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La mère principale source d’infection au streptocoque chez le nouveau-né

La revue médicale Pediatrics publie les résultats d’une étude s’attardant sur les infections à la bactérie streptocoque B. Les chercheurs italiens ont analysé la prévalence de l’infection chez les bébés entre 2003 et 2010. Leur cohorte comportait un pourcentage important de nouveau-nés prématurés.

Les chercheurs ont découvert que l’infection était beaucoup plus fréquente chez les prématurés, avec 1,4 naissance sur 1000, comparativement à 0,24 naissance sur 1000 pour les bébés nés à terme.

Environ 50 % des bébés avaient reçu leur diagnostic durant leur séjour à l’hôpital. Ils souffraient habituellement de septicité, de méningite ou d’infection focale. Les chercheurs ont découvert que plus l’infection se présentait tôt chez le bébé, plus le risque de méningite et de mort était élevé.

Au moment du diagnostic de leur bébé, 65 % des mères étaient porteuses de la bactérie. Lorsque les mères sont diagnostiquées à temps, celles-ci peuvent recevoir des antibiotiques intraveineux durant le travail et l’accouchement, ce qui réduit les risques de transmission de la bactérie et permet également de retarder l’apparition de l’infection.

L’infection peut toutefois se transmettre même avec des antibiotiques ainsi que par le lait maternel, ont noté les chercheurs, selon Medscape.

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De l’espoir dans le dossier de la méningite B

Depuis plus de deux décennies, la méningite est l’un des fléaux les plus sournois et violents connus de l’être humain. Pire encore, elle n’hésite pas à s’en prendre aux enfants, ce qui rend la maladie encore plus sombre et détestable.

Selon Topsante.com, la forme mortelle la plus répandue de cette maladie serait la méningite B, qui a d’ailleurs été présente dans l’actualité récemment à la suite d’une série de cas recensés.

Voilà qu’on annonce qu’il y aurait maintenant de l’espoir dans ce dossier, alors que les autorités européennes dans le domaine de la santé viennent d’approuver la mise en marché d’un vaccin contre la méningite B.

D’autres vaccins ou traitements contre la méningite sont déjà connus et utilisés, mais on tardait à pouvoir lutter efficacement contre cette forme de la maladie.

On recense plus d’un million de cas de méningites partout dans le monde chaque année, et les vaccins tentent de faire baisser ce nombre alarmant. Jusqu’à maintenant, on peut prévenir les cas de méningites de type A, C, W135 et Y, mais la pièce manquante demeurait la forme B.

Cela pourrait maintenant être une mission accomplie pour les chercheurs. D’autres résultats sont à venir.

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Cibler les symptômes de la méningite

La Meningitis Research Foundation, le Meningitis Trust et Meningitis UK se sont alliés pour faire une vidéo afin de combattre l’ignorance des parents au sujet de la méningite.

Le vaccin contre la méningite est la façon la plus efficace de protéger son enfant contre la maladie. Toutefois, ce vaccin ne peut protéger contre toutes les formes de la maladie.

« La méningite peut tuer en quelques heures, alors les parents doivent être au courant que la maladie est une réelle menace pour leurs enfants », explique la pédiatre consultante au Mary’s Hospital de Londres, Nelly Ninis.

La méningite est l’inflammation de la membrane qui entoure le cerveau et la moelle épinière. La maladie frappe surtout les petits de moins de cinq ans.

Les enfants atteints seront irritables, refuseront de manger, auront mal aux articulations et supporteront moins la lumière.

Le dixième des enfants atteints succombe à la méningite, et les survivants en gardent souvent des séquelles.

Rappelons que la méningite à pneumocoque toucherait de plus en plus de jeunes enfants.

On a par exemple constaté, en France, que si 85 % des enfants de moins de 2 ans avaient reçu un vaccin en 2008, les cas de méningites à pneumocoque n’ont pourtant pas diminué. Ils seraient en constante progression, au contraire, indique Le Figaro.

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La méningite se propage

Il semble que l’on devrait se méfier grandement du pneumocoque. Cette bactérie est responsable du développement de la méningite, et elle toucherait de plus en plus de bébés.

On a par exemple constaté, en France, que si 85 % des enfants de moins de 2 ans avaient reçu un vaccin en 2008, les cas de méningites à pneumocoque n’ont pourtant pas diminué. Ils seraient en constante progression, au contraire, indique Le Figaro.

Quelques pistes de réponse sont envisagées, notamment celle de la surconsommation d’antibiotiques. On devra toutefois poursuivre l’investigation pour tirer une conclusion.

En ce moment, on évalue que 90 sortes de pneumocoques se transmettent entre les enfants et les bébés, mais certains demeurent des porteurs en bonne santé. Dans 10 % des cas, les pneumocoques peuvent pourtant s’infiltrer dans le sang, ce qui peut engendrer une pneumonie, et entraîner la mort.

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Bientôt un nouveau vaccin contre la méningite

Des chercheurs italiens, dirigés par le Dr Rino Rappuoli, sont parvenus à créer un vaccin qui protègerait contre 300 souches de méningocoques B qui peuvent causer la méningite.
 
La méningite peut aussi être causée par le méningocoque A, C et Y, mais le B est le plus répandu et surtout le plus difficile à traiter. Il provoque des lésions cérébrales, ce qui fait que le patient garde des séquelles auditives ou mentales. Dans certains cas, cela peut même entraîner la mort.
 
L’équipe du Dr Rappuoli a d’abord créé 54 substances immunogènes qui déclenchent une réponse immunitaire. Après avoir fait des tests sur des souris, huit des ces substances ont été retenues, mais une, la G1 s’est montrée particulièrement efficace, rapporte le magazine Science.
 
Pour le moment, nous ignorons quand le vaccin pourrait être disponible, des tests sur des humains sont à prévoir.
 
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La fumée secondaire augmente les risques de méningite

Des chercheurs de l’École de santé publique de Harvard ont démontré que les enfants exposés à la fumée secondaire sont deux fois plus enclins à contracter une méningite, pouvons-nous lire dans PloS Medicine

De plus, ces mêmes enfants courraient aussi plus de risques d’avoir une pneumonie ou l’influenza de type B (Heamophilus influenza).

Pour tirer leurs conclusions, ces chercheurs ont analysé 42 études publiées ayant porté sur le sujet. Il en est ressorti un lien clair entre l’exposition au tabac et l’apparition des maladies virulentes citées.

Les effets étaient d’autant plus grands chez les enfants âgés de moins de six ans, qui sont plus vulnérables.

Ces résultats donnent encore raison aux parents de cesser de fumer ou, au moins, de ne plus le faire dans la maison. D’après ces chercheurs, le nombre de décès chez les enfants par cause de maladie bactérienne en serait diminué.

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Un vaccin contre la méningite du nouveau-né

De nouveaux espoirs pour les nouveau-nés atteints de la méningite bactérienne viennent d’être annoncés. Comme nous pouvons l’apprendre sur TopSanté, des chercheurs français ont identifié une protéine menant le streptocoque B à causer certaines méningites.

Cette protéine fait en sorte que le streptocoque B peut franchir la barrière de l’intestin ainsi que celle entre le sang et le cerveau. Se trouvant à la surface du streptocoque B, la protéine permet à cette bactérie de dégénérer en une pathologie telle que la méningite bactérienne.

Cette infection très grave comporte plusieurs dangers pour le bébé. La recherche donne finalement la première explication moléculaire quant aux capacités du streptocoque B de causer la méningite.

La protéine identifiée pourrait donc faire l’objet d’un vaccin ainsi que permettre la création de nouveaux outils de diagnostics.

Ces résultats proviennent de recherches conjointes entre l’Institut Cochin, l’Institut Pasteur, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, de l’AP-HP et de l’Université Paris Descartes.

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Nouveau test médical pour les bébés

Des scientifiques irlandais ont créé un test qui pourra simplifier la vie des petits patients. Il sera maintenant possible de détecter la méningite et la septicémie chez les enfants, et ce, en quelques minutes seulement.
 
Jusqu’à présent, le diagnostic était seulement possible avec une ponction lombaire très peu agréable pour les tout-petits. Les résultats se faisaient attendre pendant des heures et l’angoisse devenait souvent insupportable pour certains parents.
 
Maintenant, avec un seul prélèvement de salive ou sanguin, le diagnostic pourra être établi en quelques minutes. Cela aura également comme impact non négligeable de pouvoir entamer le traitement plus rapidement, augmentant ainsi les chances de guérison.
 
Il s’agit donc d’une avancée médicale importante dans le domaine de la santé infantile.
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Un vaporisateur nasal contre la pneumonie, la méningite et la septicémie

Le Daily Mail nous apprend que des chercheurs tentent de créer un nouveau vaccin qui permettrait de protéger contre les différents types de pneumocoques.
 
Jusqu’à présent, on en compte 90 types différents. Ces bactéries peuvent provoquer une pneumonie, une méningite et une septicémie. De plus, elles peuvent aussi entraîner une infection de l’oreille et une sinusite.
 
Chaque année, jusqu’à un million d’enfants de moins de cinq ans meurent en raison des pneumocoques.
 
Le nouveau vaccin administré par voie nasale contient une substance appelée D4PLy, une partie de la protéine produite par les différents pneumocoques.
 
Si les résultats sont concluants, ce vaccin pourrait protéger de la plupart des souches. Comme le vaccin s’adressera principalement aux enfants, on souhaite qu’il fonctionne à l’aide d’un vaporisateur nasal.
 
Un autre avantage, si les recherches sont concluantes, est que ce vaccin est beaucoup moins coûteux que le vaccin actuel et beaucoup moins complexe à produire. De plus, contrairement à celui offert sur le marché, celui-ci pourrait être efficace sur les très jeunes enfants.
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Un nouveau vaccin contre la méningite

Le fabricant pharmaceutique suisse Novartis AG compte commercialiser un nouveau vaccin, le MenACWY, qui permet d’immuniser les tout-petits contre la méningite. Des chercheurs canadiens et britanniques ont prouvé que ce vaccin neutralise les quatre souches les plus répandues de la bactérie liée à la maladie, sans causer d’effets secondaires.

Dans quelques mois, des essais cliniques seront effectués sur 421 poupons du Royaume-Uni et du Canada.

Les auteurs de la recherche précisent : « Dans cet essai clinique, nous avons démontré que ce vaccin était bien toléré et offrait une immunité contre les quatre souches de la bactérie responsable de la méningite chez de jeunes enfants en bonne santé dont l’âge allait de deux à six mois. »

Un vaccin semblable est déjà mis en marché aux États-Unis, mais son efficacité a été remise en question par le Dr Matthew Snape de l’université d’Oxford, qui a réalisé une étude sur le sujet.

Chaque année, la maladie touche 1 400 à 2 800 petits Américains, le taux de mortalité oscillant entre 10 et 14 %. Cette infection se caractérise par une inflammation des méninges entourant le cerveau ainsi que de la moelle épinière.