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Cancer du sein et viande rouge

Des chercheurs associés à la Faculté de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva aux États-Unis prétendent qu’une alimentation riche en viande rouge n’augmente pas l’incidence de cancer du sein chez les femmes postménopausées.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Geoffrey C. Kabat a analysé les dossiers médicaux de 120 755 femmes américaines en fonction de leur alimentation.

Dans cette étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale International Journal of Cancer, on apprend que les diverses techniques de cuisson, même sur barbecue, ne causent pas davantage de cancer du sein.

Malgré ces résultats, le Dr Kabat croit que d’autres recherches sur le sujet devront être menées, particulièrement auprès des jeunes femmes, afin de mieux comprendre l’exposition dès un jeune âge aux mutagènes dans la viande rouge.

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L’hormonothérapie et le cancer du poumon

Des recherches ont mené à une découverte troublante à propos des thérapies hormonales pour traiter les symptômes de la ménopause, rapporte MSNBC.

Il semblerait que le cancer du poumon serait plus sujet à conduire à la mort pour les femmes qui prennent des comprimés d’œstrogène-progestérone.

Les consommatrices d’hormones qui développent un cancer du poumon ont deux fois plus de chance d’en décéder que celles qui n’en consomment pas, selon des résultats dévoilés samedi dernier (30 mai).

Le Dr Rowan Chlebowski, du centre médical Harbor-UCLA de Los Angeles, mentionne que ces résultats signifient que les fumeuses ne devraient pas prendre d’hormones et que celles qui n’ont pas commencé à en prendre devraient y penser à deux fois avant de le faire.

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La mémoire qui flanche et la ménopause

Selon le Dr Arun S. Karlamangla, professeur de médecine à l’Université de la Californie à Los Angeles, la ménopause pourrait faire diminuer l’acquisition de nouvelles connaissances et la mémoire.

Ces changements, jugés mineurs par le chercheur, ne sont toutefois que temporaires, le temps que cessent complètement les règles. « La bonne nouvelle, c’est que les femmes qui ont terminé la transition de la ménopause retrouvent leurs performances cognitives et mnémoniques », a souligné M. Karlamangla.

2 362 femmes âgées de 45 à 57 ans ont participé pendant quatre ans à cette recherche où l’on évaluait leur mémoire à court terme en fonction des quatre stades liés à la ménopause.

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L’inefficacité de l’acupuncture lors de la ménopause

Les femmes ménopausées souffrant de bouffées de chaleur ne seront pas soulagées par des traitements d’acupuncture, soutiennent des chercheurs du Complementary Medicine de l’École de médecine Peninsula en Angleterre.

Selon eux, l’efficacité de cette méthode traditionnelle chinoise pour traiter l’un des symptômes de la ménopause est trop mince.

« Notre recherche n’a pas démontré des résultats significatifs comme quoi l’acupuncture est bénéfique pour les femmes aux prises avec les bouffées de chaleur », ont fait savoir les auteurs.

À la lumière de ces résultats, l’un d’entre eux, le Dr Edzard Ernst, recommande aux femmes de ne pas abandonner l’hormonothérapie.

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Une autre vertu des oméga-3

Les travaux menés par le chercheur Michel Lucas et son équipe de la Faculté de médecine de l’Université Laval les amènent à conclure que les oméga-3 diminuent la détresse psychologique et les symptômes dépressifs légers chez les femmes en périménopause et ménopause.

120 femmes âgées entre 40 à 55 ans ont participé à cette recherche publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition. Le groupe a été réparti en deux, alors que le premier consommait quotidiennement trois gélules d’oméga-3 pendant huit semaines, tandis que le second prenait des gélules contenant de l’huile de tournesol.

Par la suite, les chercheurs ont noté une amélioration significative de l’état psychologique chez le premier groupe. « Les différences que nous avons observées entre les deux groupes ne sont pas anodines. Surtout si on considère que les oméga-3 ont peu d’effets secondaires et qu’ils procurent des bienfaits sur le plan de la santé cardiovasculaire », a mentionné M. Lucas.

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Les produits naturels et la ménopause

Selon le Drug and Therapeutics Bulletin, il y a peu ou pas de preuves sur l’efficacité des remèdes à base de plantes pour soulager les symptômes pénibles de la ménopause.

De 30 % à 70 % des femmes des pays industrialisés connaîtront les symptômes liés à la ménopause, comme les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes. Ces symptômes durent en moyenne 4 ans, mais pour une femme sur dix, ce sera plus de 12 ans.

Les remèdes à base de plantes, comme le trèfle rouge ou le ginseng, n’auraient en fait aucun effet ou très peu. Aucune étude ne donne de résultats convaincants à ce sujet.

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Soya et exercice pour les femmes ménopausées

Selon des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un programme d’exercice régulier, combiné à une alimentation riche en soya, diminue l’incidence de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées, beaucoup plus que l’exercice seul.

50 participantes ont été suivies pour cette recherche. La moitié d’entre elles ont consommé un placebo, tandis que le reste du groupe prenait des isoflavones de soya, qui agissent comme les estrogènes lorsqu’elles sont assimilées par les intestins. De plus, ces sujets ont suivi un programme d’exercices aérobiques et musculaires trois fois par semaine.

« Nos analyses ont amené deux conclusions. La combinaison d’exercices et d’isoflavones agit d’une part sur une hormone appelée sex-hormone binding globuline (SHBG) qui est liée aux risques de maladies cardiovasculaires. D’autre part, cette combinaison est associée à la perte de graisse abdominale », a mentionné Isabelle Dionne, vice-doyenne à la recherche et aux études supérieures à la Faculté d’éducation physique et sportive de l’université.

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Le timbre qui hausse la libido

Des essais cliniques démontrent que le timbre cutané de testostérone procure un regain « modeste, mais significatif » au désir sexuel des femmes ménopausées qui l’ont utilisé pendant plus d’un an.

Auparavant, les participantes affirmaient avoir en moyenne 2 relations sexuelles satisfaisantes par mois. L’usage du timbre cutané a fait passer cette moyenne à 4,6 expériences satisfaisantes par mois.

Il y a toutefois un désavantage à prendre cette hormone masculine : elle augmente la pilosité. « Pour la majorité des femmes, cet effet secondaire était mineur et pas très important pour elles », a souligné l’auteure de cette étude, la Dre Susan Davis de l’Université Monash à Melbourne, en Australie.

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L’acupuncture pour venir à bout des bouffées de chaleur

Selon la Dre Eleanor Walker, de l’Hôpital Henry Ford à Détroit, il vaut mieux, pour les femmes ménopausées souffrant du cancer du sein, de suivre des traitements d’acupuncture pour traiter les bouffées de chaleur et les autres symptômes qui accompagnent la ménopause.

Le groupe de sujets a été divisé en deux. Le premier faisant appel à ces traitements de médecine douce et l’autre ayant consommé l’Effexor, un antidépresseur qui peut aussi traiter les effets secondaires de la ménopause pour les femmes ayant eu un cancer du sein.

Après 12 semaines, les participantes ayant consulté un acupuncteur avouaient avoir plus d’énergie et se sentir mieux, alors que les autres avouaient avoir souffert de nausée, de migraine et d’anxiété.

« Nos résultats démontrent que l’acupuncture est plus efficace que le médicament généralement prescrit. En plus, il n’y a pas d’effets secondaires », a souligné la Dre Walker.

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Le yoga pour atténuer les effets de la ménopause

En plus d’améliorer la concentration, le yoga diminuerait de beaucoup les bouffées de chaleur des femmes ménopausées, selon des chercheurs indiens.

Afin d’obtenir ces résultats, les scientifiques ont observé 120 femmes âgées de 40 à 55 ans qui pratiquaient cette discipline 5 fois par semaine.

Après huit semaines de yoga, les bouffées de chaleur et les troubles de sommeil avaient grandement diminué chez les participantes. De plus, ces femmes ont noté une amélioration de leur concentration et de leur mémoire.

« Notre étude démontre clairement les effets bénéfiques du yoga sur les capacités cognitives. Nous sommes persuadés que cela est attribuable à la respiration synchronisée sur les mouvements et à la relaxation que procure cet exercice », a souligné le Dr R. Chattha, l’auteur derrière ces résultats.