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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.

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Pour vous sentir mieux, cessez de mentir

Pour vous sentir mieux physiquement et mentalement, cessez de dire des mensonges, petits ou grands.

C’est ce que dévoile une étude de l’Université Notre Dame, dont les résultats ont été présentés à la convention American Psychological Association.

110 personnes de 18 à 71 ans ont participé à cette petite étude.

Elles ont été divisées en deux groupes. Pour le premier groupe, on leur a donné comme consigne de cesser tous mensonges, petits ou grands pendant dix semaines. Elles pouvaient toutefois éviter une question, garder un secret ou omettre de dire la vérité.

Le deuxième groupe n’a reçu aucune indication particulière, mais comme le premier groupe, les personnes devaient noter le nombre de mensonges dits et la nature de ces derniers.

Chaque participant a été soumis à un détecteur de mensonges une fois par semaine, en plus d’être questionné sur son bien-être physique et mental. Après dix semaines, le groupe qui devait s’abstenir de dire des mensonges avait vu son bien-être physique et mental s’améliorer grandement. Ils étaient moins tristes, avaient moins de soucis mineurs et moins de maux de tête également.

Pour les chercheurs, il est clair que nous pouvons améliorer notre bien-être général de façon très simple.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Cinéma

Toni Collette retrouve le réalisateur de Muriel’s Wedding

17 ans après Muriel’s Wedding, l’actrice Toni Collette travaillera de nouveau avec le réalisateur P.J. Hogan pour la production australienne Mental, rapporte Variety.
 
Pour l’instant, le film est encore au stade de l’écriture et c’est Hogan qui signe le scénario. On y relatera la relation d’une famille avec leur nounou charismatique, mais folle.
 
Après avoir été remarquée dans Muriel’s Wedding en 1994, Collette a joué dans plusieurs productions hollywoodiennes, dont Little Miss Sunshine, The Sixth Sense et The Hours. Elle est également en vedette dans la série télévisée United States of Tara.
 
Par ailleurs, l’actrice australienne sera duremakede la comédie d’horreur Fright Night aux côtés de Colin Farrell. Ce film est prévu en salles le 19 août prochain. Elle attend également une date de sortie pour la comédie dramatique Foster.
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Les problèmes d’enfance affectent pour la vie

Les problèmes physiques ou mentaux vécus durant la jeunesse peuvent avoir encore de graves conséquences à l’âge adulte.
 
Des chercheurs britanniques mentionnent que ces difficultés influencent le reste de notre vie. C’est la conclusion à laquelle ils parviennent après avoir suivi pendant 50 ans 17 636 personnes nées en 1958.
 
Celles qui avaient connu de graves difficultés durant leur enfance avaient un revenu du quart inférieur à 50 ans, comparativement à celles qui n’avaient pas eu de problèmes.
 
De plus, on a remarqué que les personnes qui avaient eu des problèmes psychologiques durant l’enfance étaient moins consciencieuses au travail, moins souvent mariées et leurs relations interpersonnelles étaient moins stables.
 
« Ces résultats montrent que les problèmes psychologiques de l’enfance peuvent avoir un impact négatif considérable dans le cours de la vie d’une personne, beaucoup plus que les problèmes de santé physique », explique James Smith, économiste de la RAND Corporation.
 
Il est donc primordial de traiter les problèmes dès qu’ils surviennent durant la jeunesse, pour éviter qu’ils continuent de planer à l’âge adulte.
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Retards cognitifs dus aux pesticides

Une récente recherche a démontré que les enfants qui sont exposés à des insecticides ont plus souvent des retards. Un ingrédient a été ciblé, le pipéronyl butoxide, une substance mélangée aux pesticides pyréthrinoïdes pour augmenter l’efficacité des produits.

Ayant suivi 350 enfants, des chercheurs américains ont pu constater que l’exposition à ces substances était liée à des retards de développement mental à l’âge de 3 ans. En fait, les risques en étaient plus élevés de 1,32 fois, peut-on lire dans Pediatrics.

De plus, les enfants qui avaient été le plus exposés aux insecticides avaient trois fois plus de risques d’accuser un retard dans leur développement mental. Aucun lien n’a toutefois été fait avec le développement psychomoteur.

La présente étude vient donc soutenir ce que l’on a déjà tenté de démontrer plusieurs fois auparavant et les résultats préliminaires seront utiles pour établir de futures hypothèses.

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S’exercer en milieu naturel est plus bénéfique

C’est connu, il est important de bouger et de faire des exercices physiques. Toutefois, les personnes qui préfèrent s’entraîner en milieux naturels plutôt que dans les salles de gym bénéficient d’un plus grand bienfait.
 
En fait, les effets positifs ne sont pas seulement physiques, mais ils influencent aussi la santé mentale.
 
Après avoir étudié 833 adultes, des chercheurs affirment que les exercices en milieux naturels sont associés à un plus grand sentiment de revitalisation, à une énergie plus grande et à un sentiment positif.
 
Ainsi, la tension, la confusion, la colère et les sentiments dépressifs sont diminués lorsque l’on s’entraîne en milieux naturels.
 
Depuis quelques années déjà, le lien entre la nature et une bonne santé mentale retient l’attention des chercheurs. Cette fois encore, l’Environnemental Science and Technology rapporte que les exercices en nature sont encore plus bénéfiques que ceux que l’on pratique uniquement dans une salle de sports.
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La santé mentale et son effet sur l’asthme

Le Dr Thomas Chun et son équipe de l’Université Brown prétendent que les personnes plus fragiles sur le plan psychologique sont plus à risque de souffrir de maladies respiratoires, comme l’asthme.

Quelque 318 151 dossiers médicaux ont été analysés pour l’occasion. Les résultats, jugés préliminaires, ne permettent pas encore de conclure que les troubles mentaux sont des facteurs de risque pour l’asthme.

« Nous avons découvert que les jours où il y a eu détresse psychologique, l’asthme était au rendez-vous », a noté le Dr Chun, qui prétend que les sujets qui ont une moins bonne santé mentale sont 1,31 fois plus à risque de faire de l’asthme.

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Encore beaucoup de tabous autour de la santé mentale

La 8e édition du Bulletin national sur la santé au Canada, présenté par l’Association médicale canadienne (AMC), nous apprend qu’il y a encore beaucoup de chemin à faire concernant la perception des troubles mentaux.

« Le bulletin de cette année jette un éclairage peu flatteur sur les attitudes que nous avons au Canada face à la santé mentale. À certains égards, les maladies mentales constituent la dernière frontière de la discrimination acceptable par la société », a déploré le président de l’AMC, le Dr Brian Day.

Ainsi, 27 % des Canadiens craignent d’être en présence d’une personne souffrant de troubles mentaux graves. De plus, la moitié d’entre eux n’hésiteraient pas à cacher à leur entourage qu’un membre de leur famille a une maladie mentale, alors qu’elles discuteraient volontiers d’autres maladies comme le cancer ou le diabète.

« Ces statistiques montrent clairement la stigmatisation insidieuse qu’on associe toujours à la santé mentale et aux maladies mentales. Ce sont ces attitudes qui relèguent la santé mentale au second plan depuis beaucoup trop longtemps », a conclu le Dr Day.

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Une recherche sur les conséquences de l’avortement très attendue

L’American Psychological Association (APA) vient de mettre un terme à un vieux débat entre les groupes pro-vie et pro-choix en présentant une recherche dans le cadre de son congrès annuel, qui se tient à Boston.

Les chercheurs concluent que l’avortement n’augmente pas l’incidence de troubles mentaux chez les femmes qui l’ont subi.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe menée par la psychologue Brenda Major a analysé plusieurs recherches sur le sujet. Il en ressort qu’aucune d’entre elles n’est valide d’un point de vue méthodologique.

Bien que certains symptômes, comme la tristesse, la dépression et l’anxiété, soient observés à la suite d’une interruption de grossesse, le risque de souffrir de ces troubles mentaux n’est pas automatique.

« Les femmes qui vivent un avortement ne risquent pas plus de souffrir de troubles psychologiques que les femmes qui font une fausse couche durant leur premier trimestre », a conclu le rapport.