Catégories
Uncategorized

Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs reconnaissent une nouvelle faculté au chien

Voici une nouvelle étude sans trop de conséquences et sympathique en cette aube de Noël, et qui fera plaisir aux amateurs de canidés de ce monde (et ils sont nombreux).

Des chercheurs finlandais basés à Helsinki sont parvenus à confirmer une nouvelle faculté du chien, selon ce que rapporte Santé Log, et qui vient appuyer les maîtres qui croient créer un véritable lien visuel avec leur animal de compagnie.

En effet, après avoir effectué quelques tests visuels à des canins, l’équipe finlandaise de chercheurs s’est aperçue que ceux-ci pouvaient bel et bien reconnaître des visages sur des photographies proposées, à commencer par celui de leur maître!

Cette découverte, qui semble banale, confère pourtant une qualité visuelle aux chiens qui était jusqu’ici réservée exclusivement aux singes et aux humains. Les chiens pourraient même reconnaître des visages familiers sur des photographies placées à l’envers, mais préféreraient tout de même regarder des images… d’autres chiens.

Cette étude, publiée dans la revue Nature Communications, permet donc de conclure que l’illusion de lien visuel entre les chiens et l’homme n’en est pas une, mais s’avère tout à fait véridique. 

Catégories
Uncategorized

Être une maman multitâche vous ralentit

Selon Dre Sandra Bond Chapman, fondatrice du Center for BrainHealth à l’Université du Texas et auteure du livre Make Your Brain Smarter, notre cerveau n’est pas du tout fait pour le multitâche.

« Le cerveau n’est pas conçu pour faire deux choses en même temps. Le multitâche requiert que le cerveau passe rapidement d’une tâche à l’autre. C’est très demandant, cela fatigue les lobes frontaux du cerveau et ralentit notre efficacité et notre performance », explique Chapman.

Donc, mesdames, selon SheKnows, il vous faudra apprendre à ralentir le rythme et diminuer ce mode d’urgence que vous avez adopté.

Les résultats d’une surutilisation des capacités du cerveau à ce niveau conduit notamment à :

– Des « trous » d’information qui épuisent le mental;

– L’affaiblissement des ressources cognitives;

– L’appauvrissement de la pensée profonde et de la créativité;

– L’augmentation des erreurs et la diminution du blocage d’information non pertinente.

Évidemment, le multitâche finit inévitablement vers les sentiments dépressifs, puisqu’on n’arrive plus à se concentrer sur une seule chose à la fois. En contrepartie, lorsqu’on apprend à se concentrer sur une seule chose, rapporte la Dre Chapman, cela aide à surmonter l’anxiété et le sentiment d’urgence.

C’est un paradoxe, puisque nous devenons plus productives en faisant une chose à la fois qu’en entreprenant 4 ou 5 activités en même temps.

Catégories
Uncategorized

Des congés « mentaux » débattus à la suite de la publication d’une étude

On le sait, le monde dans lequel on vit tourne à une vitesse folle, et les notions de performance et de rentabilité ont pris le dessus sur la santé et le bien-être des gens qui se tuent à la tâche.

Cinq jours par semaine de labeur ponctués de quelques minimes congés et de deux ou trois semaines de vacances annuelles, voilà la réalité de bien des gens. Et quand ceux-ci s’octroient un congé pour cause de maladie, ils ne peuvent souvent pas réellement en profiter, puisqu’ils sont malades!

Une étude publiée cette semaine semble ouvrir un nouveau débat sur l’importance de préserver une bonne santé mentale au travail, et de la nécessité d’octroyer de nouveaux congés « mentaux » qui permettraient de reposer un travailleur afin de revenir en force.

L’étude révèle qu’un Canadien sur dix démontrait des symptômes de troubles mentaux ou de dépendance à l’alcool et aux drogues au cours de la dernière année, et qu’un demi-million de travailleurs sont en congé forcé pour cause de problèmes reliés à la santé mentale.

Radio-Canada, qui rapporte ces statistiques, soumet également l’hypothèse que l’instauration de nouveaux congés destinés à reposer un travailleur ou lui permettre de se refaire une santé mentale serait tout à fait indiquée.

Un débat nécessaire, qui s’amorce à peine malgré un phénomène présent depuis longtemps et en pleine progression. 

Catégories
Uncategorized

Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.

Catégories
Uncategorized

Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

Catégories
Potins

Catherine Zeta-Jones a ses propres problèmes, selon Michael Douglas

L’acteur vénérable et vénéré Michael Douglas confirmait il y a quelques jours à peine sa séparation de la jolie Catherine Zeta-Jones, et voilà qu’on en sait déjà davantage sur les raisons qui ont motivé ce choix.

Même si Douglas prend de l’âge et qu’il a été victime d’un cancer de la gorge, il semble que l’acteur soit toujours aussi enclin aux activités sociales et mondaines, ce qui ne serait pas le cas de son épouse.

Catherine Zeta-Jones aimerait mieux la vie à la campagne que la vie urbaine. Elle aime bien passer du temps seule à la maison ou encore sur un terrain de golf.

De plus, ses problèmes de bipolarité, qui ont mené à deux hospitalisations, auraient également pesé dans la balance. En bref, les deux acteurs auraient commencé à s’éloigner depuis quelque temps, un fait cristallisé par le cancer de Douglas, selon Catherine Zeta-Jones elle-même.

« Je n’avais jamais eu à gérer une situation comme ça avant. Je n’ai pas été aussi forte que j’aurais cru l’être. »

Elle Canada rapporte également les propos d’une source près de Douglas, qui lance candidement : « C’est stressant. Il l’aime, mais elle a ses propres problèmes ».

Catégories
Uncategorized

Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La sociabilité mènerait au bonheur

Sur l’échelle de la vie, plusieurs comportements infantiles et adolescents seront gages de réactions prédéterminées en vieillissant, jusqu’à l’âge d’or.

Plusieurs études ont corroboré ce fait, et en voilà une nouvelle sur le sujet qui trace maintenant un lien entre la sociabilité à un jeune âge et le bonheur éventuel lors du vieillissement.

C’est du moins ce que rapporte Santé Log, alors que des chercheurs de l’Université de Southampton publient une recherche sur le sujet dans le Journal of Research in Personnality.

Menée par la Dre Catherine Gale, en collaboration avec des chercheurs d’Édimbourg, l’étude trace un lien entre l’anxiété, l’introversion et autres réactions du genre lors de la période d’âge située entre 16 et 26 ans, et un sentiment de bonheur amoindri lors de la soixantaine.

Comme vous aurez compris, on observe donc l’inverse, soit un bonheur accru chez les gens de 60 ans qui affichaient de belles qualités de sociabilité durant la période « jeune adulte ».

Il serait donc primordial pour les jeunes adultes de voir rapidement à leur bien-être, à leur épanouissement social et à leur santé mentale. Plusieurs spécialistes, produits et livres sur le sujet sont notamment proposés pour y parvenir!

Catégories
Uncategorized

19 juin : Twitter sensibilise au syndrome de la Tourette

Le syndrome de la Tourette, ou Gilles de la Tourette, attaque Twitter aujourd’hui, alors que plusieurs personnes se joignent à un effort virtuel de sensibilisation à la maladie, rapportent plusieurs sources.

C’est le cas de Top Santé, qui parle d’une « façon originale de faire connaître cette maladie ». Originale, oui, puisque des millions d’internautes utilisent le système de messagerie et de nouvelles.

Certains pourraient d’ailleurs être surpris aujourd’hui, alors que des gros mots ou des répétitions étonnantes pourraient apparaître sur leur fil Twitter, sans avertissement!

Se déroulant toute la journée et pour une période de 24 heures, le concept intitulé #surrenderyoursay (Surrender Your Say ou Abandonnez-vous à vos mots) propose aux habitants de la planète Twitter d’ajouter ce hashtag à une courte phrase associée au syndrome de la Tourette.

Les injures et propos incohérents choqueront sans doute quelques âmes sensibles, ce qui permettra de comprendre encore mieux ce que peuvent vivre les victimes de ce mal.

Cette campagne de sensibilisation en est une originale, et il ne faudrait pas s’étonner que d’autres organisations et causes tentent aussi ce genre d’expérience dans le futur!