Catégories
Uncategorized

Polémique concernant l’acide phytique chez les femmes ménopausées

Une polémique sévit dans le dossier de l’acide phytique, un élément retrouvé dans le sel de calcium et de magnésium, notamment.

Le dossier touche surtout les femmes qui vivent, ou sont sur le point de vivre, leur période de ménopause. Ces femmes sont invitées à consommer des produits et des aliments qui renferment de l’acide phytique, qui produit des phytates, afin d’aider au renforcement des os, notamment.

Si les phytates, retrouvées entre autres dans les légumineuses, les grains et les légumes racines, possèdent de belles vertus pour les femmes qui prennent un peu d’âge, elles auraient aussi des effets pervers potentiels à long terme.

On parle de possibles problèmes digestifs dus aux phytates, qui nuiraient aussi à l’absorption de certains minéraux importants par l’organisme.

Selon La Presse, qui rapporte plusieurs commentaires de spécialistes dans le dossier, beaucoup de gens croient que l’acide phytique possède plus de bons côtés que de mauvais.

On suggère aux femmes ménopausées de consommer les aliments qui en contiennent avec modération, et on mentionne que plusieurs moyens sont mis en place pour tenter d’amoindrir les taux d’acide phytique dans les produits, par processus de raffinement.

Catégories
Uncategorized

Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

Catégories
Uncategorized

Le soya n’augmente pas la qualité de vie lors de la ménopause

Mauvaise nouvelle pour les femmes ménopausées du monde entier : si l’on en croit une étude rapportée par www.nlm.nih.gov, le soya n’aurait aucun impact réel sur la qualité de vie de ces femmes.

C’est ce que concluent les chercheurs américains en tête de l’étude, qui ont analysé les effets des suppléments de soya sur la qualité de vie durant la ménopause, sur une période de deux ans.

Cependant, les chercheurs croient qu’il est tout de même possible que le soya possède certains avantages pour les femmes ménopausées.

Paula Amato, de l’Oregon Health and Science University, explique : « Malheureusement, si vous êtes comme les patientes de l’étude, des suppléments de soya risquent fort de ne rien changer à votre qualité de vie durant la ménopause. Nous ne pouvons pas vraiment recommander cette méthode à nos patientes ».

Cette étude vient confirmer les théories les plus récentes sur le sujet. La prise de suppléments de soya pour calmer les bouffées de chaleur fait également l’objet d’une controverse, plusieurs spécialistes affirmant qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace réel.

Il est cependant possible qu’il existe une différence de résultats si l’on consomme du soya par les aliments plutôt que par suppléments, croient certains spécialistes, dont Paula Amato.

Catégories
Uncategorized

Les régimes « yo-yo » seraient mauvais pour le coeur

Ce qu’on appelle le phénomène des régimes « yo-yo » est défini par le fait de perdre du poids rapidement et de le reprendre tout aussi vite.

Ce processus serait néfaste pour le cœur, spécialement chez les femmes un peu plus âgées. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude affirmant que ces femmes voient leurs chances de développer une maladie ou un problème cardiaque augmenter substantiellement.

Bien que le fait de perdre du poids soit une excellente chose pour la santé, c’est lors de la reprise de ces kilos perdus que le pire se produit. Non seulement ces personnes retrouvent tous les facteurs négatifs sur la santé d’avant, mais la reprise de poids les accentue.

C’est donc dire qu’elles seront en moins bonne santé après la reprise de poids qu’avant d’en perdre, théoriquement.

« Pour les femmes post-ménopausées qui considèrent une perte de poids, maintenir leur poids peut être tout aussi bénéfique que d’en perdre. Même une reprise partielle de la masse perdue peut mener à des risques accrus de diabète et de problèmes cardiovasculaires », explique l’auteur en chef de l’étude, Daniel Beavers.

Catégories
Uncategorized

Évitez de prendre des kilos à l’arrivée de la ménopause

Beaucoup de femmes craignent de prendre du poids à l’arrivée de la ménopause, et c’est une possibilité bien réelle, quoique non obligatoire, selon ce que rappelle Topsante.com.

C’est que ces dames devront tout simplement faire sérieusement attention à ce qu’elles mangent si elles veulent conserver relativement le même poids qu’avant la ménopause, et les directives ressemblent drôlement à celles établies pour le reste de la population.

Ainsi, on suggère d’abaisser sa consommation de friandises et de desserts afin de favoriser plutôt les fruits et les légumes. Pas si évident de remplacer le bon vieux gâteau par une pomme, mais c’est exactement le genre de sacrifice qui vous permettra de conserver la ligne.

On conseille aussi de remplacer les viandes rouges et grasses par le poisson, toujours une excellente source d’oméga-3 et de vitamines, rappelons-le.

Aussi, l’alcool semble être un ennemi de taille, puisque l’on suggère fortement de se limiter à quelques verres lors de grandes occasions, mais de l’éliminer de l’alimentation quotidienne.

Pour terminer, les produits laitiers sont aussi à surveiller. Il est important d’en consommer pour ses apports en calcium et vitamine D, mais les matières grasses qu’ils contiennent sont sournoises.

Catégories
Uncategorized

Une diète riche en soya serait inutile contre les effets de la ménopause

Une vaste et récente étude suggère que contrairement à ce que l’on pensait il n’y a pas si longtemps, une diète riche en soya ne serait pas bénéfique pour contrer les effets de la ménopause.

On le sait, la ménopause arrive avec son lot de désagréments, notamment les fameuses bouffées de chaleur que les femmes ressentent à cette période de leur vie. On croyait que le soya pouvait avoir un rôle-clé dans l’affaiblissement de ces symptômes, mais voilà qu’une nouvelle étude vient contredire la théorie.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions des chercheurs, qui savent que plusieurs femmes préfèrent ne pas prendre les médicaments déjà offerts pour améliorer l’expérience de la ménopause. On tente donc de trouver de nouveaux moyens plus naturels, et le soya était porteur d’espoir.

« Nous souhaitions trouver des moyens pour aider les femmes à contrôler leur santé, et nous étions optimistes à l’égard des produits de soya. Nous pensions que ceux-ci constitueraient une bonne solution. Malheureusement, le soya ne semble pas prévenir des symptômes désagréables de la ménopause », explique Ellen Gold, professeure à l’Université de Californie.

Catégories
Uncategorized

L’hormonothérapie de remplacement réduirait les risques de troubles cardiaques

Une nouvelle recherche, rapportée par www.nlm.nih.gov, prétend que les femmes qui suivent un traitement d’hormonothérapie de remplacement pourraient bien améliorer également leur santé cardiaque.

Lorsqu’entamé en début de ménopause, ce traitement pourrait réduire les risques de crises cardiaques et d’autres problèmes similaires. Les bénéfices de l’hormonothérapie de remplacement viendraient de plus sans revers de médaille, c’est-à-dire qu’ils ne feraient pas grimper les chances de développer un cancer ou une autre maladie.

C’est un débat qui dure depuis longtemps qui pourrait être sur le point d’être tranché. En effet, l’hormonothérapie de remplacement inquiète les spécialistes, qui hésitent parfois à le recommander, justement à cause de risques potentiels au niveau du cœur.

Cette étude danoise pourrait calmer le jeu. Cependant, d’autres études contredisent celle-ci, et deux médecins affirment qu’elle n’est pas concluante. Ils suggèrent de traiter à petites doses et de commencer très tôt dans le processus de ménopause.

Un débat qui demeure ouvert, donc, et qui devrait se poursuivre. Les spécialistes prennent la chose très au sérieux, puisque les femmes sous-estiment souvent les risques de problèmes cardiaques, selon plusieurs statistiques.

Catégories
Uncategorized

Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

Catégories
Uncategorized

Une ménopause précoce augmente les risques cardiaques

Une ménopause précoce est liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’accident vasculaire cérébral, révèle la revue Menopause.
 
En réalité, les femmes ayant une ménopause tôt dans leur vie ont deux fois plus de risques de souffrir de troubles cardiovasculaires.
 
« Si les médecins savent qu’une patiente est entrée dans la ménopause avant son 46e anniversaire, ils doivent être très vigilants dans leurs recommandations de prévention du risque cardiaque. Nos résultats suggèrent qu’il est également important, si possible, d’éviter une ménopause précoce », déclare le Pr Dhananjay Vaidya.
 
2509 femmes de 45 à 85 ans ont participé à cette étude. 28 % ont déclaré avoir eu une ménopause avant l’âge de 46 ans. Ce groupe a vu ses risques d’événements cardiaques et d’AVC être doublés.
 
Les femmes qui fument entrent en moyenne dans leur ménopause deux ans plus tôt. Il serait donc bon de cesser de fumer pour retarder la ménopause.
 
Un mode de vie sain, de l’exercice physique et une saine alimentation peuvent retarder l’âge de la ménopause.
 
Il faut aussi souligner que les femmes qui ont subi une hystérectomie ont généralement une ménopause précoce. Voilà pourquoi, lorsqu’il est possible de le faire, on suggère de ne pas retirer les ovaires.
 
Catégories
Uncategorized

Une ménopause précoce augmente les risques cardiaques

Une ménopause précoce est liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’accident vasculaire cérébral, révèle la revue Menopause.
 
En réalité, les femmes ayant une ménopause tôt dans leur vie ont deux fois plus de risques de souffrir de troubles cardiovasculaires.
 
« Si les médecins savent qu’une patiente est entrée dans la ménopause avant son 46e anniversaire, ils doivent être très vigilants dans leurs recommandations de prévention du risque cardiaque. Nos résultats suggèrent qu’il est également important, si possible, d’éviter une ménopause précoce », déclare le Pr Dhananjay Vaidya.
 
2509 femmes de 45 à 85 ans ont participé à cette étude. 28 % ont déclaré avoir eu une ménopause avant l’âge de 46 ans. Ce groupe a vu ses risques d’événements cardiaques et d’AVC être doublés.
 
Les femmes qui fument entrent en moyenne dans leur ménopause deux ans plus tôt. Il serait donc bon de cesser de fumer pour retarder la ménopause.
 
Un mode de vie sain, de l’exercice physique et une saine alimentation peuvent retarder l’âge de la ménopause.
 
Il faut aussi souligner que les femmes qui ont subi une hystérectomie ont généralement une ménopause précoce. Voilà pourquoi, lorsqu’il est possible de le faire, on suggère de ne pas retirer les ovaires.