Catégories
Uncategorized

Les femmes, protégées contre le cancer du côlon

Des chercheurs australiens croient que les femmes ont de meilleures chances de survivre au cancer du côlon que les hommes. Selon eux, c’est l’oestrogène qui serait en cause.

Entre 1997 et 2004, le Dr. Jenn H. Koo et ses collègues ont analysé les dossiers médicaux de 2 050 patients ayant reçu un diagnostic de cancer du côlon. 44 % d’entre eux étaient des femmes.

Celles qui étaient âgées de moins de 50 ans voyaient le risque de mourir d’un cancer du côlon chuter de moitié, comparativement à la gent masculine. Ce n’est qu’une fois la ménopause atteinte que les femmes avaient 38 % plus de risques de décéder de la maladie que les hommes, peu importe le stade d’avancement du cancer.

Les résultats complets de cette recherche sont publiés dans l’édition de juin de l’American Journal of Gastroenterology.

Catégories
Uncategorized

Finies les bouffées de chaleur liées à la ménopause!

Santé Canada vient d’approuver la mise en marché au pays de l’Activelle (oestradiol et acétate de noréthindrone), le premier médicament combinant l’estrogène et un progestatif en mesure de traiter l’un des effets indésirables de la ménopause, les bouffées de chaleur.

« Si la ménopause cause des symptômes modérés ou sévères à une femme, elle devrait consulter son médecin pour savoir si une hormonothérapie lui conviendrait », suggère la Dre Céline Bouchard, gynécologue et professeure agrégée de clinique à l’Université Laval.

« De nouvelles options thérapeutiques à faible dose ayant des effets secondaires minimes peuvent soulager efficacement les symptômes reliés à la ménopause et permettre aux femmes de prendre en main leur santé et de vivre leur vie », précise-t-elle.

Catégories
Uncategorized

L’hormonothérapie et le risque de caillot sanguin

Selon Pierre-Yves Scarabin et Marianne Canonico, des chercheurs français de l’Hôpital Paul Brousse, les femmes ménopausées qui suivent une hormonothérapie voient leur risque d’avoir un caillot sanguin mortel doubler.

Les scientifiques ont analysé 17 recherches sur le sujet pour en arriver à la conclusion que ce phénomène est surtout observé lors de la première année d’administration de l’oestrogène aux femmes ménopausées.

En 2002, une autre recherche associait l’hormonothérapie au risque accru de cancer du sein et des ovaires et suggérait fortement aux femmes d’abandonner l’hormone synthétique.

Catégories
Uncategorized

Gare au Protelos !

Un avis de risques du syndrome DRESS vient d’être émis par les agences européenne et française contre un médicament qui traite l’ostéoporose, le Protelos ou Osseor.

Le syndrome DRESS est une réaction allergique grave qui peut causer la mort et attaque les organes vitaux, notamment le foie et le rein. Deux personnes qui ont consommé le médicament qui réduit le risque de fractures osseuses en sont décédées, en plus des 16 cas signalés aux autorités médicales.

Les personnes qui ont souffert d’allergies ont noté une éruption cutanée accompagnée de fièvre, d’une augmentation du volume des ganglions et des globules blancs dans les trois à six semaines après la prise du médicament.

C’est pourquoi l’agence européenne et l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé recommandent l’arrêt immédiat de la consommation du Protelos si de tels symptômes apparaissent.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle sur l’ablation des ovaires

Selon le docteur Walter Rocca, auteur principal de l’étude et neurologue à la Mayo Clinic, l’ablation des ovaires causerait une diminution de l’oestrogène, ce qui pourrait avoir un impact sur le cerveau.

Dans cette étude, les chercheurs ont constaté que chez les femmes en bas âge ayant eu recours à la chirurgie des ovaires, les risques de maladies mentales étaient de 50 % plus élevés.

À moins de prendre des oestrogènes jusqu’à 50 ans après une ablation des ovaires, les risques de démence sont augmentés. Les femmes devraient par contre évaluer les avantages et inconvénients de la prise d’oestrogène avant l’âge de 50 ans, discussion qu’elles devraient avoir avec leur médecin, selon Rocca.