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Channing Tatum rend hommage à sa femme

Channing Tatum est l’un des jeunes acteurs les plus demandés en ce moment. La star de 22 Jump Street avoue avoir dû composer avec plusieurs sautes d’humeur et des émotions variables au cours de sa carrière et de sa vie, et depuis l’arrivée de son enfant.

Il rend cependant hommage à sa femme, Jenna Dewan-Tatum, qu’il remercie pour le maintien de sa santé mentale, rapporte BANG Media International.

« Elle nous a tous gardés sains d’esprit. Jenna place toujours les choses en perspective pour moi, toujours. Je me retrouve souvent à vaciller ou en colère, ou peu importe. Elle finit toujours par replacer le navire d’une manière ou d’une autre », explique Channing Tatum.

L’acteur de 34 ans est en promotion du prometteur Foxcatcher, et admet qu’il apprécie ces périodes qui lui permettent de passer plus de temps avec sa famille.

« C’est tout ce que je veux, avoir plus de temps avec ma famille », conclut la sympathique star de Magic Mike XXL.

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Bébé et cie

Le lien entre une mauvaise alimentation et la santé mentale des enfants

Les enfants et adolescents qui consomment beaucoup de gras saturés, glucides raffinés et aliments transformés sont plus dépressifs et sujets aux sautes d’humeur.

C’est ce que suggèrent les résultats d’une nouvelle étude présentée dans la revue American Journal of Public Health. Les tests effectués ont révélé une corrélation transversale significative entre les mauvaises habitudes alimentaires et une santé mentale plus fragile chez les jeunes.

Dre Adrienne O’Neil est la responsable derrière cette méta-analyse, informe Medical Xpress. « La preuve qu’une mauvaise alimentation est un facteur de risque de maladie mentale chez l’adulte et l’enfant est encore nouvelle dans le milieu », rappelle O’Neil. « La plupart des données ont émergé dans les 7 dernières années ».

En tout, on a utilisé les données de 12 études antérieures sur 83 000 enfants de 4 ans et demi à 18 ans de partout dans le monde.

« L’alimentation et le trouble mental ont été mesurés en même temps, ce qui nous permet de déterminer lequel est apparu en premier », informe Dre Jayne A. Fulkerson.

L’âge de pointe moyen de l’apparition de troubles mentaux chez les jeunes a été établi à 6 ans et 13 ans. Bien que d’autres recherches soient nécessaires, les spécialistes espèrent ainsi prévenir la maladie.

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Sport et Santé

Est-ce que les bandes dessinées pourraient traiter les maladies mentales?

La théorie de Dre Eindra Khin Khin sur la contribution possible de la bande dessinée au traitement de troubles mentaux n’en est encore qu’à l’hypothèse. Elle a cependant été présentée lors de l’American Adademy of Psychiatry and the Law.

« C’est une avenue thérapeutique avec un grand potentiel qui n’a pas encore été explorée », a confié Dre Khin Khin lors d’une entrevue avec Medpagetoday.com. Elle est même étonnée qu’aucun psychologue ou scientifique ne se soit déjà penché sur cette possibilité.

Khin Khin a expliqué qu’à travers les différentes ères de la bande dessinée, les superhéros sont passés d’êtres venus d’ailleurs aux super pouvoirs, invincibles et parfaits, à des gens ordinaires qui savent se démarquer.

Elle rapporte également que des psychologues et psychiatres ont souvent contribué à créer de nouveaux personnages ou des contextes spécifiques dans l’histoire de la BD. Entre autres, Dr William Marston, qui est à l’origine de la création de Suprema: the Wonder Woman.

La seule chose qui manque à l’heure actuelle pour démarrer une recherche, ce sont les fonds. « J’espère avoir suscité l’étincelle chez certains », a conclu Dre Eindra Khin Khin.

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Bébé et cie

Un enfant sur 10 est atteint de troubles de la santé mentale

Les intervenants du système scolaire, selon un article publié dans The Lancet Psychiatry, sont souvent les mieux placés pour détecter les 10 % de jeunes qui ont besoin d’aide pour leur santé mentale.

Ils sont témoins notamment des relations avec les autres élèves, des résultats scolaires, de la gestion émotive, du comportement et du développement physique et moral des enfants sur une base quotidienne.

Ce sont d’ailleurs toutes ces sphères qui sont compromises par les troubles de santé mentale, ce qui en facilite la détection dans le cadre scolaire. Sans compter que c’est 1 enfant sur 10 qui aurait besoin d’aide à ce propos.

Selon les spécialistes, 75 % des gens qui ont besoin des services de santé mentale ont reçu un diagnostic associé avant l’âge de 18 ans. Par contre, on estime que dans les pays industrialisés, seul le quart des jeunes atteints de troubles mentaux sont identifiés et traités.

Medical News Today mentionne cependant que certains intervenants craignent que les jeunes, s’ils sont identifiés comme tels, soient étiquetés et donc stigmatisés à l’école.

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La leçon d’une fillette atteinte d’un trouble obsessionnel compulsif

La mère d’une fillette de 9 ans, dont le TOC s’est déclaré à 7 ans, partage sur SheKnows son expérience et la fierté qu’elle ressent envers sa fille. Celle-ci est en mesure, même à 9 ans, d’éduquer les autres sur les stigmates de la maladie mentale.

Amy Hatch ne savait pas que sa fille souffrait, jusqu’au moment où celle-ci, à 7 ans, lui a confié qu’elle se mutilait avec des punaises parce qu’elle se détestait.

Le plus difficile, après le diagnostic, raconte cette mère, c’est l’étiquette qui l’accompagne. On croit que les gens sont fous, alors que « leur cerveau ne fonctionne simplement pas comme le nôtre ».

Il n’est pas toujours facile, notamment aux États-Unis, d’obtenir les services de santé appropriés, puisqu’ils sont très onéreux et que les spécialistes se font rares. Ainsi, Amy Hatch s’est fait un devoir de parler régulièrement avec sa fille.

Lors d’une dissertation en classe, la fillette a composé une histoire intitulée Monstres.

« Avez-vous peur des monstres? Moi je vis avec. Mon monstre, c’est le TOC. Mais je peux le faire rétrécir, et voici les étapes. Je respire profondément. Après, je trouve ce qui me fait peur. Ensuite, je rejette la cause. Finalement, je parle à ma mère et je me sens mieux.  Mon monstre ne part pas, mais il est bien moins pire. J’espère que les autres qui ont un TOC réussiront à le faire rétrécir. »

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Une excellente nouvelle pour la santé mentale des adolescents

Il s’agit d’une excellente nouvelle, selon le psychiatre David Axelson. Cependant, il faudrait valider qu’ils en reçoivent tous, et que l’aide soit appropriée au degré de sévérité du trouble de santé mentale.

Selon livescience.com, on estime que 6 % de tous les adolescents de 12 à 17 ans sont atteints de troubles de santé mentale.

Dans le plus récent rapport fourni par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), entre 2010 et 2012, on a vérifié les interventions sans médication. Cela signifie des thérapies de toutes sortes fournies à l’école, en centre pour enfants, en clinique, à la maison ou ailleurs. Ils incluent également les programmes scolaires adaptés.

Il s’est avéré que plus des deux tiers des adolescents avaient eu recours à une aide psychologique. « Il existe une panoplie de services alternatifs à la médication », affirme Axelson, « alors il est important de s’assurer que les adolescents les reçoivent ».

Un trouble sévère peut néanmoins nécessiter une combinaison à de la médication. Mais avant toute chose, Axelson insiste sur le fait que la thérapie doit absolument faire partie du processus.

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Les hallucinations auditives de la schizophrénie démystifiées

Une percée intéressante aurait été effectuée par des chercheurs en matière de schizophrénie, alors que ceux-ci seraient parvenus à mieux comprendre et démystifier les hallucinations auditives qui découlent parfois de la maladie.

Les spécialistes américains du St. Jude Children’s Research Hospital se sont attardés à ce symptôme des plus étonnants et terrifiants, et seraient parvenus à établir une cause physique au phénomène, selon ce que rapporte Top Santé.

Après analyse, les chercheurs estiment que ces hallucinations pourraient être le résultat de l’absence d’un gène chez les patients souffrant de schizophrénie. Ce gène manquant impliquerait des transformations chimiques cérébrales et réduirait le flux d’information, en plus d’altérer le traitement normal des informations auditives par le cerveau.

« Nous pensons qu’en réduisant le flux d’informations entre ces deux structures cérébrales qui jouent un rôle central dans le traitement d’informations auditives, on peut réduire l’état de stress et les autres facteurs associés qui déclenchent les voix, qui sont le symptôme psychotique le plus courant de la schizophrénie », estime Stanislav Zakharenko, coauteur de la recherche.

Il s’agit d’une percée des plus intéressantes et prometteuses, dans la quête de traitements plus performants pour soigner les patients schizophrènes.

Les résultats de l’étude américaine ont été proposés dans le magazine Science.

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Les parents de jeunes enfants sont-ils tous en manque de sommeil?

La Presse rapporte les conseils de Francine Ferland, ergothérapeute et auteure du livre Pour parents débordés et en manque d’énergie. Elle affirme qu’il faut d’abord dissocier fatigue physique et fatigue mentale. La fatigue mentale étant la plus souvent reliée à la dépression.

On parle de jeunes enfants lorsqu’ils sont âgés de 0 à 8 ans. C’est la période durant laquelle ils demandent le plus d’attention. Les horaires sont souvent surchargés, les deux parents travaillent et le stress de la maison s’ajoute au stress professionnel.

« Non, les parents ne sont pas condamnés à être fatigués », assure Mme Ferland. Le premier remède à la fatigue, c’est de prendre du temps pour soi et de faire de l’exercice.

Mais avant tout, le problème, il ne faut pas se le cacher, ce sont les parents qui se l’imposent. La barre est simplement trop haute. Ils ne se donnent pas le droit de reprendre leur souffle, de diminuer la qualité du ménage, de réduire les activités et le couple en souffre.

La pression sociale extérieure est également très forte. Les enfants doivent répondre à des « standards ». Sachez donc décrocher, vous verrez, la fatigue mentale et physique diminuera d’elle-même.

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Le divorce serait particulièrement dangereux pour la santé des hommes

Top Santé rapporte une étude qui confirme certaines théories précédemment avancées par des spécialistes, à savoir que les hommes qui traverseront un divorce risquent d’éprouver des problèmes de santé.

À tout le moins plus que les femmes, comprend-on des informations révélées dans cette étude en provenance de l’Université Cornell, aux États-Unis. On y apprend que les hommes divorcés voient les risques de mort prématurée, de suicide, de dépression et d’AVC augmenter considérablement.

Même chose en ce qui concerne l’abus d’alcool ou la toxicomanie, des comportements qui peuvent justement mener à certains autres problèmes de santé comme ceux énumérés précédemment.

Le professeur Ridwan comment l’étude : « La perception populaire de nombreuses cultures et les médias véhiculent l’idée que les hommes sont solides, résistants et moins vulnérables aux traumatismes psychologiques que les femmes. Il me semble que cette vision humaine est fausse. Les hommes ayant subi un traumatisme psychologique, comme le divorce, la faillite, la guerre et le deuil sont plus vulnérables que les femmes et perdent plus facilement et rapidement leurs points de repère ».

De plus, comme les hommes eux-mêmes vivent convaincus de ce stéréotype, ils seront moins enclins à demander et quérir de l’aide pour les aider à traverser le deuil et l’épreuve, croit Ridwan, à juste titre.

Deux autres études récentes ont par ailleurs indiqué de meilleures chances de survie au cancer (20 %) chez les hommes mariés, ainsi qu’une longévité accrue, en moyenne. Il semble que l’état civil d’un homme influence beaucoup plus sa destinée qu’on aurait pu le croire.

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?