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L’alcool au quotidien peut être néfaste pour la mémoire

(Relaxnews) – Même si des études avancent qu’un verre de vin par jour protégerait de certaines maladies, des chercheurs américains ont établi que boire de l’alcool tous les jours pouvait réduire le nombre de nouveaux neurones produits par le cerveau et avoir des conséquences sur la mémoire des buveurs.

Selon des recherches menées sur des rats à l’Université de Rutgers (New Jersey), la consommation d’alcool quotidienne ou en société peut réduire la production de nouveaux neurones de près de 40 %. De plus, les personnes qui boivent moins la semaine, mais consomment énormément d’alcool le week-end peuvent considérablement mettre à mal la structure de leur cerveau.

« Boire de façon modérée peut se transformer en suralcoolisation sans que la personne s’en rende compte », a commenté Megan Anderson, la chercheuse responsable de l’étude, dans un communiqué.

« Sur le court terme, on ne remarquera peut-être pas de troubles moteurs ou du fonctionnement, mais sur le long terme, ce genre de comportement peut avoir un effet défavorable sur l’apprentissage et la mémoire. »

Ces conclusions sont parues dans la version électronique de la revue Neuroscience.

L’équipe de chercheurs a trouvé que la production de neurones de rats de laboratoire était affectée négativement lorsque les animaux atteignaient 0,8 g d’alcool par litre de sang, la limite légale tolérée pour prendre le volant en Amérique du Nord. En France, le taux légal est de 0,5.

Lorsque les rats buvaient plus, le nombre de cellules nerveuses présentes dans l’hippocampe (partie du cerveau qui régit, entre autres, l’apprentissage de nouvelles données) baissait de près de 40 % par rapport au groupe témoin qui ne buvait pas d’alcool.

« Si cette partie de votre cerveau était affectée chaque jour, sur de nombreux mois et années, au final, il est possible que vous n’arriviez plus à vous rendre dans un nouveau lieu ou à apprendre quelque chose de nouveau », a expliqué le docteur Anderson. « C’est quelque chose qui peut se passer sans que vous vous en rendiez compte. »

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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.

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La mémoire influence la réussite d’un régime

Pour réussir un régime, cela prend non seulement de la volonté, mais aussi une bonne mémoire, rapporte le Daily Mail.
 
En fait, il faut de bonnes fonctions exécutives qui désignent les capacités intellectuelles permettant aux gens d’adapter leur comportement selon de nouvelles situations. Cela définit également certaines autres capacités comme l’anticipation, la planification, l’organisation et la motivation.
 
Mais le plus important, c’est d’avoir une bonne mémoire prospective qui permet de se souvenir de faire une chose. Les personnes ayant une telle mémoire moins performante pourraient donc oublier qu’elles sont au régime et céder plus facilement à la tentation.
 
« La mémoire prospective vous maintient dans votre objectif. Chaque fois qu’on vous offre quelque chose à manger, vous devez rappeler à votre esprit que vous êtes au régime », dit un des auteurs des travaux, Julia Allan.
 
Pour maximiser vos chances de perdre du poids, il est utile de tenir un journal, de se faire accompagner par un professionnel et même de suivre un programme de groupe pour conserver sa motivation.
 
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Les mathématiques causent de l’anxiété même en 1re année

Alors que l’on s’imaginait le contraire, les résultats de la première étude sur le sujet de l’anxiété auprès des élèves du primaire contredisent la pensée populaire.

Les résultats, publiés dans le Journal of Cognition and Development, mettent en lumière les recherches de Sian Beilock et Gerardo Ramirez du UChicago et leurs collègues, Elizabeth Gunderson et Susan Levine.

Les données ont été recueillies auprès de 88 étudiants de première année et 66 de deuxième année. Les facteurs analysés étaient les habilités pédagogiques, la mémoire dite « de travail » et la peur des mathématiques sur une échelle précise.

Puisque les élèves moins doués se mettent moins de pression, ils apprennent rapidement à contourner la mémoire de travail et, par exemple, vont compter sur leurs doigts. Justement, en consultant les résultats, Ramirez a constaté que l’anxiété créait une interférence avec la mémoire de travail, que les jeunes doués utilisent habituellement.

« Cette mémoire est la plus importante lorsque vient le temps de résoudre des problèmes mathématiques », affirme Ramirez. « Une anxiété précoce aura une tendance à effet boule de neige. Les enfants se démotivent, changent leur attitude et finissent même par éviter les mathématiques. »

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Le thé vert pour améliorer la mémoire

Déjà, le thé vert est reconnu pour ses nombreuses propriétés. Maintenant, des chercheurs chinois affirment que les antioxydants du thé vert aident à préserver la matière grise.
 
Selon l’étude parue dans le Molecular Nutrition & Food Research, le thé vert stimule la mémoire grâce à l’antioxydant épigallocatéchine gallate (EGCG).
 
Les tests menés sur des souris démontrent que cet antioxydant aide à l’apprentissage et la mémoire en améliorant la reconnaissance des objets et la mémoire spatiale.
 
L’EGCG contenu dans le thé vert agit au niveau de l’hypothalamus et favorise la neurogenèse, soit la naissance des neurones dans le cerveau.
 
Ainsi, le thé vert aide à prévenir la dégénérescence cognitive.
 
Le thé vert est aussi reconnu pour ses propriétés amincissantes, astringentes et aide à prévenir les maladies cardiovasculaires. De plus, on lui attribuerait la faculté de ralentir les cellules cancérigènes chez les fumeurs.
 
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Le chocolat chaud pour améliorer la mémoire

Une étude italienne dévoile que les flavonoïdes contenus dans le cacao amélioreraient les fonctions cognitives et aideraient à prévenir la démence liée à l’âge.

90 personnes avec de légers troubles de mémoire ont participé à cette recherche, qui consistait notamment à faire boire à un certain nombre de personnes du chocolat chaud à différents dosages (990 mg, 520 mg et 45 mg), et ce, chaque jour pendant huit semaines.

Ensuite, les participants se sont soumis à des tests de mémoire verbale, de capacités à raisonner et de passage d’une tâche à l’autre.

Les personnes ayant pris du cacao ont obtenu de meilleurs résultats que les autres.

Le cacao est parmi les aliments les plus riches en flavonoïdes qui ont aussi la propriété de réduire les risques de maladie cardiovasculaires, notamment en abaissant le niveau de mauvais cholestérol.

« Cette étude apporte une preuve encourageante que la consommation des flavonoïdes du cacao, dans le cadre d’une alimentation équilibrée, pourrait améliorer les fonctions cognitives des individus. Il s’agit d’une piste pour prévenir ou ralentir l’apparition des troubles de mémoire mineurs et les démences de type Alzheimer » , mentionne le Dr Giovambattista Desideri, au Telegraph.

Crédit photo : FreeDigiotalPhotos.net

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Les enfants et les mouches ont une mémoire « semblable »

La dopamine permet notamment de faire progresser la fonction cérébrale qui aide à l’apprentissage et qui permet de faire en sorte qu’on se souvient des belles et des mauvaises expériences.

Ainsi, la mémoire aversive — qui fait en sorte qu’un enfant gardera une mauvaise image de la fois où il s’est fermé la porte sur les doigts ou un bon souvenir du goût d’une crème molle dégustée par un bel après-midi avec son père – permet aux petits de fuir les choses qui font mal et d’être attirés par les expériences positives, explique le site SantéLog.

Il s’avère toutefois qu’il n’y a pas que les humains, notamment les enfants en période d’apprentissage de la vie, qui sont aptes à se souvenir des bons ou moins bons moments. Certains insectes le font aussi, dont les mouches avec leur minuscule cerveau, constatent des chercheurs de l’Institut Max Planck qui ont publié leur étude dans la revue Nature.

C’est en faisant une panoplie d’expériences où la mouche se sentait attirée ou non vers une odeur, et pouvait par la suite arriver à se rappeler où elle avait senti ce bon parfum pour retrouver une sensation de satisfaction et de récompense, que les chercheurs ont réussi à confirmer que les mouches avaient les mêmes cellules nerveuses dopaminergiques que les enfants, dont 4 types différents.

Parmi ces derniers, on en retrouve 3 qui jouent divers rôles dans la médiation de stimuli négatifs, tandis que le quatrième est lié à la création de souvenirs intéressants et positifs.

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Une meilleure mémoire lorsqu’on dort sept heures par nuit

(Relaxnews) – Le cerveau fonctionne de manière optimale avec sept heures de sommeil au compteur. C’est ce qu’ont révélé des chercheurs américains au cours de la Conférence internationale de l’Association Alzheimer qui se déroule à Vancouver du 14 au 19 juillet.

Cette étude, qui a pris en compte des données concernant quelque 15 000 femmes, a montré que celles qui dormaient cinq heures ou moins par nuit obtenaient de moins bons résultats lors de tests de mémoire que celles qui dormaient sept heures, a expliqué Elizabeth Devore, du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

De plus, celles qui sommeillaient neuf heures ou plus en moyenne enregistraient aussi de moins bons résultats que celles qui passaient sept heures sur l’oreiller.

Elizabeth Devore a par ailleurs noté que ce lien entre la durée du sommeil et la mémoire était avéré pour les femmes d’âge moyen, mais aussi pour les plus âgées.

La chercheuse a également cité une étude qui relie le manque de sommeil, moins de sept heures de sommeil par nuit, à un risque accru de maladies cardio-vasculaires et de diabète de type 2.

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Une meilleure mémoire lorsqu’on dort sept heures par nuit

(Relaxnews) – Le cerveau fonctionne de manière optimale avec sept heures de sommeil au compteur. C’est ce qu’ont révélé des chercheurs américains au cours de la Conférence internationale de l’Association Alzheimer qui se déroule à Vancouver du 14 au 19 juillet.

Cette étude, qui a pris en compte des données concernant quelque 15 000 femmes, a montré que celles qui dormaient cinq heures ou moins par nuit obtenaient de moins bons résultats lors de tests de mémoire que celles qui dormaient sept heures, a expliqué Elizabeth Devore, du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

De plus, celles qui sommeillaient neuf heures ou plus en moyenne enregistraient aussi de moins bons résultats que celles qui passaient sept heures sur l’oreiller.

Elizabeth Devore a par ailleurs noté que ce lien entre la durée du sommeil et la mémoire était avéré pour les femmes d’âge moyen, mais aussi pour les plus âgées.

La chercheuse a également cité une étude qui relie le manque de sommeil, moins de sept heures de sommeil par nuit, à un risque accru de maladies cardio-vasculaires et de diabète de type 2.

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Syndrome de Down : un médicament à la rescousse de la mémoire

La qualité de vie des gens atteints du syndrome de Down pourrait être grandement améliorée, car un médicament pourrait stimuler la fonction de leur mémoire et ainsi leur permettre de retenir une foule d’informations importantes. Chose qu’ils ne réussissent plus à faire.

« Jusqu’à maintenant, il n’y avait jamais eu de résultats positifs dans les tentatives d’améliorer les capacités cognitives chez les personnes atteintes du syndrome de Down au moyen de médicaments », explique Alberto Costa, auteur de l’étude de l’École de médecine de l’Université du Colorado.

Les résultats de la recherche qui a duré plus de quatre ans sont publiés dans la revue Translational Psychiatry.

Parmi les 38 adolescents qui ont participé à l’étude, la moitié a pris de la mémantine, et l’autre un placebo pendant 16 semaines. Ceux prenant de la mémantine ont montré une amélioration significative de la mémoire épisodique verbale. L’un des plus graves cas de l’étude a d’ailleurs vu ses compétences de mémoire être améliorées de 10 fois.

M. Costa, qui avait effectué des expériences positives en 2007 sur des souris, dit avoir pour objectif d’entreprendre des tests sur des enfants d’âge scolaire qui sont en pleine période de développement et sur lesquels il serait facile d’avoir un suivi et de percevoir des résultats rapidement.

D’ici cinq ans, l’expert désire aussi savoir si la mémantine peut freiner et même stopper l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes atteintes du syndrome de Down.

Mentionnons que tous les enfants souffrant de la maladie de Down finissent par être atteints d’Alzheimer dans la trentaine.