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L’âge de la mère et l’autisme

Une étude suédoise du Karolinska Institute et du King’s College à Londres, parue dans l’American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, a tenté d’approfondir les causes génétiques potentielles à l’autisme, tout en excluant les facteurs héréditaires et environnementaux.

C’est en divisant en différents groupes d’âge (moins de 20 ans, 24-29 ans, 30-34 ans et 35 ans et plus) les données de sujets participants que les chercheurs se sont aperçus que les femmes âgées de 35 ans et plus étaient 30 % plus susceptibles de donner naissance à un enfant autiste.

Parmi ces bambins, les enfants de sexe masculin avaient plus de chances d’avoir la maladie.

Quant aux jeunes femmes de moins de 20 ans, ce sont celles qui couraient le moins de risque.

Pour arriver à cette conclusion, les données tirées de 16 rapports épidémiologiques qui concernent 8,6 millions de personnes ont été prises en considération. Sur ce nombre, l’analyse a confirmé que 25 687 cas étaient atteints de troubles du spectre autistique.

Bien que l’âge maternel avancé soit associé à un risque accru de l’autisme, le mécanisme qui explique ceci est encore méconnu, avouent les spécialistes.

Mentionnons que d’autres études importantes au sujet de l’autisme ont déjà confirmé que l’âge paternel était un facteur indépendant à prendre également en considération.

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Des mères sous leur vrai jour

Tannée des demandes exigeantes et des messages subliminaux d’une société trop médiatisée qui prône chirurgie esthétique et Photoshop, une mère du Royaume-Uni a décidé de lancer un site internet où les femmes qui ont déjà accouché peuvent partager photos et discussions en toute liberté, sans artifices et jugements.

En effet, Theshapeofamother.com révèle au grand jour des parties du corps dont plusieurs peuvent avoir honte en raison de l’exposition à des publicités et vedettes représentant le corps de déesses deux semaines après l’accouchement.

« Je me suis rendue compte qu’un corps qui vient d’accoucher est l’un des secrets les mieux gardés de notre société », s’est offusquée Crowder, mère de deux enfants, devant des journalistes de MSNBC.

« Tout ce qu’on voit, ce sont des corps féminins parfaits et retouchés. Et si on ne ressemble pas à ça, on doit le cacher honteusement », ajoute-t-elle.

Pour tenter de bien montrer la réalité et permettre aux femmes de se sentir belles alors qu’elles ont fait ce qu’il y a de meilleur, soit le don de soi pour donner la vie, la maman anglaise invite toutes les femmes à montrer fièrement cicatrices de césarienne, vergetures, seins et ventre mous.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les couples en union libre auraient plus d’enfants qu’avant

CNN.com rapporte que le NCHS a relevé une hausse dans le nombre de naissances chez les parents non mariés entre 2006 et 2010.

Dans la dernière décennie, 22 % des premières grossesses ont eu lieu dans les familles où le couple était en union libre, alors que ce chiffre n’était que de 12 % en 2002.

En fait, presque la moitié des couples non mariés ayant eu des enfants vivaient ensemble.

« La raison principale pour laquelle nous nous sommes attardés là-dessus est que des études faites dans le passé ont prouvé qu’il y avait des différences dans les ressources offertes aux enfants nés avec un seul parent. Les enfants nés d’une mère non mariée ont statistiquement moins de stabilité, et donc plus de facteurs de stress dans leur environnement », explique Gladys Martinez du NCHS.

Rappelons qu’aux États-Unis, 46 % des femmes et 42 % des hommes de moins de 44 ans sont mariés. De plus, les couples ayant cohabité avant de se marier ont autant de chances de vivre une union heureuse que les couples mariés plus tôt.

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L’autisme chez l’enfant relié à l’obésité chez la mère

C’est ce que les résultats d’une étude effectuée par les chercheurs de l’Institut Davis MIND, publiés dans l’édition de la revue Pediatrics, révèlent.

En fait, les mères souffrant d’obésité ont un risque trois fois plus élevé d’avoir un enfant atteint d’un trouble du spectre autistique (TSA).

Cette découverte inquiète les experts, qui estiment que « plus d’un tiers des femmes (aux États-Unis) en âge de procréer sont obèses, et près de 10 % d’entre elles ont un diabète gestationnel ou un diabète de type 2 pendant leur grossesse », selon la biostaticienne à l’Institut MIND, Paula Krakowiak.

Plus le corps de la mère produit de l’insuline, plus son besoin en oxygène est élevé, ce qui peut se traduire par l’acheminement d’air de moins bonne qualité au foetus. Le diabète peut également entraîner une carence en fer chez le foetus, affectant ainsi le développement de son cerveau.

Rappelons qu’environ un enfant américain sur 110 qui nait aujourd’hui sera atteint d’un TSA, et qu’un sur 83 verra sa croissance affectée par un autre trouble envahissant du développement.

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Les accouchements prennent plus de temps qu’il y a 50 ans

C’est à la suite d’analyses poussées observant les données de 140 000 accouchements, recueillies entre 1960 et le début des années 2000, que des chercheurs de l’Institut national de la santé ont conclu que les pratiques modernes pour les naissances pouvaient faire augmenter la durée du travail.

Bien que leur étude ne précise pas tous les facteurs qui contribuent à des accouchements plus longs, les résultats indiquent que les pratiques actuelles devraient être réévaluées.

Ainsi, il a été noté que la première étape du travail (dilatation du col avant la poussée active) a augmenté de 2,6 heures pour les mères à un premier accouchement et de 2 heures pour celles qui ont déjà donné naissance, comparativement aux femmes des années 60.

En moyenne, les enfants d’aujourd’hui naissent cinq jours plus tôt que prévu et ont tendance à afficher un poids plus élevé, tout comme les mères d’ailleurs.

En effet, il a été noté que les femmes des années 2000 ont un indice de masse corporelle de 24, 9 (surpoids = 25) avant la grossesse, comparativement à un IMC de 23 chez les femmes des générations antérieures.

Les femmes d’aujourd’hui sont également âgées d’au moins 4 années de plus que leurs prédécesseures lorsqu’elles donnent la vie.

En salle d’accouchement, les chercheurs ont constaté que plus de la moitié des naissances se font aujourd’hui sous anesthésie péridurale, comparativement à 4 % autrefois, et que l’hormone ocytocine est plus souvent administrée (31 % contre 12 % dans les années 60).

Finalement, l’étude a révélé que le taux d’accouchement par césarienne est quatre fois plus élevé de nos jours, et que l’épisiotomie a été nettement remplacée par l’utilisation de forceps et autres instruments chirurgicaux pour sortir le bébé.

Les résultats complets paraissent en ligne dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology.

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Quand violence conjugale rime avec dépression post-partum

Pour les spécialistes, il n’est pas surprenant qu’il y ait un chevauchement entre la dépression et la violence d’un partenaire intime. Il s’agit là d’un indice fondamental pour dépister un problème ou l’autre lors de consultations avec ces patientes.

Pour le Dr Barry Salomon, l’auteur principal de l’étude : « C’est un grand message que nous voulons envoyer aux pédiatres qui voient les mères accompagner les bébés en clinique. Si vous détectez la dépression post-partum ou la violence conjugale chez une femme, soyez alerte et aidez-les, car l’un est fortement associé à l’autre et vice-versa ».

Le Dr Salomon n’a pas hésité à souligner à nouveau à Reuters « que les mères qui sont déprimées ou sont dans une relation violente ont un effet négatif sur les enfants ».

Grâce à des questionnaires remplis par des mères qui visitaient des cliniques de pédiatrie depuis février 2008, les chercheurs ont conclu que la plupart des femmes violentées étaient des adolescentes qui avaient donné naissances et des Afro-Américaines. Une mère sur quatre semblait avoir souffert de dépression post-partum, et une sur 14 était violentée.

Les mères qui vivaient une relation malsaine avec leur partenaire étaient deux fois plus susceptibles de souffrir de dépression post-partum que celles qui ne vivaient pas de sévices.

De même, les femmes souffrant de dépression post-partum étaient quatre fois plus susceptibles d’être parmi celles qui étaient victimes de violence à la maison.

L’étude, publiée dans le Journal of Pediatrics, a également constaté que les mères souffrant de dépression post-partum étaient plus susceptibles, probablement par anxiété, d’amener leurs enfants à l’urgence plus souvent.

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Mère dépressive, jeune dépressif?

Il ne s’agit pas là d’une question héréditaire ou biologique, mais plutôt de traumatismes.

L’équipe du Pr Ian Colman de l’Université d’Ottawa a démontré, par le biais d’une étude longitudinale publiée dans la revue PLoS, qui s’est étendue de la naissance à l’adolescence pour 937 enfants canadiens, que la dépression chez la mère pouvait provoquer divers traumatismes chez ses enfants.

En effet, la dépression, qui touche environ une femme sur 8, peut conduire un enfant de 2 à 5 ans à ressentir un sentiment de perte lorsque sa mère, principale fournisseuse de soins, devient dépressive, mentionne Radio-Canada.

Déjà très tôt, le développement cognitif et social du jeune peut gravement écoper de la dépression maternelle et des périodes d’absence de la mère. Cela peut avoir des effets troublants, quelques années plus tard, sur la santé mentale de l’enfant.

Selon des données de l’Institut Douglas, les taux de dépression clinique sont peu élevés dans l’enfance et au début de l’adolescence, mais ils augmentent de façon importante à la fin de l’adolescence (environ 17 %), et ce, surtout pour les filles, même si le suicide chez les jeunes touche de plus en plus les garçons.

Le site dépressionnerveuse.fr a établi que les critères qui pouvaient conduire une femme à la dépression sont la grossesse, le syndrome prémenstruel, la puberté, la dépression post-partum, la ménopause, la pauvreté, des sévices physiques ou sexuels, une relation amoureuse difficile, de lourdes responsabilités, l’accumulation de tension et la sensibilité au stress.

Il y a environ deux fois plus de femmes que d’hommes parmi les dépressifs.

Le Professeur Colman rappelle qu’il est important pour les mères d’aller chercher de l’aide afin d’éviter que la dépression ne s’aggrave et pour faire en sorte de cerner le problème chez le jeune rapidement.

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À quand l’ingestion du placenta?

Si presque tous les mammifères non humains consomment leur placenta ou une partie de celui-ci après l’accouchement, c’est qu’il y a sûrement de bonnes raisons… mais quelles sont-elles et pourquoi la mère humaine ne le fait-elle pas?

Selon un article de neuroscientifiques de l’Université de Buffalo et du Buffalo State College, qui paraîtra le 30 mars dans la revue Ecology of Food and Nutrition,l’ingestion du placenta chez l’humain mérite une étude approfondie.

Plusieurs bienfaits sont déjà montrés chez l’animal, qui connaît habituellement des accouchements plus nombreux, un travail plus facile et une meilleure récupération après avoir donné la vie que l’humain.

En effet, l’ingestion du placenta, ainsi que l’ingestion de liquide amniotique par des mères mammifères, provoque une augmentation de l’interaction mère-enfant et augmente les effets analgésiques et méditatifs durant l’accouchement.

Il potentialise également des circuits opioïdes dans le cerveau de la mère, qui facilitent l’apparition du comportement maternel pour prendre soin de son petit et suppriment la pseudo gestation et dépression post-partum, ce qui augmente les possibilités de fécondation à nouveau.

Depuis un certain temps, la société connaît un engouement pour l’ingestion de placenta en capsules. Les spécialistes croient que de nouvelles recherches n’auraient pas pour but « une exhortation pour les femmes à manger le placenta, mais plutôt pour les scientifiques d’isoler et d’identifier la ou les molécules qui produisent l’effet bénéfique et de l’utiliser pour concevoir des outils pharmacologiques ».

Des études antérieures ont d’ailleurs prouvé que dans le cas des opioïdes analgésiques et, il y a un effet bénéfique aussi chez les autres humains qui ne portent pas d’enfants.