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Les fumeuses font face à une ménopause précoce

Une ménopause précoce est souvent ce qui attend les femmes qui fument. En moyenne, les chercheurs disent que les fumeuses ont leur ménopause entre 43 et 50 ans, alors que celles qui n’ont jamais fumé la commencent entre 46 et 51 ans.
 
Le journal Menopause rapporte que l’étude a suivi 6000 femmes des États-Unis, de la Pologne, de la Turquie et de l’Iran.
 
Une ménopause précoce est liée à des problèmes de santé, dont l’ostéoporose et des maladies cardiaques. De plus, une femme sur quatre se plaint de bouffées de chaleur nocturnes qui finissent par affecter leur qualité de vie.
 
La fumée de cigarette tue aussi les ovules produits par les ovaires, ce qui devance la ménopause.
 
Les hormones de remplacement peuvent réduire de 90 % les symptômes de la ménopause, mais cette méthode n’est pas fortement recommandée en raison des risques encourus.
 
Toutefois, une récente étude révélait également qu’une ménopause précoce exposait à moins d’oestrogènes qui favorisent le cancer du sein, donc les risques de cancer étaient réduits.
 
Cependant, le tabagisme étant un facteur de risque pour de nombreux cancers, il est donc préférable d’écraser.
 
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La bière contre l’ostéoporose

Les femmes plus âgées pourraient être protégées de l’ostéoporose en buvant une chopine de bière par jour.
 
Selon une étude dévoilée par le Daily Mail, la bière serait la source idéale de silicium diététique qui est crucial pour la formation des os.
 
Le silicium est mieux absorbé par la bière que tout autre aliment, en raison du malt utilisé dans le brassage.
 
Les chercheurs ont mesuré les effets de la bière sur la densité osseuse et ont constaté que l’éthanol, aussi présent dans l’alcool, aide à prévenir la perte osseuse. Plus important encore, le silicium favorise une croissance de nouveaux tissus osseux.
 
L’ostéoporose guette principalement les femmes en ménopause. Ainsi, celles qui sont préménopausées auraient avantage à boire une demi-chopine de bière par jour.
 
Les femmes déjà en ménopause devraient boire une chopine quotidiennement afin de préserver leur densité osseuse et, par conséquent, réduire les risques de fractures.
 
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Les femmes actives sont ménopausées plus tôt

Une étude japonaise dévoilée dans la revue Menopause mentionne que les femmes qui font beaucoup d’exercices et qui suivent un régime bon pour le cœur sont généralement ménopausées plus tôt.
 
Après avoir suivi 3100 femmes pendant dix ans, les chercheurs ont constaté que celles qui faisaient de huit à dix heures d’exercices par semaine étaient 17 % plus susceptibles d’avoir leur ménopause plus tôt que leurs congénères sédentaires.
 
De plus, celles qui consommaient des graisses polyinsaturées, que l’on retrouve dans les poissons et les huiles végétales, étaient 15 % plus à risque de vivre la même chose.
 
Durant la ménopause, les ovaires des femmes cessent de produire des ovules, et l’exposition à l’œstrogène est nettement réduite. L’œstrogène a tendance à favoriser l’apparition du cancer du sein, donc une ménopause précoce est liée à un risque moindre de cancer du sein pour la femme.
 
Cependant, une ménopause à un jeune âge est également liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’ostéoporose. Les spécialistes affirment tout de même que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Généralement, la ménopause débute entre 41 et 55 ans.

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Les pruneaux pour des os forts et en santé

Connus pour aider à soulager la constipation, les pruneaux ont une autre utilité non négligeable.

Selon le British Journal of Nutrition, ils aident les femmes ménopausées à avoir une protection contre les fractures ostéoporotiques.

À la ménopause, les femmes sont plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose, ce qui fragilise les os et les rend plus vulnérables aux fractures.

Pendant un an, les chercheurs ont suivi deux groupes de femmes. Le premier groupe, constitué de 55 participantes, a consommé 100 g de pruneaux (environ 10 pruneaux) par jour. Le deuxième, qui comportait 45 femmes, a mangé quotidiennement 100 g de pommes séchées. Toutes les femmes ont également reçu une dose quotidienne de vitamine D.

Les femmes qui avaient consommé des pruneaux avaient une densité osseuse plus importante que les autres.

Ainsi, les pruneaux sont meilleurs que les figues, les dattes, les fraises séchées, les pommes séchées ou les raisins secs pour la santé des os.

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Consommer des protéines pour préserver ses muscles à la ménopause

Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.

Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.

Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.

Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.

Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.

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Consommer des protéines pour préserver ses muscles à la ménopause

Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.

Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.

Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.

Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.

Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.

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Le soja ne réduit pas les symptômes de la ménopause

Une étude réalisée à l’University of Miami démontre que les suppléments de soja ne sont d’aucune utilité pour réduire les symptômes de la ménopause comme les bouffées de chaleur. Au contraire, ils peuvent même les aggraver. 

Selon les Archives of Internal Medicine, les femmes qui ont pris des suppléments d’isoflavones de soja tous les jours, pendant deux ans, n’ont pas vu d’amélioration de leurs symptômes de la ménopause. Elles ont perdu la même densité osseuse que les femmes qui avaient pris un placebo, ce qui les expose autant à un risque accru d’ostéoporose et de fractures.
 
Les femmes qui ont pris le soja ont même eu plus de bouffées que chaleur que les autres. Elles ont également mentionné qu’elles avaient eu des problèmes d’estomac et de digestion, mais aucun effet secondaire grave n’a été rapporté.
 
Depuis qu’il a été prouvé que les traitements habituels pour traiter les symptômes de la ménopause, comme la prise d’œstrogènes, augmentaient les risques de cancer et de problèmes cardiaques, les chercheurs tentent de trouver des alternatives sans danger. Pour l’instant, aucune ne donne les résultats souhaités.
 
On recommande plutôt de pratiquer des activités physiques régulièrement, en plus de s’assurer de consommer assez de calcium et de vitamine D.
 
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Les graines de lin n’ont aucun effet contre les bouffées de chaleur

Une étude précédente disait que les graines de lin pouvaient aider à diminuer les bouffées de chaleur des femmes ménopausées, mais après des analyses supplémentaires, on constate qu’il n’en est rien.
 
« Ces résultats sont surprenants, car une étude pilote avait laissé penser que les graines de lin contribuaient à la réduction des bouffées de chaleur. Elles sont peut-être un complément alimentaire hautement actif contre de nombreux maux, mais selon les résultats de notre étude, elles sont sans effet contre les bouffées de chaleur », explique la Dre Sandhya Pruthi, professeure adjointe en médecine de la Clinique Mayo à Rochester.
 
Ces résultats ont été présentés lors du colloque annuel de l’American Society of Clinical Oncology.
 
Les bouffées de chaleur sont fréquentes à la ménopause et après un traitement hormonal pour le cancer du sein.
 
Il existe une thérapie à base d’œstrogène pour soulager ce symptôme, mais beaucoup d’inquiétudes l’entourent, car elle augmente les risques de développer un cancer du sein.
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Le tabagisme d’un père cause une ménopause précoce chez sa fille

Le journal Fertility and Sterility dévoile une nouvelle étude sur les effets du tabac sur les enfants.
 
On remarque que si un homme fume durant la grossesse de sa femme, il peut causer une ménopause précoce chez sa fille plus tard.
 
Des études précédentes avaient mentionné que le tabagisme durant la grossesse pouvait affecter la fertilité du bébé plus tard, diminuant donc ses chances de concevoir un enfant à son tour.
 
Après avoir interrogé 1 000 femmes ménopausées, les chercheurs constatent qu’elles ont eu leur ménopause à 51 ans en moyenne. Chez les femmes qui fumaient elles-mêmes, on notait que la ménopause avait débuté 14 mois plus tôt. Si leur mari fumait, elle avait débuté cinq mois plus tôt, ce qui n’est pas statistiquement significatif.
 
Les chercheurs ne sont pas parvenus à déterminer l’influence du tabagisme de leur mère sur la ménopause de ces femmes. Par contre, si leur père fumait, on note que leur ménopause avait débuté 13 mois plus tôt que chez celles qui n’avaient pas été exposées au tabagisme.
 
Des études supplémentaires sont nécessaires afin d’éclaircir la situation, car on ignore si ce sont les effets du tabagisme durant la grossesse ou l’exposition durant l’enfance qui a le plus d’influence sur une ménopause précoce.
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Plus de problèmes dentaires à la ménopause

À la ménopause, il est primordial d’avoir une bonne hygiène dentaire et des visites plus fréquentes chez le dentiste.
 
À partir de la ménopause, les femmes sont plus à risque de souffrir de parodontite, une infection des tissus qui entoure les dents, ce qui cause le déchaussement. La raison en est la présence d’un biofilm dentaire qui cause plus de plaque dentaire.
 
Il est donc important non seulement de se brosser les dents deux fois par jour, mais aussi de visiter son dentiste quatre fois par année pour un détartrage, mentionne le journal Menopause.
 
Ce sont les résultats observés après une étude menée auprès de 56 femmes ménopausées. 50 % prenaient des biphosphonates pour retarder la perte de densité osseuse liée à la ménopause.
 
On a remarqué que ces médicaments protégeaient aussi les femmes contre la parodontite. Il s’agit donc d’une nouvelle avenue qui sera étudiée plus en profondeur au cours des prochaines années.