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L’hôtel Mercure, à Cherbourg, verra-t-il le jour?

C’est que le site sur lequel est sis l’établissement nécessite des travaux supplémentaires de dépollution. Selon ouest-france.fr, une station-service occupait l’espace avant la construction.

Le projet visait à redonner vie au secteur, d’où la construction des Éléis, surface de commerces de 30 000 mètres carrés.

Or, en plein milieu du projet, le propriétaire initial, la Schéma, a cédé l’hôtel à Gérard Bertoux. Ce dernier a cependant la ferme intention de poursuivre les travaux, à quelques différences près.

Les 9 étages initiaux se transforment en 8 étages, et l’espace réservé aux commerces au rez-de-chaussée contiendra plutôt des salles de réunions. Le tout pour s’adapter aux voyages d’affaires.

Propriétaire de plusieurs autres établissements, M. Bertoux a cependant créé une incertitude supplémentaire en revampant le Marine hôtel, situé à proximité. Ce dernier devait être démoli après la construction du Mercure, mais les rénovations, à la surprise générale, satisfont pleinement la clientèle touristique.

Cependant, Jean-Michel Houllegatte, maire de Cherbourg, affirme que M. Bertoux « a l’intention de poursuivre le dossier… Il n’y a pas de changement ». Ainsi, les travaux devraient se poursuivre rapidement.

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Les sushis sont remplis de mercure

Des chercheurs de l’Université de Montréal viennent de démontrer que le poisson cru, comme on en mange en sushis, a un taux élevé de mercure. À l’opposé, le faire bouillir avant de le manger réduirait la teneur en mercure de 40 %, et le faire frire en réduirait notre exposition de 60 %.

C’est que la cuisson du poisson a un effet majeur sur la bioaccessibilité du mercure. Toutefois, on ne se privera pas pour autant de sushis, car boire une tasse de café noir ou de thé vert ou noir, quand on en mange, réduirait notre exposition au mercure de 50 à 60 %.

Néanmoins, on rappelle que frire le poisson n’est pas meilleur pour la santé. Ce mode de cuisson augmente les risques de maladie cardiovasculaire.

D’autre part, il est préférable de consommer de petits poissons, ou ceux de type herbivore, comme le tilapia, la carpe et la sardine, pour réduire notre exposition au mercure.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans Environmental Research.

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Une protection pour le cerveau

Une équipe de l’Inserm a mis en lumière des agents protecteurs contre la neurotoxicité du mercure et des effets du métal lourd sur le cerveau.
 
Le Toxicological Sciences affirme que les tests effectués sur des souris victimes d’intoxication alimentaire au methylmercure (MeHg), un dérivé du mercure, montrent qu’après trois mois, elles avaient perdu 30 % de leurs cellules nerveuses du cortex.
 
Toutefois, la chimiokine CCL2 a protégé le cerveau de certaines d’entre elles.
 
« L’ensemble de ces résultats démontre que le MeHg peut provoquer une neuroinflammation et que la chimiokine CCL2 agit comme un système d’alarme neuroprotecteur dans les déficits neuronaux induits par le MeHg. Ils viennent compléter et confirmer d’autres études récentes montrant les effets toxiques du mercure sur le métabolisme énergique et ses effets neurotoxiques », mentionnent les chercheurs.

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La face cachée des sushis

Les sushis sont devenus si populaires qu’ils sont davantage vendus que les sandwichs. Selon la diététiste Louise Sutton de la Leeds Metropolitain University, il faut choisir ses sushis avec soins, car ils peuvent s’avérer être un choix moins santé qu’ils ne le paraissent.
 
Certains sushis, offerts avec les petites boules dures orange, contiennent un haut niveau de cholestérol, rapporte le DailyMail.
 
Bien qu’en général, les sushis soient faibles en sodium, nous les mangeons habituellement avec de la sauce soja, dont un seul sachet contient 1 g de sodium. L’apport quotidien recommandé est de 6 g.
 
Dans les dernières années, les médecins ont noté plus d’infections avec les vers ronds Ascaris, qui seraient associés à une consommation accrue de sushis. Ces vers causent des douleurs abdominales soudaines, des nausées et de la diarrhée. Assurez-vous donc que l’endroit où vous vous procurez vos sushis est convenable. Habituellement, le poisson doit être congelé à – 20 degrés Celsius pendant 24 heures, ce qui tue le ver.
 
Aussi, le niveau de mercure peut être toxique, causant des anomalies neurologiques, la paralysie cérébrale, la surdité et la cécité. Les femmes enceintes devraient toujours s’abstenir de manger des sushis.
 
De plus, certains peuvent contenir des bactéries. Il est donc important de toujours consommer des sushis frais et avant qu’ils soient périmés, en plus de les conserver au réfrigérateur.

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Le mercure contenu dans certains poissons ne serait pas dangereux

C’est reconnu, il est très bénéfique pour la santé de manger régulièrement du poisson, mais la teneur en mercure de certains inquiétait les scientifiques. Pour cette raison, des chercheurs américains se sont de nouveau penchés sur le sujet et il semblerait que les dangers ne sont pas aussi importants qu’on le pensait.
 
Le New England Journal of Medicine mentionne que les chercheurs ont étudié des milliers de rognures d’ongles d’orteils, plus précis que le sang pour mesurer le niveau de mercure. On a comparé la quantité de mercure et le risque d’accident vasculaire cérébral et on constate que le mercure n’annule en rien les bienfaits du poisson pour la santé globale et cardiaque.
 
Toutefois, on conseille toujours aux femmes enceintes et aux enfants d’éviter les poissons riches en mercure comme le requin, le maquereau ou l’espadon.
 
Consommé en trop grande quantité, le mercure peut provoquer des troubles du développement du système nerveux et des troubles de développement au cerveau des enfants, sans compter les risques pour le fœtus.
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Poisson : Les bienfaits l’emportent sur les effets néfastes du mercure

Manger du poisson une ou deux fois par semaine demeure recommandé, car cela protège des maladies cardiovasculaires, même avec la présence de mercure.
 
Ces dernières années, on mentionnait que le mercure augmentait les risques d’infarctus, mais selon la nouvelle étude suédoise effectuée sur 900 adultes et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les effets protecteurs des oméga-3 l’emportent sur les effets potentiellement néfastes du mercure.
 
Sur les 900 personnes étudiées, la moitié avaient déjà eu un infarctus. Ces participants ont été interrogés sur leurs habitudes de consommation de poisson (1,26 fois par semaine en moyenne). On a ensuite analysé le taux de mercure, de sélénium et d’oméga-3 dans leur sang.
 
Les personnes qui consommaient le plus de poisson avaient un taux de mercure sanguin plus élevé. Toutefois, elles ont eu moins d’infarctus du myocarde également. Cela démontre que les bienfaits des oméga-3 l’emportent sur les méfaits du mercure.
 
Par contre, il est toujours préférable de ne pas consommer en trop grande quantité certaines espèces de poisson particulièrement contaminées, comme le requin, l’espadon, le maquereau ou le flétan.
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Aucun lien entre les vaccins et l’autisme

Une nouvelle étude gouvernementale confirme qu’il n’y a pas de lien entre le thimérosal, un conservateur à base de mercure trouvé dans de nombreux vaccins, et le risque accru d’autisme chez l’enfant.
 
Selon la revue Pediatrics, les enfants exposés au thimérosal ne sont pas plus susceptibles que les autres de devenir autistes.
 
Voilà qui devrait rassurer les parents. L’inquiétude avait été soulevée il y a une dizaine d’années et depuis, un vif débat a été alimenté au cœur du milieu scientifique.
 
Les parents avaient alors abandonné la vaccination de leurs enfants, notamment pour les maladies comme la rougeole, les oreillons et la rubéole.
 
La grande majorité des scientifiques considèrent que l’autisme est un trouble du développement qui est génétique et non provoqué par un vaccin ou tout autre composant.
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Nouvelle mise en garde contre les plombages dentaires

Ce n’est pas la première fois qu’on questionne la sécurité des plombages dentaires argentés. La Food and Drug Administration (FDA) pointe maintenant du doigt les effets toxiques du produit sur les fœtus et les jeunes enfants en raison du mercure qu’il contient. Le mercure affecte notamment le développement du cerveau.

Par le passé, on a émis des recommandations aux femmes enceintes de ne pas consommer certains poissons, comme le thon blanc et l’espadon, durant la grossesse à cause de leur taux de mercure élevé.

Cette fois, on questionne la sécurité des plombages, même si l’Association dentaire américaine rappelle que la sécurité de ce produit a maintes fois fait l’objet d’études gouvernementales et indépendantes. Les plombages sont composés à 50 % de divers métaux et à 50 % de mercure.

Ce produit est utilisé depuis une centaine d’années, des millions de personnes en possèdent et on ne recommande pas de les remplacer. Les plombages argentés sont plus robustes, plus durables et moins coûteux, mais aujourd’hui, seulement 30 % des gens le choisissent, la plupart préférant les plombages blancs pour des raisons esthétiques.

Par contre, il est fort probable que les dentistes devront mettre en garde leurs patients contre les risques des plombages argentés, mais ce n’est pas le cas encore.

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Les femmes enceintes doivent-elles éviter le poisson?

Le débat entourant la consommation de poisson durant la grossesse se continue de plus belle. Alors que la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis recommande de ne pas dépasser 12 onces de poisson par semaine dans la diète des femmes enceintes, les scientifiques claironnent que sa consommation a des effets bénéfiques pour le développement du cerveau de l’enfant.

La FDA limite cette consommation en raison de la présence de mercure dans les poissons, alors que la communauté scientifique l’encourage à cause des oméga-3, éléments essentiels au développement du cerveau du foetus.

« Des données récentes nous démontrent que les femmes ne mangent toujours pas assez de poisson et c’est vraiment inquiétant », a déclaré Judy Meehan, directrice générale de la National Healthy Mothers, Healthy Babies Coalition, une organisation destinée à faire connaître les plus récentes études sur la santé des mères et des enfants.

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Un QI plus élevé grâce au poisson ?

Une recherche publiée récemment dans l’American Journal of Epidemiology annonce que des bambins âgés de trois ans ont obtenu des résultats supérieurs à des tests d’intelligence lorsque leur mère a craqué pour les poissons lors de sa grossesse.

Les chercheurs apportent toutefois un bémol à ces résultats puisque le mercure contenu dans plusieurs produits de la mer semble avoir eu l’effet inverse. Les enfants exposés à cette substance lorsqu’ils étaient dans le ventre de leur mère ont moins bien performé à ces mêmes tests.

Pour la Dre Emily Oken et ses collègues de l’école de médecine de l’Université Harvard, les femmes enceintes ne doivent toutefois pas s’abstenir de consommer du poisson lors de la grossesse en raison du mercure puisque les effets des oméga-3 sur le développement du cerveau sont notables.