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Le diabète de grossesse et ses conséquences sur la santé future de la mère

La recherche a été menée par l’équipe du département de recherche de la Kaiser Permanente Northern California.

L’analyse des données s’est échelonnée sur 20 ans et incluait l’information de 898 femmes entre 18 et 30 ans. Les données provenaient du CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults). Le risque de maladie cardiovasculaire était évalué à 18 ans, avant même que les femmes soient enceintes.

À la suite d’une première grossesse, les femmes étaient évaluées périodiquement pour le diabète et d’autres troubles métaboliques, y compris l’épaisseur de la paroi de l’artère carotide. Ces tests se reproduisaient 12 fois après la grossesse.

L’experte principale au dossier, Érica P. Gunderson, a découvert que le diabète gestationnel « pouvait » être relié à l’augmentation de l’épaisseur de l’artère de la carotide, en moyenne 0,023 millimètre de plus que les femmes sans diabète de grossesse.

Gunderson a déclaré, selon The Bump : « Ce résultat indique que des antécédents de diabète gestationnel peuvent influer sur le développement de l’athérosclérose précoce ». De même, elle a jouté : « Le diabète gestationnel peut être un facteur de risque précoce de maladie cardiaque chez les femmes ».

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Le stress des mères est contagieux

Les bébés peuvent non seulement ressentir le stress de leur mère, mais ils seraient aussi affectés physiologiquement.

Les résultats d’une récente recherche menée par Sara Waters, chercheuse postdoctorale à l’Université de Californie à San Francisco, ont été publiés dans le journal Psychological Science.

« Notre recherche démontre que les enfants “attrapent” et incarnent le résidu physiologique des expériences stressantes de leur mère », explique-t-elle.

Alors que le synchronisme émotionnel entre partenaires amoureux a déjà été identifié, la même chose à cette fois été observée entre mère et enfant. Une expérience simple a été effectuée auprès de 69 mères et leurs bébés de 12 à 14 mois.

Munies de capteurs cardiovasculaires, les mères avaient entre autres à prononcer un discours de 5 minutes devant des évaluateurs. Selon l’évaluation reçue, la lecture cardiovasculaire était de bonne à négative. Une fois l’exposé terminé, les bébés, aussi munis de capteurs, étaient réunis avec les mères.

Ceux dont la mère avait reçu de mauvais commentaires ont démontré une augmentation du rythme cardiaque. Plus la mère se sentait stressée, plus le bébé le démontrait aussi.

Voilà qui fournit un important rappel sur l’impact de notre vie, nos choix et nos émotions sur ceux de nos enfants.

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De plus en plus de pères s’impliquent dans leur rôle de parent

ParentingSquad rapporte les effets bénéfiques de cette présence accrue des pères de famille, que le ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis a commentés.

« Les enfants qui sont dans un foyer où le père est attentionné ont de meilleurs résultats d’apprentissage. Bon nombre d’études suggèrent que les pères qui sont impliqués, aimants et qui jouent avec leurs jeunes ont des enfants au QI plus élevé, de même qu’avec de meilleures habiletés linguistiques et cognitives. »

Que ce soit à l’école ou à la maison, les enfants qui bénéficient de l’attention et la présence de leur père en retirent une panoplie d’avantages :

– En entrant à la maternelle, ils sont mieux préparés. Ils sont plus patients et tolèrent mieux le stress et les frustrations associées à l’école.

– Dès la naissance, un père présent et affectueux développera un fort sentiment de sécurité et de confiance chez l’enfant.

– Les jeunes développent aussi de meilleures aptitudes sociales.

– Ils sont moins sujets à se mettre dans le pétrin, tant à l’école qu’à la maison.

– Ils ont moins de risques de développer des comportements dépressifs ou instables.

La preuve que briser les stéréotypes fait toute la différence.

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Cinéma

Un film sur la vie de Mère Teresa dans les plans du scénariste d’Hotel Rwanda

Variety rapporte le lancement d’un projet cinématographique sur la vie de Mère Teresa, basé sur un scénario de Keir Pearson, qui nous avait déjà offert celui d’Hotel Rwanda, il y a quelques années.

Le tournage se déroulerait en Inde, et le film qui suscite déjà la curiosité serait une production indépendante menée par les producteurs Tony Krantz, de Flames Ventures, et Jamey Volk, d’Origin Entertainment.

On avance que le scénario de Pearson serait centré sur le travail de Mère Teresa dans les années 50 à Calcutta, alors que la célèbre altruiste fondait ses Missionnaires de la Charité à la suite d’un appel divin. Le titre du film serait pour l’instant I Thirst.

« Nous sommes impatients de présenter cette histoire à un public mondial. Notre but est d’entrer en tournage d’ici la fin de 2014, et d’y aller avec le lancement durant le printemps ou l’été 2015 », explique Jamey Volk.

Mère Teresa demeure l’un des personnages les plus mythiques et énigmatiques de l’histoire, et ses œuvres ont mené à l’implantation de nombreux hospices, orphelinats, hôpitaux et centres caritatifs, menés par plus de 4000 sœurs, à tout le moins au moment de sa mort, en 1997.

Mère Teresa a remporté le prix Nobel de la paix en 1979.

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Être mère célibataire par choix

Le choix n’est pas toujours simple, comme le mentionne Mikki Morrissette, fondatrice de ChoiceMoms.org et auteure du livre Choosing Single Motherhood. « … si nous ne choisissons pas toujours d’être célibataires, nous choisissons néanmoins d’être mères. »

Pour certaines, « mieux vaut être une mère célibataire, plutôt que d’être au sein d’un couple sans amour ». Dans ces cas, l’insémination et l’adoption sont les deux choix qui s’offrent à elles.

La réaction des proches

Une femme du nom de Roberta affirme que souvent, les proches (amis, famille, collègues) réagiront mal ou croiront qu’ils ont le droit d’émettre leur opinion. Mais parfois, le soutien peut venir de sources inattendues. Dans son cas, c’est l’appel d’une cousine de son père, âgée de 75 ans, qui a changé sa vie. Elle aurait aimé que, dans son temps, les femmes aient cette possibilité, puisque beaucoup de ses amies étaient célibataires et ont regretté de ne pas avoir d’enfants.

Mais l’enfant dans tout ça?

Votre enfant ne pourra jamais dire qu’il n’est pas né par amour, par choix, ou qu’il n’était pas planifié ou bienvenu. Bien au contraire, ces femmes, qui choisissent la maternité même si elles sont seules, savent très bien ce qu’elles font.

Besoin de soutien

Si ce choix fait partie de vos questionnements, n’hésitez pas à aller chercher du soutien. Des sites comme ChoiceMoms.org ou d’autres communautés ou forums peuvent vous apporter réconfort. Mais surtout, ne gardez pas vos craintes pour vous seule.

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L’anxiété post-natale une autre forme de dépression post-partum

Comme l’indique parentsociety.com, les conséquences de la dépression suivant la naissance d’un enfant sont parfois dévastatrices. Les symptômes ont une influence physique, mentale et émotionnelle, sans compter que le partenaire de vie est lui aussi affecté.

Jonathan Abramowitz, président associé et directeur de l’Anxiety and Stress Disorders Clinic à l’Université de la Caroline du Nord, explique que trop de femmes souffrent en silence de la cousine de la DPP : l’anxiété post-partum. « Nous appelons l’anxiété post-partum le trouble caché, puisqu’il y a encore tellement peu de femmes qui le reconnaissent, et il est mal diagnostiqué. »

L’anxiété post-natale peut être similaire à la dépression post-partum et même être développée conjointement. Ce trouble se définit par des comportements excessifs. Notamment, nettoyer la maison et les bouteilles du bébé sans arrêt, vérifier que l’enfant va bien en continu, avoir peur de rester seule avec le bébé et, surtout, être persuadée qu’il se passera quelque chose de terrible et que vous ne pourrez pas l’éviter.

Puisque ce trouble peut vous empêcher de fonctionner au quotidien, il est important de vous tourner sans attendre vers un spécialiste lorsque vous en reconnaissez les symptômes.

Lors de l’étude menée à ce propos, sur les 1000 participantes, 11 % souffraient d’anxiété post-partum (APP).

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Post-partum moins élevé chez les mères qui prennent un congé prolongé

On peut se compter très chanceuse si on a droit à un congé de maternité plus long que les 12 semaines accordées par la loi fédérale aux États-Unis. D’ailleurs, d’un pays à l’autre, les normes diffèrent énormément.

Au Québec, par exemple, on peut prendre jusqu’à 1 an de congé. Voilà une bonne nouvelle pour les futures mamans, puisque selon une étude menée par le Dr Rada Dagher à l’Université du Maryland, un congé plus long pourrait vous éviter les blues post-partum.

« Notre étude démontre que les femmes qui retournent travailler plus tôt que 6 mois après la naissance de l’enfant ont un risque accru de symptômes dépressifs post-partum », a déclaré le Dr Dagher dans un communiqué.

La recherche a pu compter sur la participation de 800 femmes du Minnesota. Celles-ci ont été suivies pendant la première année suivant leur accouchement. 87 % des mères sont retournées au travail avant 6 mois, dont environ 7 % à l’intérieur de 6 semaines, et 46 % à l’intérieur de 12 semaines.

Au cours de cette année, 13 % de ces mères (plus d’une centaine) ont souffert de dépression post-partum.

Les informations relevées indiquent également, selon webmd.com, que plus long était le congé de maternité, et moins grand était le nombre de femmes qui souffraient de ces symptômes.

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Sujets à éviter avec les mères qui retournent au travail

Les mères qui doivent travailler se sentent souvent coupables de laisser leurs enfants derrière elles. Comme le mentionne Parent Society, évitons d’aggraver ce sentiment.

Vous laissez d’autres personnes élever vos enfants

Choisir une personne en service de garde qui prendra soin de nos enfants ne veut pas dire laisser prendre en charge l’éducation. Les femmes qui travaillent s’organisent pour tirer le maximum des moments de qualité avec leurs enfants, et peuvent le faire sans être présentes en tout temps.

Si vous vouliez réellement rester à la maison, vous trouveriez un moyen d’y arriver

Il est faux de croire que toutes les familles peuvent se priver du revenu de l’un des deux conjoints. Si la famille est nombreuse, il est vrai qu’il vaut mieux faire les calculs, puisqu’il se peut que la mère perde plus au change en travaillant qu’en demeurant à la maison. Il n’en demeure pas moins que les finances d’autrui ne vous regardent pas.

Vous ne vous sentez pas coupable de laisser vos enfants?

Inutile de répondre à cette question. Chaque mère qui fait le choix de retourner travailler se sent indigne. Cependant, il se peut également qu’elle s’épanouisse au travail et qu’elle adore sa carrière. En posant cette question, vous jugez un choix qui ne vous revient pas.

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Les Saguenéennes pourront bénéficier d’un service de sages-femmes

Radio-Canada rapporte la confirmation de la part du gouvernement pour voulant que le projet de service d’accouchement supervisé par des sages-femmes soit bel et bien mis en place en 2014.

C’est ce qu’ont annoncé les ministres Stéphane Bédard et Sylvain Gaudreault en début de semaine, semant la joie chez les instigatrices du projet et chez bon nombre de femmes de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Les femmes qui désirent accoucher à la maison pourront le faire dès le mois de mai 2014 , et on prévoit l’ouverture de la maison des naissances pour le mois d’août prochain.

La coordonnatrice Sophie Martin se dit ravie de ce résultat et de cette décision de la part du gouvernement Marois, et souhaite remercier toutes les parties concernées.

« J’ai eu à rencontrer plusieurs chefs de départements, ça c’est toujours bien déroulé. La collaboration est vraiment excellente », lance Martin.

On prévoit qu’une grossesse sur dix sera menée à terme sous la supervision d’une sage-femme à la suite de l’implantation du service.

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Les pères seraient plus généreux que les mères à Noël

L’étude a porté sur 1000 parents du Royaume-Uni. Selon Female First, les résultats rapportent que 30,5 % des pères admettaient dépenser plus de 430 $ sur un seul cadeau de Noël, par rapport à 21,2 % chez les mamans.

Les parents du Royaume-Uni ont d’ailleurs énoncé qu’avoir des enfants leur faisait dépenser de 7750 $ à 15 500 $ pendant les 18 premières années. D’autres étaient plutôt extrêmes et dépensaient parfois plus de 8000 $ en une année, ce qui équivaut au prix d’une maison au bout de 18 ans.

Trop gâtés, les enfants? Certes. Dre Maggie Redshaw, spécialisée dans le jeu chez l’enfant et travaillant chez Little Tikes, rappelle cependant : « Souvent, nos enfants veulent seulement passer du temps avec nous. Je suis certaine qu’ils apprécient les cadeaux, mais une journée au parc en votre compagnie est aussi appréciée de leur part ».

Comme Redshaw l’indique, nul besoin que les cadeaux soit dispendieux. D’où le fondement de l’expression : C’est l’intention qui compte.