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Une étude écorche les supposés repas santé de la chaîne Subway

Des chercheurs américains basés en Californie se sont penchés sur certains repas offerts par des chaînes de restauration rapide, et leurs conclusions écorchent solidement certains repas publicités proposés par la chaîne Subway.

On avance même, rapporte le Daily Mail, que plusieurs repas Subway s’avèrent parfois moins « santé » que certains autres offerts chez McDonald’s!

Ce serait notamment vrai en termes de calories et de teneur en sel, Subway coiffant même McDonald’s au poteau dans cette dernière catégorie.

Ce qui dérange les chercheurs américains, c’est que Subway utilise la carte « santé » dans toutes ses promotions, laissant croire aux consommateurs qu’ils font un choix tout à fait éclairé en choisissant les sous-marins Subway.

Or, selon les résultats avancés par l’équipe de chercheurs, la moyenne calorique d’un sous-marin Subway est de 955, contre 1038 pour un repas de chez McDonald’s. Une faible différence, si on considère de plus que Subway propose une moyenne de 2149 milligrammes de sel dans ses repas, contre 1829 pour McDonald’s.

Bien que cette dernière chaîne s’avère somme toute « pire » dans plusieurs catégories, les chercheurs tiennent simplement à prévenir la population que l’entreprise Subway en est également une de restauration rapide et de malbouffe… comme les autres.

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Mensonge : les parents ne montrent pas l’exemple

L’International Journal of Psychology publie une étude affirmant que 98 % des parents en Chine disent mentir à leurs enfants, ainsi que 84 % des parents américains.

Pourquoi les parents mentent-ils? Pour s’assurer que leurs enfants se comportent bien, pour qu’ils mangent, pour que ceux-ci se sentent bien, pour les dissuader de toujours demander des jouets ou des friandises lorsqu’ils font des courses, ou encore pour encourager leur croyance en des personnages fictifs, par exemple le Père Noël ou la fée des dents.

Entre les parents des deux cultures, il existait toutefois certaines différences : les parents chinois étaient plus susceptibles d’exiger un certain comportement de la part de leur enfant et de ne pas tolérer des écarts, ce qui pourrait expliquer certains mensonges.

De plus, les parents chinois avaient, dans leur arsenal de mensonges, de fausses menaces qui sembleraient probablement étranges pour la plupart des parents américains, comme de prévenir son enfant qu’ils allaient l’abandonner s’il refusait de les suivre.

La chercheuse, Gail Heyman, a suggéré de faire attention avant de trop mentir à ses enfants : si ceux-ci comprennent que vous leur mentez souvent, ils pourraient avoir du mal à vous faire confiance, selon Science Daily.

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Pourquoi les enfants mentent

Selon le Dr Kang Lee, qui est professeur à l’Université de Toronto, « le mensonge fait partie du développement normal des enfants, et c’est un comportement typique chez les petits d’âge préscolaire ».

Les recherches menées par le Dr Lee montrent que les enfants commencent à mentir presque en même temps qu’ils commencent à parler, et que pratiquement tous les enfants de moins de 6 ans font des mensonges.

« Les enfants qui mentent ont atteint un nouveau stade cognitif; leurs mensonges veulent dire qu’ils ont compris qu’ils peuvent se servir des mots pour installer de fausses croyances dans l’esprit de leurs parents ».

La plupart du temps, les mensonges sont reliés au fait que les enfants ont compris qu’ils ont fait quelque chose de mal, et ils essaient d’éviter une punition.

Le Dr Lee rappelle aussi que les parents montrent indirectement à leurs enfants à mentir. « Lorsqu’ils reçoivent par exemple un cadeau qu’ils n’aiment pas, leurs parents exigent qu’ils soient tout de même polis et leur demandent ainsi de faire des mensonges pieux ».

Les parents qui « attrapent » les mensonges de leurs enfants ne devraient pas en faire tout un plat, mais devraient quand même expliquer que le mensonge est « mal », et qu’il faut dire la vérité.

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Quoi faire quand son enfant ment

Quand ne pas réagir
 
Il est primordial de laisser à son enfant un « jardin secret », c’est-à-dire lui donner le droit de ne pas tout vous dire. Certains mensonges sont également normaux et font partie de son développement, ceux qui relèvent de ses petites fabulations, par exemple. D’autres mensonges « utilitaires » qui ne sont pas inquiétants : ceux pour se défendre (il ment pour ne pas révéler qu’il a eu une mauvaise note à l’école) ou de mise en valeur.
 
Il ne faut pas faire un drame de ces mensonges, s’ils sont occasionnels. Si les parents réagissent trop fortement à un mensonge de défense, par exemple, l’enfant sera poussé à cacher la vérité à nouveau.
 
Quand réagir
 
Ça peut devenir plus inquiétant si en plus des mensonges, l’enfant ne réagit pas, ne dit rien, a perdu son sens de l’humour… On peut lui demander directement ce qui ne va pas, ou utiliser des exemples fictifs pour essayer de le faire parler plus de son problème.
 
Si l’enfant fait des mensonges répétés qui transgressent les règles, cela peut aussi dénoter un problème de communication avec autrui, indique Mme Castro.
 
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Des boissons énergies qui cachent la vérité

Certaines marques de boissons énergisantes vendues sur le marché ne seraient pas toujours tout à fait honnêtes avec le consommateur, rapporte www.nlm.nih.gov, par le biais d’une étude.

C’est que les taux de caféine contenus dans ces boissons ne sont pas toujours divulgués, et quand ils le sont, les chiffres ne seraient pas toujours exacts. Voilà qui n’est pas rassurant.

Le magazine Consumer Reports publie donc que 11 des 27 plus grandes marques de boissons n’inscrivent pas le taux de caféine retrouvé dans le produit, et que des 16 qui l’inscrivent, 5 en contiennent plus qu’indiqué… une « erreur » de parfois 20 %.

Cette étude tombe à pic, puisque cinq cas de décès ont été rapportés récemment à la suite d’une consommation de boissons de type énergisantes. C’est la marque Monster qui a cette fois été pointée du doigt.

Lorsque testées, plusieurs boissons bien connues renfermaient des taux de caféine ahurissants, semant la consternation chez les chercheurs. Des lois souples en matière d’étiquetage et de publication d’élément nutritionnels sur ces produits sont à l’origine du problème.

On conseille fortement de limiter la consommation de ces produits à un ou deux par jour.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Pour vous sentir mieux, cessez de mentir

Pour vous sentir mieux physiquement et mentalement, cessez de dire des mensonges, petits ou grands.

C’est ce que dévoile une étude de l’Université Notre Dame, dont les résultats ont été présentés à la convention American Psychological Association.

110 personnes de 18 à 71 ans ont participé à cette petite étude.

Elles ont été divisées en deux groupes. Pour le premier groupe, on leur a donné comme consigne de cesser tous mensonges, petits ou grands pendant dix semaines. Elles pouvaient toutefois éviter une question, garder un secret ou omettre de dire la vérité.

Le deuxième groupe n’a reçu aucune indication particulière, mais comme le premier groupe, les personnes devaient noter le nombre de mensonges dits et la nature de ces derniers.

Chaque participant a été soumis à un détecteur de mensonges une fois par semaine, en plus d’être questionné sur son bien-être physique et mental. Après dix semaines, le groupe qui devait s’abstenir de dire des mensonges avait vu son bien-être physique et mental s’améliorer grandement. Ils étaient moins tristes, avaient moins de soucis mineurs et moins de maux de tête également.

Pour les chercheurs, il est clair que nous pouvons améliorer notre bien-être général de façon très simple.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les secrets aident au bon développement des enfants

Selon Dana Castro, psychologue clinicienne qui a écrit un livre au sujet des secrets enfantins, « le secret, c’est ce qui permet aux enfants de développer leur monde intime, de se détacher de leurs parents et, surtout, de se faire des amis! »

Castro explique que la plupart du temps, le secret qui peut engendrer le mensonge à un certain âge est sain.

« Le secret a beaucoup de vertus. Rêver, se mettre en valeur, s’encourager, démythifier le pouvoir des parents, se venger des injustices et obtenir la confiance d’un ami. C’est une histoire très sérieuse pour les enfants. À 6 ans, ils savent qu’il peut être dangereux de confier un secret. Et ils sont fiers de le préserver. »

Il semblerait, selon les dires de la psychologue, qu’avant l’âge de 4 ans, les secrets n’existent pas réellement. Jusqu’à l’âge de 8 ans, même s’il commence à assimiler ce qu’est un secret, l’enfant croit fermement que pour être bon, il doit tout dévoiler à ses parents.

Pour un enfant, le secret peut être inconscient. Penser sans le dire qu’on déteste un ami à la garderie, préparer un bricolage pour la fête des Pères ou cacher un pyjama mouillé après un pipi au lit par honte sont tous des exemples de premiers actes de jardin secret des petits, relate Le Parisien.fr.

Cependant, dès l’âge de 5 ans, un pyjama mouillé et caché devient un mensonge, car ce n’est plus la honte qui s’empare du « petit coupable », mais plutôt la peur de se faire réprimander.

La spécialiste conseille aux adultes de ne pas faire une montagne lorsqu’ils voient que leur enfant ment, de ne pas tenter sans cesse d’avoir accès au jardin secret de leur jeune et de privilégier le dialogue pour favoriser les bonnes valeurs et la confiance du petit.

Autrement, le mensonge et les secrets peuvent devenir transgressifs à la préadolescence et causer des troubles familiaux.

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Votre enfant croit tout ce que vous lui dites

Une récente étude publiée dans Psychological Science fait état d’un test où de jeunes enfants ont cru au mensonge d’un adulte, et ce, devant l’évidence et à huit reprises.

Des chercheurs de l’Université de la Virginie, aux États-Unis, ont pu démontrer que des enfants de trois ans avaient plus confiance en des renseignements énoncés qu’à d’autres, transmis sans paroles.

Pour ce faire, un adulte devait montrer à un enfant une tasse rouge et une tasse jaune. Un autocollant était placé sous la tasse rouge. On leur disait que s’ils trouvaient l’autocollant, ils le gagnaient.

Certains enfants se sont fait dire que l’autocollant était en fait sous la tasse jaune, d’autres se le sont fait montrer du doigt uniquement. L’expérience a été répétée huit fois, avec des tasses de différentes couleurs.

Or, les enfants à qui l’on a montré sans dire un mot la mauvaise tasse ont appris à ne pas croire cette information, tandis que ceux à qui on l’avait dit persistaient à croire qu’ils trouveraient l’autocollant.

La différence a ici été marquante, car sur les 16 enfants, 9 d’entre eux n’ont pas choisi la bonne tasse à 8 reprises.

À la fin du test, tous ces enfants ont mérité des autocollants, qu’ils aient choisi les bonnes tasses ou non.