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Bientôt on modifiera artificiellement vos émotions

Des chercheurs rapportent que c’est à l’aide du xénon, un gaz servant à l’anesthésie, qu’on pourrait faire en sorte que les souvenirs traumatisants soient oubliés.

Science World Report mentionne que les experts souhaitent remplacer la mémoire de certains événements, en grande partie pour traiter toute forme de dépression, par des souvenirs positifs. La recherche a été publiée, entre autres, dans la revue PLOS ONE.

En psychiatrie, on essaie de faire rappeler aux patients des souvenirs positifs pour remplacer ceux qui sont associés à un traumatisme, rapporte Health Day. Cette méthode réduit l’effet du mauvais souvenir.

Dans le cas présent, on stimule volontairement une partie du cerveau, le gyrus dentelé, afin d’inverser des émotions reliées à un souvenir. Le tout a été testé sur des souris, à l’aide d’un implant de fibre optique au niveau du cerveau, et les résultats se sont avérés très concluants.

Les scientifiques espèrent réaliser le même exploit, apparemment avec le gaz anesthésiant, sur les humains souffrant de divers troubles mentaux.

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Si vous croyez que Lena Dunham a peur de la critique, détrompez-vous

Lena Dunham affronte avec confiance la critique vestimentaire de son look sur le tapis rouge des Emmy Awards. Pour elle, il ne s’agit là que d’une bagatelle, puisque toute sa vie, elle a combattu bien pire.

Not That Kind of Girl: A Young Woman Tells You What She’s Learned est un livre sur la peur paralysante qui accompagne les troubles obsessionnels compulsifs, la phobie des germes et le trouble hypocondriaque. L’actrice et réalisatrice de Girl se livre à cœur ouvert.

C’est une thérapeute du nom de Lisa qui a aidé Lena Dunham à traverser chaque jour de crise, informe People. Le livre nous ramène d’ailleurs aux débuts de ces troubles, lorsqu’elle avait 8 ans. La liste de ses craintes qui l’empêchaient de dormir n’a pas de fin.

Plus tard, Dunham confie même avoir appelé sa thérapeute, « accroupie derrière une benne à ordure dans le stationnement de son dortoir et à partir de sa chambre à quelques pas de son bureau », puisqu’elle n’arrivait pas à trouver la force de se rendre à son bureau.

Aujourd’hui, Lena Dunham vit toujours avec ses troubles mentaux et partage cette expérience pour aider autrui.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine

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Naissance prématurée : risque de troubles mentaux accrus

Bien que le risque de développer un trouble mental reste relativement bas, les chercheurs des Archives of General Psychiatry croient que les bébés prématurés sont plus à risque de souffrir d’un trouble bipolaire, de dépression et de psychose.

Une étude menée en Angleterre et en Suisse sur plus de 10 523 patients admis à l’hôpital avec des désordres psychiatriques a permis de faire le lien entre les troubles mentaux et la naissance avant terme, puisque 154 de ces personnes étaient nées prématurément.

Les chances pour quelqu’un né à terme de développer une telle maladie sont de 2 sur 1000, de 4 sur 1000 pour une personne née à 36 semaines, et de 6 sur 1000 pour quelqu’un né à 32 semaines de grossesse.

« Je ne crois pas que les parents devraient s’inquiéter, mais nous savons que les naissances avant terme confèrent une plus grande vulnérabilité à une variété de problèmes psychiatriques, et peut-être que les parents devraient être conscients de cela et surveiller très tôt les signes de problèmes plus graves », explique une auteure de la recherche, la Dre Chiara Nosarti.

Rappelons qu’un test permet maintenant de déterminer si une femme accouchera prématurément. L’analyse sanguine, effectuée durant le 2e trimestre de grossesse, identifie une différence significative des peptides, associés à certaines molécules de protéines. Ces informations permettent de déterminer si la femme enceinte est à risque ou non d’un accouchement prématuré.

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Une recherche sur les conséquences de l’avortement très attendue

L’American Psychological Association (APA) vient de mettre un terme à un vieux débat entre les groupes pro-vie et pro-choix en présentant une recherche dans le cadre de son congrès annuel, qui se tient à Boston.

Les chercheurs concluent que l’avortement n’augmente pas l’incidence de troubles mentaux chez les femmes qui l’ont subi.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe menée par la psychologue Brenda Major a analysé plusieurs recherches sur le sujet. Il en ressort qu’aucune d’entre elles n’est valide d’un point de vue méthodologique.

Bien que certains symptômes, comme la tristesse, la dépression et l’anxiété, soient observés à la suite d’une interruption de grossesse, le risque de souffrir de ces troubles mentaux n’est pas automatique.

« Les femmes qui vivent un avortement ne risquent pas plus de souffrir de troubles psychologiques que les femmes qui font une fausse couche durant leur premier trimestre », a conclu le rapport.