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La nutrition automnale pour garder la forme

L’automne n’est pas la saison préférée de tout un chacun, malgré ses couleurs flamboyantes. De fait, plusieurs personnes ressentent les effets de la dépression saisonnière, entre autres à cause du manque de lumière progressif.

D’autres ressentent de la nostalgie simplement parce qu’ils doivent faire le deuil de l’été, alors que certaines personnes ont de véritables maux qui surviennent lors de la période automnale.

Si plusieurs pilules, gélules et boissons énergisantes existent sur le marché, et qu’il peut être tentant d’en consommer lorsqu’une baisse d’énergie se fait sentir aux abords de l’automne, topsante.com suggère qu’il peut vraisemblablement s’agir d’un mal « placebo », psychologique, qui s’apparenterait plus à de la nostalgie qu’à une réelle fatigue.

Il est donc conseillé de ne pas consommer ces produits en trop grande quantité, tout comme les suppléments de vitamines. Ces derniers sont cependant conseillés, modérément, pour ceux qui ressentent véritablement un effet physique dû au manque de lumière (plus vrai vers le mois de novembre).

On conseille aux gens sensibles à ces phénomènes automnaux de faire de l’exercice, de manger des fruits et légumes et de pratiquer des activités qui les passionnent. Bref, de prendre du temps pour soi et de s’occuper de son corps.

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Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.

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L’hypersexualité démystifiée

Une panoplie de chercheurs de toutes spécialités ont joint leurs forces afin de boucler une étude qui démystifierait une fois pour toutes le concept vague connu sous le nom d’« hypersexualité ».

L’étude s’est effectuée sur 207 patients âgés de 18 ans ou plus qui avaient recours à des soins en santé mentale, rapporte Santelog.com. Du nombre, 152 avaient consulté pour des problèmes de sexualité trop présente dans leur vie.

L’équipe de chercheurs, composée de psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux (et autres thérapeutes), a alors tenté de s’entendre sur les notions de symptômes et de diagnostics dans le cas de l’hypersexualisation.

Les résultats de ce système de « jury » démontrent que ce n’est pas tous les patients qui étaient en problème réel. Du lot, 32 patients ont été gardés en observation, et seulement 29 (sur 207 au début) ont officiellement reçu un diagnostic de trouble d’hypersexualité.

Les symptômes « officiels » qui découlent de l’étude sont donc : fantasmes récurrents et intenses, violents, accompagnés de pulsions qui prennent trop de place dans la vie quotidienne, au point de nuire au développement social. Réagir au stress par des comportements sexuels est aussi du nombre.

Aussi, si une personne tente de maitriser ses pulsions et problèmes et qu’elle en est incapable, ou qu’elle a des comportements sexuels extrêmes sans aucune notion de danger ou de préjudice physique, elle est touchée.

Au final, les chercheurs préfèrent parler de « trouble de la personnalité » plutôt que de dépendance.

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Le travail humanitaire favoriserait l’anxiété et la dépression

 Les bonnes âmes qui se dévouent chaque jour un peu partout sur la planète devraient surveiller leur santé mentale, affirme nlm.nih.gov.

En effet, il appert que le travail humanitaire favoriserait les problèmes d’anxiété et de dépression nerveuse, qui peuvent survenir pendant le voyage et au retour.

Un rapport propose donc aux employeurs dans ce domaine de mettre en place certaines mesures pour contrer le phénomène.

Dans l’étude, les chercheurs ont sondé plus de 200 travailleurs humanitaires et les ont suivis avant, pendant et après leurs interventions.

Au départ, on notait 4 % des travailleurs sujets à l’anxiété, et 10 % qui présentaient des symptômes de dépression. Il s’agit de statistiques normales, en comparaison avec le reste de la population.

Durant les affectations, les chiffres ont grimpé jusqu’à 12 % (anxiété) et 19 % (dépression diagnostiquée). Au retour, le taux d’anxiété rapporté chutait immédiatement de 8 %. La dépression, quant à elle, poursuivait sa hausse vertigineuse avec un taux de 20 %.

Tout comme pour les militaires, le retour à la maison peut s’avérer difficile, et il faut prendre conscience de ce phénomène, selon Alastair Ager, professeur à la Columbia University’s Mailman School of Public Health de New York.

Une vie sociale bien remplie et un soutien soutenu des proches sont des éléments clés dans le maintien d’une bonne santé mentale pour les gens qui vivent des expériences intenses comme l’aide humanitaire, conclut l’étude.

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Les catastrophes naturelles affectent la santé mentale des enfants

Ils ont aussi conclu que de les aider à gérer les facteurs stressants durant et après l’évènement améliorerait leur fonctionnement psychologique.

« Les enfants peuvent avoir à déménager ou à changer d’école. Leur quartier peut ne plus être assez sécuritaire pour qu’ils jouent dehors et ils peuvent ne plus être en mesure de passer du temps avec leurs amis. Les enfants ont besoin d’aide pour gérer cela et d’autres facteurs de stress post-traumatiques », explique l’une des scientifiques ayant pris part à l’étude, Annette M. La Greca.

Publiée dans le Journal of Affective Disorders, la recherche a permis de découvrir que les enfants victimes d’une catastrophe naturelle continuaient de présenter des symptômes de dépression et de stress post-traumatique, et ce, plus de 15 mois après les évènements.

Avec des collègues, La Greca a écrit un guide pour aides les parents à soutenir leurs enfants dans cette période difficile. Le guide suggère aux parents des trucs pour garder leurs enfants en forme et en santé, maintenir une routine normale, gérer les facteurs de stress et leurs émotions.

Rappelons que l’ouragan Katrina, survenu en 2005, a été l’un des plus puissants de l’histoire des États-Unis. Plus de 1836 personnes en sont mortes, et les autorités du pays avaient été critiquées pour le temps d’attente avant l’envoi de secours.

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L’obésité nuit à la santé mentale à long terme

C’est l’Inserm, en collaboration avec l’University College London et les National Institutes for Health (NIH), qui ont réussi à établir des résultats concluants à la suite de cette recherche.

Ainsi, l’obésité, combinée à la présence d’un facteur de risque métabolique, aurait un impact direct sur la dégénérescence du cerveau. Les tests ont été effectués sur un groupe de 6401 fonctionnaires britanniques, dont la majorité était composée d’hommes de 39 à 63 ans.

Les facteurs étudiés étaient notamment ceux de la mémoire, du raisonnement verbal et mathématique et de la fluidité verbale. Les résultats ont été publiés dans la revue Neurology du 21 août.

Il a été démontré que l’obésité, en tant que facteur unique, ne contribue pas nécessairement à un déclin accéléré de la réponse cognitive. Sur une période d’étude s’échelonnant sur 10 ans, seuls les participants obèses et comportant déjà des facteurs de risque métabolique ont vu leurs fonctions cérébrales chuter plus rapidement.

En résumé, la mémoire, le raisonnement et la logique sont affectés surtout en présence de niveaux élevés de triglycérides, d’hypertension artérielle, de glycémie irrégulière ou élevée et d’une carence en bon cholestérol. Le fait est que ces facteurs sont souvent le lot des gens en surpoids.

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L’exercice est bon pour les maths!

Une recherche de l’Université des sciences de la santé de la Géorgie a démontré que les enfants souffrant d’un surpoids auraient tout à gagner en faisant de l’exercice sur une base régulière. 

En effet, il semble que les enfants que l’on a suivis sont devenus meilleurs en mathématiques après être devenus plus actifs.

Parue dans Health Psychology, l’étude en question a porté sur 171 enfants âgés de 7 à 11 ans. Ils étaient tous sédentaires lorsque la recherche a débuté.

On a pu mesurer leur cognition en leur faisant passer un test qui évalue certaines aptitudes scolaires et mathématiques ainsi que la lecture : le Cognitive Assessment System and Woodcock-Johnson Tests of Achievement III.

Certains des participants ont par ailleurs passé des tests de résonnance magnétique afin d’évaluer l’augmentation ou la baisse de l’activité dans certaines zones de leur cerveau.

Les enfants qui avaient fait plus d’exercices ont connu une hausse de leur activité cérébrale dans leur cortex préfrontal. Rappelons que cette zone est reliée à la pensée complexe et à la prise de décision, entre autres.

Quant aux résultats au test d’intelligence, les jeunes qui étaient actifs 40 minutes par jour y ont connu une amélioration de 3,8 points en moyenne.

On voit donc que les enfants auraient tout à gagner si l’exercice quotidien reprenait plus de place à l’école, car en faire leur permet de maintenir une bonne forme physique et mentale.