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L’âge de la puberté des filles est héréditaire

Un conflit biologique entre les parents dû à des gènes « imprimés » (gènes dont l’activité diffère selon qu’ils sont transmis par le père ou la mère) déterminerait l’âge auquel se produit la puberté chez leurs filles, rapporte Santé Log.

Après la naissance, les gènes « imprimés » ont une influence sur la manière dont se développent les enfants. Soumis à empreinte parentale, certains gènes s’activent seulement s’ils sont hérités de la mère ou encore du père.

Cette activation ou non peut représenter un conflit biologique entre les parents, voilà ce qui aurait un impact sur l’âge de la maturité sexuelle des filles, explique l’étude de l’University Medical Center de Boston publiée dans la revue Nature à laquelle plus de 35 000 femmes en Islande ont participé.

Pour les chercheurs, cette découverte de conséquences complexes que peuvent avoir des éléments génétiques sur le corps des fillettes signifie qu’il y a peut-être un moyen de découvrir comment la puberté précoce augmente les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancer du sein chez les femmes.

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L’exercice est très bénéfique durant les menstruations

L’exercice physique a des effets étonnants sur la santé des femmes durant leurs menstruations.
 
Selon le Times of India, parmi les grands avantages de la pratique d’activité physique durant les règles, on note une diminution des crampes et ballonnements.
De plus, l’exercice améliore l’efficacité de la circulation sanguine, ce qui diminue les maux de tête et autres douleurs causées par la perte de sang et la diminution du fer dans l’organisme.
 
Cela peut aussi aider certaines femmes à maitriser leur faim, et surtout leur envie de malbouffe.
Bouger permet également de contrer la fatigue qui pourrait survenir lors des règles, et même gérer l’humeur pour certaines femmes.
 
On remarque que les femmes qui ne font que peu ou pas du tout d’exercice physique ont des menstruations plus longues, mais également plus douloureuses et souvent irrégulières.
 
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Les raisons du SPM

Une étude parue récemment dans le Biological Psychiatry nous apprend que le SPM serait dû à la réponse de cellules du cerveau. Celles-ci, nommées les récepteurs GABA, causeraient une instabilité de l’humeur.

Le syndrome prémenstruel est connu pour causer de l’irritabilité, voire de l’anxiété. On croit depuis longtemps qu’il serait d’origine hormonale au lieu de cérébrale.
 
Cette découverte a été faite par des chercheurs de l’Université de la Californie qui ont fait passer des imageries à résonnance magnétique à des patientes qui avaient un trouble dysphorique prémenstruel, lequel est plus sévère que le syndrome courant.
 
L’une des fonctions des cellules GABA est de réguler le stress et l’anxiété. La progestérone, chez les femmes ayant un trouble dysphorique, affecterait ces cellules du cerveau, d’où la maîtrise plus difficile des émotions.

Bien que ces résultats aient été obtenus auprès de patientes ayant un SPM sévère, cette explication s’applique à toutes les femmes.

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Un lien entre l’anorexie et les grossesses non désirées

Les femmes atteintes de ce trouble alimentaire seraient en fait plus à risque de connaître une grossesse non désirée, voire un avortement, nous apprend le journal Obstetrics & Gynecology.

Une étude menée en Norvège démystifie les présupposés liés aux anorexiques. Il serait donc faux de croire que si leurs menstruations deviennent irrégulières ou absentes, elles ne peuvent tomber enceintes tout de même.

Cynthia M. Bulik a mené cette étude de l’Université de la Caroline du Nord. Elle est la directrice du programme des troubles alimentaires de cette université.

Ses collègues et elle ont suivi 62 060 Norvégiennes. 62 d’entre elles étaient reconnues comme étant anorexiques.

Une grossesse imprévue a été rapportée par la moitié des femmes souffrant d’anorexie, contre 18,9 % chez les autres.

De plus, 24,2 % des femmes présentant ce trouble alimentaire avaient déjà subi un avortement. Les autres femmes l’avaient vécu selon un taux de 14,6 %.

Madame Bulik rappelle donc que les conséquences physiques liées à l’anorexie ne peuvent en aucun cas devenir un moyen de contraception.

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L’alimentation influencerait le moment des premières règles

Les fillettes qui consomment beaucoup de viande rouge ont leurs premières règles à un âge plus précoce.
 
Selon le journal Public Health Nutrition, les chercheurs britanniques de l’Université Brighton ont constaté que 45 % des fillettes qui avaient mangé 12 portions de viande rouge par semaine à l’âge de sept ans ont eu leurs premières menstruations à l’âge de 12 ans, comparativement à 35 % des filles qui mangeaient quatre portions et moins.
 
Les régimes alimentaires de 3 000 adolescentes de 12 ans ont été comparés pour l’étude.
 
Les experts affirment que ce type d’alimentation prépare le corps à la grossesse, donc déclenche la puberté à un âge précoce.
 
Cette découverte laisse croire aux chercheurs que l’alimentation des jeunes filles a un lien direct avec le développement de certaines maladies à l’âge adulte. Il est toutefois important de manger de la viande rouge de façon modérée, car c’est une excellente source de fer et de zinc, des éléments essentiels à l’organisme.
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Le diabète et les troubles de l’ovulation sont liés

La dernière édition de la revue médicale The Lancet publie un article qui prétend que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui cause des problèmes d’infertilité, serait accru par l’obésité et le diabète de type 2.

L’un des auteurs de cette recherche, le Dr Didier Dewailly, conclut que 80 à 90 % des problèmes d’ovulation sont reliés à ce type de diabète.

Les chercheurs conseillent donc aux femmes souffrant d’un surplus de poids de suivre un régime amaigrissant. L’ovulation et la fertilité chez la femme peuvent donc être rétablies particulièrement s’il y a perte de poids au niveau abdominal.

Le SOPK touche environ 60 % des Américaines obèses. En France, ce pourcentage chute à 40 %. Cette maladie se caractérise par la présence excessive de kystes sur les ovaires ainsi que par une activité inhabituelle des androgènes. On peut la détecter par la présence d’insuline et de lipides dans le sang.