’était habitué à la stimulation et que cela représentait une forme de souvenir chez le foetus.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans l’édition de juillet de la revue Child Development.

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Les résultats d’une cuite d’un soir

Une équipe de chercheurs espagnols a découvert qu’une soirée très arrosée peut être néfaste au niveau des fonctions cérébrales et de la mémoire, rapporte Radio-Canada.ca

Les chercheurs ont réalisé cette étude auprès d’un groupe d’étudiants universitaires espagnols de première année qui n’étaient pas sous l’influence de l’alcool afin de découvrir les répercussions d’une consommation abusive d’alcool.
 
Ils ont découvert que même si ces étudiants n’avaient pas de problèmes de consommation d’alcool ou d’autres substances, et qu’ils n’avaient aucun trouble psychique, leur consommation parfois excessive d’alcool réduisait leur facilité à effectuer un travail donné. Les sujets devaient mettre plus d’efforts pour effectuer cedit travail.
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Les effets de la radiothérapie

Selon l’équipe de la Dre Linda Douw du département de neurologie du VU University Medical Central, à Amsterdam, les traitements de radiothérapie contre les tumeurs au cerveau ne sont pas sans effet secondaire indésirable.

En mesurant les fonctions cérébrales auprès de 65 patients 12 ans après les traitements, les chercheurs ont conclu que la radiothérapie entraîne une diminution des capacités cognitives, notamment en ce qui concerne l’attention, la mémoire et le traitement de l’information.

Les effets du traitement ont été observés uniquement à long terme, ce qui amène la Dre Douw à conseiller de repenser le recours à la radiothérapie. Cette dernière propose également que d’autres études soient menées en vue d’évaluer la pertinence de la chimiothérapie.

 

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Le mécanisme derrière la mémoire à long terme

Une recherche, dont les détails sont publiés dans la revue Science, nous apprend une découverte majeure en matière de mémoire à long terme.

En effet, des travaux menés par des chercheurs de l’Université McGill et de l’Université de Californie à Los Angeles ont permis de visualiser, pour une première fois, la formation de protéines aux synapses, la zone de contact entre les neurones.

Selon les chercheurs, ce processus forme les souvenirs et renforce ainsi la mémoire.

Une telle découverte pourrait éventuellement mener à une meilleure compréhension des maladies entraînant une perte de mémoire, comme la maladie d’Alzheimer.

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La mémoire qui flanche et la ménopause

Selon le Dr Arun S. Karlamangla, professeur de médecine à l’Université de la Californie à Los Angeles, la ménopause pourrait faire diminuer l’acquisition de nouvelles connaissances et la mémoire.

Ces changements, jugés mineurs par le chercheur, ne sont toutefois que temporaires, le temps que cessent complètement les règles. « La bonne nouvelle, c’est que les femmes qui ont terminé la transition de la ménopause retrouvent leurs performances cognitives et mnémoniques », a souligné M. Karlamangla.

2 362 femmes âgées de 45 à 57 ans ont participé pendant quatre ans à cette recherche où l’on évaluait leur mémoire à court terme en fonction des quatre stades liés à la ménopause.

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Le déclin cognitif est sans issue

Les personnes âgées ne devraient pas dépenser une fortune en achetant des programmes d’entraînement mental, puisqu’ils ne préviennent nullement contre le déclin cognitif, soutiennent des chercheurs new-yorkais.

Selon le Dr Peter J. Snyder et son équipe du Lifespan Affiliated Hospitals de Providence, les exercices vendus pour améliorer la mémoire n’ont pas fait leurs preuves scientifiques, bien que les ventes de ce type de produits aient atteint les 225 millions cette année aux États-Unis.

Les chercheurs ont évalué 10 approches différentes, allant des programmes informatiques à des leçons de piano, pour conclure qu’à court terme, les sujets avaient un bon rendement aux programmes d’entraînement, mais que les effets à long terme n’étaient pas concluants.

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La fumée secondaire et le déficit cognitif

Une recherche, publiée dans la revue scientifique British Medical Journal, démontre que l’incidence de troubles cognitifs, comme la perte de mémoire, augmente lorsque le sujet est exposé à la fumée secondaire.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs des universités de Cambridge et du Michigan ont évalué le taux de cotinine prélevée dans la salive de 5 000 adultes de 50 ans et plus qui se déclaraient non-fumeurs.

Par la suite, une série de tests a permis de mesurer leurs capacités mnémoniques, en calcul mental et en langage.

Il en résulte que plus le taux de cotinine était élevé, moins les résultats aux tests neuropsychologiques étaient élevés.

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Les résultats d’une journée consacrée à la mémoire

Dans le cadre de la Journée nationale d’évaluation de la mémoire, la Fondation d’Alzheimer pour les proches aidants au Canada (FAPAC) a fait connaître les résultats d’un sondage qui nous apprend que 65 % des participants ayant subi un dépistage étaient inquiets d’une défaillance de la mémoire.

Cette inquiétude ne les pousse toutefois pas à consulter un professionnel de la santé, alors que seulement 12 % en ont parlé à leur médecin.

Le 12 novembre dernier se tenait une journée consacrée au dépistage des troubles de la mémoire à l’échelle nationale. Près de 1 000 personnes se sont prévalues des évaluations gratuites.

Les candidats ont mentionné avoir participé à cet évènement pour plusieurs raisons, dont les oublis fréquents (46 %) dont ils souffraient ou encore, l’inquiétude d’être touché par la maladie d’Alzheimer comme l’un des membres de leur famille (21 %).

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La perte de mémoire liée à la substance blanche

Contrairement à plusieurs recherches sur le sujet, il semble que ce soit la matière blanche dans le cerveau qui joue un rôle dans les pertes de mémoire, affirment des neurologues du Massachusetts Institute of Technology.

Ces derniers ont comparé des gammagraphies cérébrales de sujets adultes et âgés en bonne santé. Ils ont découvert qu’une altération de la matière blanche chez les personnes âgées était observée lorsqu’il y avait perte de mémoire et de capacités cognitives.

Plusieurs chercheurs croyaient que c’était la matière grise qui pouvait expliquer les pertes de mémoire, mais il semble que la substance blanche, faite de fibres nerveuses myélinisées, favorise la communication entre les différentes parties du cerveau.

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L’alcool, bon pour le cerveau

Une étude, que l’on retrouve dans le Journal of the American Geriatrics Society, affirme qu’une consommation modérée d’alcool peut être bénéfique pour le cerveau des femmes.

3 000 participantes, âgées de 70 à 82 ans, ont collaboré à cette recherche menée par le Dr David J. Stott et ses collègues de l’Université de Glasgow. Parmi les sujets, celles qui buvaient de 1 à 7 verres d’alcool par semaine avaient de meilleurs résultats aux tests cognitifs que les participantes qui ne buvaient pas du tout.

Le Dr Stott, qui insiste sur la consommation modérée, croit que l’alcool peut préserver le cerveau du déclin pendant quelques années. « Si vous buvez trop d’alcool, il est évident que cela affecte la mémoire et le cerveau », a-t-il conclu.