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Une boisson pour prévenir la maladie d’Alzheimer

Le Dr Richard Wertman de l’Institut de technologie du Massachusetts a créé une boisson qui peut aider à préserver la mémoire.
 
Elle contient de nombreux éléments nutritifs essentiels au cerveau. On tente maintenant de voir si on pourra la commercialiser et si elle pourra être prise sans surveillance médicale. Des essais cliniques plus avancés seront donc effectués.
 
Selon ce que rapporte le Daily Health News, le Souvenaid stimule la croissance de synapses, qui sont les connexions entre les cellules et le cerveau.
 
260 patients avec la maladie d’Alzheimer ont participé à ces travaux. Un groupe a pris du Souvenaid, et l’autre un placebo, pendant six mois.
 
Après trois mois, le premier groupe montrait une amélioration aux tests de mémoire, alors que le groupe avec le placebo démontrait des pertes de mémoire.
 
La boisson pourrait donc ralentir la progression de la maladie.
 
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Avoir une réponse sur le bout de la langue n’est pas un signe d’Alzheimer

Il arrive à tout le monde d’avoir une réponse, un mot ou un nom sur le bout de la langue, comme le dit l’expression, ou encore d’oublier ce que l’on vient de lire ou encore où nous avons posé un objet.
 
Fait rassurant, selon une étude parue dans l’Aging, Neuropsychology and Cognition, cela n’a rien d’inquiétant, car tout le monde oublie.
 
Cependant, si ces absences augmentent d’une façon considérable, c’est là qu’il serait judicieux d’en parler à son médecin. Sinon, rien d’alarmant.
 
105 adultes en bonne santé et instruits ont participé à la recherche. Ils devaient dresser la liste de leurs absences de mémoire dans les 24 dernières heures, en plus de se soumettre à divers tests.
 
Plus de la moitié des répondants ont noté avoir eu ce genre de distraction. En effet, ce n’est rien de moins qu’une distraction ou un manque de concentration qui peut faire en sorte que l’on oublie ce qu’on vient tout juste de faire.
 
Reconnaître ce fait permettrait de cibler des programmes d’entraînement de la mémoire pour la vie quotidienne, car les programmes actuels ne sont pas adaptés pour ces petites défaillances.
 
« À l’heure actuelle, plusieurs programmes se concentrent sur les différences constatées dans la mémoire et la pensée issues d’études de laboratoire », explique Cindy Lustig, professeure de psychologie et auteure principale de l’étude.
 
Ces absences de mémoire touchent 61 % des personnes de plus de 65 ans et ne sont pas un signe précurseur de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences.
 
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L’apnée du sommeil et ses conséquences sur les enfants

L’ablation des végétations et des amygdales, suivie d’un traitement par pulvérisation nasale, a permis d’améliorer la qualité de vie de jeunes souffrant du syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS).

L’efficacité de ce genre de traitement a été démontrée en comparant des résultats par IRM à des tests neuropsychologiques qu’ont effectués des petits souffrant du SAOS, avant et six mois après le traitement.

« Lorsque le SAOS est pris en charge de manière précoce, cela peut inverser les lésions cérébrales aux neurones et apporter une amélioration plus rapide dans l’hippocampe, la station de relais pour les fonctions exécutives, l’apprentissage et la mémoire », a déclaré le Dr Halbower, auteur de l’étude et professeur agréé au Centre du sommeil des enfants de l’Hôpital du Colorado, qui avance que son étude est la première à faire un tel constat.

Le spécialiste mentionne l’importance de diagnostiquer et de traiter tôt un problème d’apnée du sommeil chez l’enfant pour éviter que les fonctions d’exécution et les capacités cognitives du cerveau des petits soient touchées.

Les conclusions du Dr Halbower ont été présentées lors de la Conférence internationale de l’American Thoracic Society à San Francisco, rapporte SantéLog.

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Le sucre affecte négativement le fonctionnement du cerveau

Les gens qui consomment beaucoup de sucre voient leurs fonctions cérébrales et leur mémoire être affectées.
 
Selon une étude américaine parue dans le Journal of Physilogy, des travaux effectués sur des rats démontrent qu’une grande consommation de fructose, notamment dans le sirop de maïs, ralentit les fonctions du cerveau.
 
Déjà auparavant, des études avaient démontré que le fructose avait des effets dévastateurs pour l’organisme et faisait augmenter les risques de diabète, d’obésité et d’accumulation de graisses dans le foie. Cette fois, on constate les dommages au cerveau.
 
Le sirop de maïs est très sucré et souvent utilisé dans les sodas, les aliments industriels et les condiments de nourriture pour bébé.
 
« Avoir un régime alimentaire riche en fructose peut à long terme altérer vos capacités à apprendre et à mémoriser, mais la consommation régulière d’acides gras oméga-3, dont sont riches certains poissons ou par exemple les graines de lin, peut aider à minimiser les dommages provoqués par ce genre de sucres », déclare le Dr Fernando Gomez-Pinilla.
 
Détrompez-vous, le fructose naturel des fruits, par contre, est bon pour la santé et contient de nombreux antioxydants.
 
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La gomme à mâcher nuit à la mémoire à court terme

Une étude effectuée à l’Université de Cardiff, au Pays de Galles, va à l’encontre des précédentes qui disaient que de mastiquer de la gomme à mâcher aidait la concentration et la mémorisation.
 
La nouvelle recherche affirme plutôt que mastication affecte la mémoire à court terme.
« En recherchant les précédentes études sur la gomme à mâcher, je me suis aperçu qu’elles n’utilisaient pas le test le plus courant sur la mémoire à court terme, mais contrôlaient plutôt la mémorisation après plusieurs minutes, ce qui peut déjà faire appel à la mémoire à plus long terme », mentionne le chercheur Michail Kozlov au Quarterly Journal of Experimental Psychology.
 
Afin de vérifier que c’est effectivement la mastication qui affecte la mémoire, les essais cliniques ont été faits avec des gommes sans saveur. Les participants devaient retenir une série de lettres présentée pendant quelques secondes.
 
Ceux qui mâchaient des gommes faisaient en moyenne 10 % plus d’erreurs que ceux qui ne mâchaient pas de gomme.
 
« Je ne suis pas sûr de pouvoir expliquer pourquoi nos résultats contredisent les études précédentes qui disent que la gomme à mâcher est bénéfique pour la mémoire à court terme, mais je pense en revanche que ce n’est pas incompatible avec celles qui montrent que la mastication peut aider à se concentrer pour résoudre des tâches cognitives complexes, qui font appel à d’autres mécanismes cognitifs », explique le chercheur.
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Grossesse : attention au téléphone mobile?

C’est ce qu’ont relevé des chercheurs de l’Université Yale dans la plus récente revue Scientific Reports. Ils ont découvert que l’exposition aux rayonnements des téléphones mobiles pendant la grossesse pouvait affecter le développement du cerveau des enfants.

Après avoir fait des expériences sur des souris gravides, les chercheurs se sont aperçus que les rongeurs, une fois nés, souffraient de problèmes de mémoire, d’hyperactivité et d’anxiété.

Pour arriver à cette conclusion, l’activité électrique du cerveau de souris adultes qui avaient été exposées à des rayonnements dans le fœtus a été mesurée. Une série de tests psychologiques et comportementaux ont également été faits.

Pour un groupe de scientifiques britanniques de l’University College de Londres, cette étude est complètement « alarmiste et injustifiable ».

Leurs contre-arguments reposent sur le fait que les souris à naître auraient reçu une dose de radiation beaucoup plus élevée que ce que l’enfant dans l’utérus peut obtenir. De plus, il semblerait que la distance entre le téléphone mobile et l’utérus n’était pas conforme à la femme et la souris en période de gestation.

Finalement, ils ont ajouté que la comparaison est impossible entre les rongeurs et les humains, parce que les souris sont nées après seulement 19 jours, avec un cerveau qui est à un stade beaucoup plus précoce de développement que celui des bébés humains.

Ils ont remarqué également que le niveau d’anxiété avait diminué chez les souris exposées aux radiations, alors qu’il est généralement plus élevé chez les enfants atteints de troubles de comportement.

Des tests auprès de fœtus humains seraient nécessaires pour extrapoler et obtenir des résultats concluants. Toutefois, ceux-ci sont interdits par des organisations qui protègent la santé de l’homme.

La dernière étude controversée portant sur le même sujet remonte à deux ans et avait été réalisée par des scientifiques de l’Université de Californie à Los Angeles.

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Le Ritalin vient-il vraiment en aide à la mémoire des enfants?

De nouvelles recherches avec des singes mettent en lumière la façon dont le méthylphénidate peut affecter l’apprentissage et la mémoire chez les enfants atteints d’un trouble d’hyperactivité avec déficit d’attention.

Ces études ont démontré que l’impulsivité, le comportement (calme) et la concentration pouvaient être améliorés lorsqu’il y avait administration du médicament à faibles doses. Toutefois, il n’y avait aucun impact positif sur la mémoire à court terme.

En fortes doses, la capacité de mémoriser était légèrement meilleure, mais rien de remarquable. En revanche, les singes prenaient le double de temps pour se concentrer et devaient recommencer à plusieurs reprises le test.

Une étude en 1977 avait affirmé qu’une faible dose du médicament dynamisait les performances cognitives des enfants atteints de TDAH. Cependant, une dose plus élevée, même si elle réduisait l’hyperactivité, nuisait également à la performance des enfants à un test de mémoire.

Luis Populin, professeur en neurologie à l’Université de Wisconsin-Madison qui a partagé ses résultats dans le Journal of Cognitive Neuroscience, a voulu pousser davantage ce constat et démontrer à quel point la posologie du médicament avait un impact sur l’être humain.

Des tests sur la mémoire à court terme ont été effectués sur des singes et non sur des enfants qui prenaient le médicament. Cette étude visait à observer combien de temps les singes pouvaient regarder un point central sur un écran sans être déconcentrés par un voyant lumineux qui scintillait sur le côté.

Selon les Centers for Disease Control, près de 5 % des enfants américains prennent des médicaments pour le TDAH.

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Fumer juste le weekend est aussi néfaste pour la mémoire

Les gens qui fument occasionnellement, juste les weekends, peuvent penser que cela comporte moins de risques pour leur santé que les fumeurs réguliers. Malheureusement, ce n’est pas le cas. 

En effet, l’un des auteurs d’une récente étude explique que « cette nouvelle recherche suggère que le tabagisme limité aux weekends ne fait aucune différence sur les méfaits de la cigarette sur la mémoire ».
 
Les scientifiques britanniques ont découvert que les fumeurs sociaux ont autant de dégâts causés à leur mémoire que ceux qui fument tous les jours, rapporte l’étude de l’Université de Northumbria.
 
Le Dr Tom Heffernan, maître de conférences en psychologie et qui a mené la recherche avec le Dr Terence O’Neill, a déclaré : « le déclin de la mémoire, lié à la cigarette en général, a été associé à l’augmentation de la dégénérescence cérébrale comme le rétrécissement du cerveau ».
 
L’étude a été publiée dans la revue Open Addiction journal.
 
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Découverte : effets du cannabis sur la mémoire

Les scientifiques savaient déjà que certaines drogues, comme le cannabis, pouvaient affecter la mémoire de travail. Cependant, on en ignorait jusqu’ici les mécanismes cellulaires impliqués. 

La mémoire de travail est celle qui permet les opérations cognitives courantes comme lire et écrire, à partir d’informations entreposées temporairement. Elle est également à la base de l’intégration des informations sonores, visuelles et spatiales.
 
Des chercheurs français et canadiens ont découvert les mécanismes de l’intoxication aux cannabinoïdes qui sont contenus dans les feuilles et les fleurs de cannabis. Cela agit sur le cerveau par des récepteurs, surtout le CBI au niveau des terminaisons nerveuses.
 
Les CBI des astrogliales seraient à l’origine des effets néfastes des cannabinoïdes sur la MDT. On note une chute de la force de connexion entre les neurones dans l’hippocampe, ce qui perturbe la MDT.
 
« Ces résultats montrent de façon surprenante l’importance de l’activation des récepteurs CBI des cellules astrogliales, et non ceux des neurones, dans la médiation des effets des cannabinoïdes sur la mémoire de travail », dit Giovanni Marsicano dans la revue Cell.
 
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Les anesthésies répétées causent des problèmes de mémoire

Les premiers travaux publiés dans la revue Anesthesiology démontrent que les anesthésies répétées déclenchent le même processus que la maladie d’Alzheimer chez des souris, causant donc des problèmes de mémoire irréversibles.
 
Après une anesthésie générale, il est normal que la personne ait des troubles cognitifs d’orientation spatiale ou temporelle dans les heures ou les jours qui suivent la chirurgie. Habituellement, ces troubles sont rapidement réversibles.
 
Cependant, après plusieurs anesthésies générales, les séquelles seraient permanentes, selon ce qui a été observé sur les souris. Le sévoflurane, l’agent anesthésiant couramment utilisé, finirait par modifier la protéine Tau impliquée dans la dégénérescence des neurones.
 
Maintenant, les scientifiques feront des études plus approfondies sur l’humain afin de confirmer ces résultats.