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Bienfaits de la fève de soya

Selon Howstuffworks, de nombreux bienfaits se cachent dans la fève de soya. Les isoflavones qu’elle contient sont des plus bénéfiques pour la santé, en particulier pour celle des femmes qui entament leur ménopause.

Ces molécules étant comparables aux œstrogènes synthétiques, elles réduiraient les risques d’ostéoporose. Elles pourraient freiner la perte de masse osseuse aussi efficacement que le tamoxifène et l’ipriflavone.
 
D’autre part, la protéine de soya réduirait le taux de mauvais cholestérol et LDL (lipoprotéines de basse densité). Bien sûr, elle augmenterait aussi le taux de bon cholestérol et LDL.
 
Pour en revenir aux isoflavones, ses propriétés antioxydantes protègeraient le cholestérol et les LDL, en plus d’améliorer le flux sanguin.
 
Finalement, il semble que la fève de soya peut apaiser les symptômes de la ménopause. Une étude a révélé que les femmes asiatiques ont moins de chaleurs, la nuit, que les femmes occidentales. La raison en serait que la fève de soya fait partie intégrante de leur alimentation.

Une autre étude a par ailleurs démontré que 60 g de protéine de soya incluse dans un régime alimentaire quotidien réduisaient de façon considérable la fréquence des chaleurs chez certaines femmes en ménopause.

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Les plastiques reliés à une ménopause précoce

Une vaste étude regroupant 26 000 femmes de 18 à 65 ans démontre qu’il existe un lien clair entre le plastique et la ménopause précoce. Pour être plus précis, ce sont des composés chimiques du plastique, les hydrocarbures perfluorés (PFC), qui sont responsables de cette perturbation.
 
Selon le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, une grande exposition aux PFC mènerait à une ménopause vers l’âge de 42 ans. Selon les observations recueillies durant l’étude, on croit notamment que les femmes conservent un trop haut taux de PFC, car elles ne peuvent plus l’évacuer par leur sang menstruel.
 
Toutefois, les recherches doivent se poursuivre pour confirmer les résultats et connaître la cause exacte de ce lien entre les PCF et une ménopause à un plus jeune âge.
 
Les PFC sont reconnus pour provoquer de nombreux effets indésirables sur l’humain. Ils augmentent notamment les risques cardiovasculaires, en plus d’être à l’origine d’une déficience du système immunitaire.
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Les bouffées de chaleur protègeraient du cancer du sein

Une étude américaine effectuée sur 1 437 femmes au Centre anticancer Fred Hutchinson révèle que les bouffées de chaleur qui surviennent à la ménopause pourraient protéger les femmes contre le cancer du sein.
 
En effet, les recherches démontrent que les femmes qui en souffrent ont moins de risques de développer la maladie.
 
De plus, les chercheurs ont remarqué que la protection contre le cancer du sein était plus forte lorsque les bouffées de chaleur étaient régulières et intenses.
 
Le taux d’œstrogène et de progestérone joue des rôles clés dans l’apparition du cancer. À la ménopause, ces hormones diminuent chez toutes les femmes. Toutefois, les scientifiques croient que l’œstrogène et la progestérone chutent beaucoup plus rapidement chez les femmes qui ont de fortes bouffées de chaleur.
 
Donc mesdames, vous qui ne savez plus comment remédier à ce phénomène et qui ouvrez la porte de votre maison en hiver pour vous rafraîchir, sachez que ce désagrément aurait finalement de bons côtés non négligeables.
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Un test sanguin pour prédire l’âge de la ménopause

Des chercheurs iraniens ont mis au point un procédé qui permettrait de prédire l’âge de la ménopause avec un simple test de sang.
 
Les résultats de leurs recherches seront présentés à Rome lors de la Conférence annuelle de la Société européenne de reproduction humaine et embryonnaire.
 
Le test mesure le niveau de l’hormone anti-Müllerienne (AMH) qui est sécrétée par les ovaires. Avec le temps, ce taux diminue.
 
Une faible concentration de l’hormone à 20 ans signale que la ménopause débutera très tôt, avant 45 ans même, alors qu’avec un taux élevé, elle a plus de chances de débuter après 50 ans.
 
Pour l’étude, les chercheurs ont fait des prélèvements sanguins et des examens médicaux auprès de 266 femmes tous les trois ans. Ils ont ainsi pu créer un modèle statistique pour prédire l’âge du début de la ménopause.
 
Toutefois, le procédé doit maintenant être testé sur plus de femmes afin de confirmer son exactitude.
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Les timbres hormonaux plus sécuritaires

Durant la ménopause, certaines femmes doivent avoir recours à l’hormonothérapie pour contrer les effets négatifs de leur état.
 
Selon des chercheurs affiliés à l’Université McGill, le timbre hormonal à faible dose serait beaucoup plus sécuritaire pour les femmes que les traitements oraux conventionnels. Les timbres présentent 26 % moins de risques d’accident vasculaire cérébral (AVC). Toutefois, le danger est également présent si la dose des timbres est plus forte.
 
« Les formes orales d’œstrogène passent par le foie, où elles peuvent provoquer une inflammation ou une coagulation qui peut s’accompagner d’un problème cardiovasculaire », mentionne le Dr Samy Suissa qui a dirigé les travaux de recherche en collaboration avec des collègues allemands.
 
On demande donc aux médecins de tenir compte de ces nouveaux résultats publiés dans le British Medical Journal lorsque viendra le temps de prescrire une thérapie à leurs patientes en pleine ménopause.
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Marcher améliore la qualité de vie des femmes en surpoids

Marcher d’un bon pas serait un bon moyen d’améliorer la qualité de vie des femmes ayant un surplus de poids, selon une nouvelle étude de l’Université Laval à Québec.
 
Une cinquantaine de femmes se sont soumises à l’exercice. Elles étaient ménopausées ou préménopausées. Aucune ne prenait des hormones. Pendant quatre mois, elles ont dû marcher d’un bon pas pendant 45 minutes trois fois par semaine.
 
Bien entendu, elles ont toutes observé une légère perte de poids (en moyenne 4 %), mais leurs capacités cardiovasculaires ont été améliorées de 19 %. Toutefois, elles ont surtout noté qu’elles se sentaient mieux physiquement et mentalement. Elles ressentaient une plus grande vitalité, beaucoup moins de douleurs et étaient plus en mesure de gérer leurs émotions. Leur bien-être général était grandement amélioré.
 
Par contre, pour la présente étude, on ne note aucune diminution du stress ou une meilleure qualité de sommeil. Les habitudes alimentaires sont également demeurées les mêmes.
 
Rappelons que la ménopause amène souvent son lot d’inconvénients. Une activité physique modérée pratiquée régulièrement peut améliorer la qualité de vie des femmes.
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Les fibres pour aider les femmes ménopausées

Une étude est en cours à l’Université de Montréal sur les effets des fibres sur les femmes ménopausées.

Selon les résultats préliminaires, la consommation de fibres alimentaires aiderait les femmes ménopausées obèses ou en surpoids à maîtriser leur appétit. On demeure toutefois prudent, car ce n’est pas encore un remède pour traiter l’excès de poids.

Les fibres diminuent d’environ 25 % le taux de ghréline, cette hormone qui stimule l’appétit. Chez les femmes ménopausées qui ont pris des fibres, ce taux demeurait bas plus longtemps et retardait ainsi la sensation de faim.

L’étude a été réalisée sur 35 femmes, âgées de 46 à 68 ans, obèses ou avec un excédent de poids et qui n’avaient pas le diabète.

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Ménopause et cancer du poumon

Des épidémiologistes de l’Université de Montréal et de l’Institut Armand-Frappier viennent d’établir un lien entre l’ablation des ovaires et le cancer du poumon.

Selon une étude publiée dans l’International Journal of Cancer, les femmes ménopausées à la suite d’une chirurgie auraient deux fois plus de risques de développer un cancer du poumon.

Les chercheurs ont étudié 422 femmes ayant un cancer du poumon et 577 sujets témoins de 18 hôpitaux. Ils ont établi différents facteurs comme le tabagisme, les antécédents médicaux et les antécédents concernant les règles et les grossesses notamment.

Tout comme le tabagisme, une ménopause précoce et non naturelle diminue le taux d’œstrogène, ce qui augmenterait les risques de cancer, plus encore, si elle survient à un plus jeune âge.

L’âge moyen pour une ménopause naturelle est de 50 ans et pour l’étude, l’âge moyen des femmes ayant eu une ménopause précoce était de 43 ans.

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Lien entre l’hormonothérapie et le cancer des ovaires

Une recherche menée par des chercheurs de l’Université de Copenhague, au Danemark, a démontré que les femmes qui avaient été traitées à l’hormonothérapie au cours de la ménopause étaient plus à risque de développer un cancer des ovaires, comparativement aux femmes qui n’y avaient pas eu recours.

909 946 dossiers médicaux de patientes âgées de 50 à 79 ans ont été analysés par les scientifiques qui concluent que l’incidence de la maladie est en hausse de 44 % lorsqu’il y a hormonothérapie.

Plusieurs études antérieures se sont penchées sur les effets secondaires de la prise d’hormone pendant la ménopause et certaines d’entre elles mentionnaient que le risque de certains cancers augmentait. Le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’Organisation mondiale de la santé, a d’ailleurs classé les traitements hormonaux de substitution comme étant des produits cancérigènes en 2005.

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Une plante contre les bouffées de chaleur?

Selon une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine et du Centre de recherche du CHUQ, la consommation de capsules de millepertuis séché aide à diminuer les symptômes des bouffées de chaleur chez les femmes en pleine ménopause.

Pendant trois mois, 47 femmes âgées de 40 à 65 ans ont consommé du millepertuis ou encore un placebo. Par la suite, les scientifiques ont observé que les bouffées de chaleur avaient diminué de 2,3 épisodes quotidiens dans le groupe-test contre une baisse de 1 bouffée par jour pour le groupe placebo.

Par le fait même, les participantes ont noté une amélioration de la qualité de vie en général, particulièrement lors du sommeil.

Malgré ces résultats encourageants, les scientifiques estiment que leur recherche était à petite échelle et que d’autres études devront confirmer leur conclusion avant de recommander ce produit naturel aux femmes ménopausées.