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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »

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Les suppléments et les oméga-3 n’amélioreraient pas les performances cognitives

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche sur les capacités cognitives, et qui attaque le mythe qui veut que la prise de suppléments alimentaires comme l’huile de poisson améliore les performances du cerveau.

Ces conclusions proviennent des recherches conduites à l’Hôpital St Michael de Toronto, et elles risquent de ne pas plaire aux amateurs de produits naturels et de compléments alimentaires, notamment ceux riches en oméga-3.

C’est qu’on associe depuis longtemps ces produits à une meilleure capacité cognitive, ce que réfutent les chercheurs canadiens.

Ces derniers suggèrent plutôt de se tourner vers des jeux qui stimulent le cerveau et l’esprit, comme de simples mots croisés ou encore le sudoku.

Plus efficaces, presque gratuits, et n’influençant aucunement votre régime alimentaire et vos apports nutritifs, ces jeux pourraient bien avoir un impact direct et vérifiable sur vos performances cognitives.

C’est après avoir analysé et compilé des données issues de 32 essais cliniques, qui touchaient par ailleurs près de 25 000 patients, que les chercheurs torontois sont arrivés à cette conclusion simple, mais importante.

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Le thé serait aussi bénéfique pour le cerveau

Top Santé rapporte une étude en provenance de Singapour, effectuée en collaboration avec des chercheurs américains, qui donne une nouvelle raison de se mettre au thé.

Et spécialement si vous commencez à prendre de l’âge, puisque ces recherches démontrent l’impact significatif du thé sur le cerveau et la prévention du déclin cognitif.

Par déduction, on peut donc prétendre que le thé permet de contrer partiellement le développement de la maladie d’Alzheimer. Après tout, on rapporte que des 1500 hommes et femmes aux prises avec des problèmes cognitifs ou de la mémoire soumis à l’étude, plusieurs ont retrouvé des capacités cognitives étonnantes.

Du lot, ceux qui avaient bu plus de quatre tasses de thé par jour durant une période donnée ont vu leurs troubles de mémoire baisser de 75 %. Le chiffre tombe à près de 50 % pour ceux qui en consommaient trois par jour.

Publiée dans la plus récente édition d’Advances in Nutrition, l’étude confirme que tous les sujets ont démontré de meilleures réactions ou performances lors des tests cognitifs effectués.

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Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050

Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050, rapporte The National Library of Medicine, alors que des chercheurs américains publient une étude sur le sujet.

Il s’agit d’un constat alarmant s’il en est un, puisqu’on trace des prévisions sombres en matière d’Alzheimer dans les années à venir. 13,8 millions de personnes pourraient être atteintes de la maladie dans les prochaines décennies aux États-Unis seulement, une hausse explicable en partie par le vieillissement des baby-boomers.

« Notre étude attire l’attention sur le besoin urgent de plus de recherches, de traitements et de stratégies préventives pour contrer cette épidémie », croit la coauteure de l’étude et professeure associée Jenniver Weuve, du Rush University Medical Center de Chicago.

Plusieurs autres spécialistes, dont ceux du National Institute on Aging, croient qu’il s’agira en effet de l’épidémie de l’avenir, à mesure que la moyenne d’âge de la population augmente avec le temps.

Plusieurs traitements permettent de réduire les symptômes de la maladie d’Alzheimer, mais aucun ne permet d’en guérir.

Cependant, certaines percées encourageantes dans le domaine permettent d’entretenir l’espoir qu’un traitement sera finalement découvert ou mis au point.

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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Bobby Womack souffre d’Alzheimer

Bobby Womack avoue qu’il a de la difficulté à accepter sa maladie. Il a déjà des troubles de mémoire lorsqu’il tente de se rappeler le nom de ses chansons et collaborateurs.

Il a confié, selon NME : « Les médecins disent qu’il y a des signes d’Alzheimer. Ce n’est pas encore très avancé, mais ça s’amplifiera ».

Troublé, Womack a aussi ajouté : « Comment est-ce possible de ne pas se rappeler les chansons que j’ai écrites? C’est frustrant. Je ne l’accepte pas encore. Des choses très négatives me passent par la tête, mais même ça, c’est difficile à garder en mémoire ».

Le plus récent album de l’artiste, lancé en 2012, s’intitule The Bravest Man In The Universe. Ne plus se souvenir de ses récents collaborateurs le blesse beaucoup.

Le premier opus de Womack était dévoilé en 1954, sous le nom de Curtis Womack And The Womack Brothers. Plus tard, le nom du groupe a été modifié pour The Valentinos.

Le jeune Womack de l’époque a été découvert par un pionnier du soul, Sam Cooke. Le groupe a rapidement obtenu la notoriété nécessaire pour poursuivre sa carrière

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L’alcool fait perdre la mémoire, ce qui complique le sevrage

(AFP) – Les alcooliques souffrent souvent de troubles de la mémoire qui compliquent singulièrement leur prise en charge, mais sont pour la plupart réversibles après abstinence, ont indiqué des spécialistes à Paris.

« Les atteintes sont très variables », a dit Hélène Beaunieux, une chercheuse en neuropsychologie lors d’une rencontre-débat organisée par l’Inserm avec les associations d’entraide aux personnes en difficulté avec l’alcool.

Selon Mme Beaunieux, qui travaille sur l’impact de l’alcoolisme sur la mémoire depuis plusieurs années à l’Université de Caen, la prise en charge hospitalière n’est pas adaptée pour les troubles cognitifs.

« On demande actuellement aux malades d’oublier leurs habitudes et de mettre en place d’autres automatismes en l’espace de 15 jours, ce qui est juste impossible du point de vue cognitif », souligne-t-elle.

L’alcool peut en effet avoir des effets sur la mémoire à court terme, qui permet de stocker et de manipuler les informations pendant quelques minutes, mais aussi sur la mémoire épisodique, qui permet de se rappeler des évènements vécus dans un contexte précis.

Il agit également sur « la métamémoire », qui permet de connaître et de contrôler le fonctionnement de sa mémoire et de s’auto-évaluer, une fonction souvent perturbée chez les alcooliques, qui ont tendance à « se surestimer », selon la chercheuse.

Lorsque la mémoire épisodique est déficitaire, par exemple, les patients arrivent à l’hôpital alors qu’ils « n’ont pas encore pris conscience de leur problème », explique la chercheuse.

Mais bonne nouvelle, cette perte de mémoire est généralement réversible chez les patients abstinents, à l’exception de ceux atteints du syndrome de Korsakoff, la forme la plus sévère de l’alcoolo-dépendance.

« Une amélioration significative » des capacités cognitives a ainsi été observée chez 14 patients revus six mois après le début de leur abstinence, alors qu’une dégradation des fonctions exécutives (permettant un comportement flexible et adapté au contexte) était observée chez les 20 patients qui avaient rechuté.

Mme Beaunieux préconise une stratégie prévoyant une évaluation de la mémoire chez tous les patients après le sevrage et un allongement ou une adaptation de la prise en charge pour ceux ayant des troubles cognitifs.

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La mémoire serait trompeuse et jouerait un rôle dans l’appétit

On apprend que la mémoire pourrait bien s’avérer un ennemi mortel lorsqu’on tente de surveiller son poids et de conserver sa ligne, selon topsante.com.

Un ennemi mortel et discret, selon ce que l’on comprend, ce qui le rend doublement plus insidieux. C’est que l’appétit ne serait pas qu’un réflexe instinctif, affirment des chercheurs britanniques.

En fait, la mémoire jouerait un rôle primordial dans le processus de la faim et de l’appétit, si l’on en croit l’étude publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE. Ainsi, le niveau de la faim ressentie aurait beaucoup à voir avec ce que l’on se souvient d’avoir mangé, et non ce que l’on a réellement mangé.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les comportements de 100 personnes volontaires. Ils se sont rendu compte que ceux qui étaient encore rassasiés après quelques heures n’étaient pas ceux qui avaient mangé le plus, mais plutôt qui se souvenaient clairement d’avoir en effet mangé.

« La mémoire de notre dernier repas a un plus gros impact sur notre appétit que la taille de notre repas », lance le professeur de psychologie Jeffrey Brunstrom, également directeur de l’étude.