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L’affection d’une mère favorise la santé des enfants

Une étude récente de l’Université de la Californie, publiée dans la revue Psychological Science, révèle que bien des enfants qui sont élevés dans des familles à faible statut socioéconomique (SSE) sont plus aptes à développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Par contre, une minorité appréciable reste en bonne santé tout au long de leur vie.

La recherche a étudié si l’affection parentale peut atténuer les facteurs socioéconomiques durant l’enfance.

C’est dans le but de favoriser les relations saines et d’éduquer les parents vulnérables à faire preuve de gestes gratuits et être bons pour leurs enfants que l’étude a été élaborée.

Les contraintes de l’enfance, comme la pauvreté et le manque d’éducation des parents, peuvent laisser un résidu biologique qui apparaît dans la quarantaine, confirment les spécialistes. Cependant, il semblerait que les enfants qui n’ont pas manqué d’amour, de soins et d’attention de la part de leur mère ont eu moins de chances d’avoir un diagnostic du syndrome métabolique, qui est un précurseur de la maladie coronarienne, du diabète de type 2 et des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude se poursuivra, puisque celle-ci a examiné 1205 personnes qui sont nées à la fin des années 70, une époque où les pères étant moins présents dans les relations interpersonnelles. Pour le moment, rien n’indique que le rôle du père aimant a eu une influence sur la santé des enfants devenus grands.

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Les adolescents qui imposent leur avis auprès de leur mère sont moins influençables

Les adolescents sont plus susceptibles de résister à la pression de leurs amis, pour la consommation de drogues notamment, s’ils peuvent s’exprimer librement lors de conversations avec leur mère.

C’est l’une des conclusions d’une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Virginie. L’étude est parue dans la revue Child Development.

Les chercheurs ont étudié plus de 150 adolescents et leurs parents afin de recueillir, entre autres, des informations sur l’interaction entre la mère et l’adolescent.

Les ados qui avaient discuté de sujets tels que l’argent ou les règles de ménage faisaient partie des mieux protégés devant les tentations.

Dans ces échanges, les jeunes ont essayé de persuader leur mère avec des arguments raisonnés plutôt qu’avec de la pression, des pleurs ou des insultes.

L’étude a également démontré que les adolescents qui ont de bonnes relations avec leurs parents et leurs pairs étaient plus susceptibles de résister à l’influence des pairs quant à la toxicomanie.

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L’obésité chez les ados a un lien avec la qualité de la relation mère-enfant

La baisse de la qualité de la relation en terme de sécurité affective de l’enfant et de sensibilité de la mère augmenterait le risque qu’un enfant soit obèse à l’âge de 15 ans, selon l’étude publiée dans le numéro de janvier de la revue Pediatrics.

Parmi ces bambins qui avaient de mauvaises relations avec leur mère, plus d’un quart étaient obèses à l’adolescence, par rapport à 13 % de ceux qui avaient des liens plus étroits avec leur mère pendant l’enfance, indique la recherche.

« Il est possible que l’obésité infantile puisse être réduite par des interventions qui améliorent les liens affectifs entre les mères et leurs enfants plutôt que de se concentrer uniquement sur l’apport alimentaire des enfants et l’activité physique », a déclaré Sarah Anderson, professeure adjointe d’épidémiologie à l’Ohio State Universityet auteure principale de l’étude.

Le lien entre la mère et son enfant peut être influencé par certains facteurs qu’elle ne peut pas nécessairement contrôler. « Nous devons réfléchir à la bonne façon de soutenir une meilleure qualité des relations mère-enfant parce que cela pourrait avoir un impact sur la santé des enfants », a souligné Sarah Anderson.

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Les mères qui allaitent au moins six mois ont une pression artérielle plus basse

Des chercheurs américains ont indiqué que les femmes qui ont allaité pendant moins de trois mois étaient près d’un quart plus susceptibles de développer des problèmes de pression sanguine.

L’étude, publiée dans The American Journal of Epidemiology, a suivi près de 56 000 femmes avec au moins un enfant.

Bien que les résultats ne prouvent pas que l’allaitement maternel soit le seul facteur pour une meilleure pression artérielle, les chercheurs ont tout de même indiqué que cette pratique est bonne pour les mères ainsi que pour leurs bébés.

« Les femmes qui n’ont jamais allaité sont plus susceptibles de développer de l’hypertension que celles qui ont allaité exclusivement au sein leur premier enfant pendant six mois ou plus », a déclaré la Dre Alison Stuebe, de l’Université de la Caroline du Nord, qui a dirigé l’étude.

D’autres études ont déjà démontré que les femmes qui allaitent ont moins de risques de diabète et de maladies cardiaques, plus tard dans leur vie.

Près de 8900 femmes ont été diagnostiquées avec de l’hypertension depuis plus de 20 ans.

Des études antérieures ont également montré que l’allaitement protège les bébés notamment contre la diarrhée et les infections de l’oreille.

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Maman dépressive, enfant vulnérable?

Il semble que la dépression de la mère influence le comportement et le bien-être des enfants, lit-on dans Pain. En effet, il semble qu’un enfant dont la mère est dépressive ait plus de risques de souffrir d’anxiété ou de développer un problème de comportement.

Cette situation n’est pas aussi rare que l’on puisse s’imaginer. La dépression post-partum touche près de 15 % des femmes, et sûrement plus, car de très nombreux cas ne sont pas diagnostiqués.

Des effets à long terme se répercutent alors sur les enfants, en particulier en ce qui concerne leur développement social et affectif.

Par cette nouvelle recherche, on envisage plusieurs traitements potentiels qui pourraient donner de grands résultats. De plus, on peut déjà entrevoir de meilleures pistes de prévention.

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Maman préviendrait les problèmes de drogue

Selon une récente recherche menée sur des rats par l’University of Adelaide et la Duke University, la mère pourrait jouer un rôle majeur quant à la prévention des problèmes de drogues de ses enfants.

En fait, il semble qu’une mère attentionnée et attentive aux besoins de ses enfants aiderait ces derniers à résister à la tentation de consommer de la drogue plus tard dans la vie.

Il est ressorti d’une expérimentation qu’une mère rat influençait de manière significative la réponse immunitaire du cerveau de sa progéniture durant la petite enfance.

On apprend aussi sur Medical News Today que l’attention maternelle augmentait la production de la molécule Interleukine-10 (reliée au système immunitaire) dans le cerveau.

Ainsi, les jeunes rats arrivaient à mieux résister à la tentation de la morphine. C’est la première fois que l’on démontre la réponse moléculaire provoquée par la morphine sur les cellules gliales de la partie du cerveau dédiée à la récompense.

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Des corticostéroïdes en grossesse

Si la mère a pris des corticostéroïdes durant sa grossesse, un bébé né à la 23e semaine aura de meilleures chances de survie, apprend-on dans le Journal of the American Medical Association.

Précisément, l’enfant sera moins enclin à souffrir d’une déficience neurologique lorsqu’il aura de 18 à 22 mois. Cette baisse des risques de mort et d’une telle lacune n’a toutefois pas pu être remarquée chez des bébés prématurés nés à la 22e semaine de grossesse.

Des chercheurs de l’University of Alabama (Birmingham) sont arrivés à ces résultats après avoir suivi plus de 10 000 bébés nés entre la 22e et la 25e semaine de grossesse. Les poupons de cette cohorte avaient eu un poids de naissance se situant entre 401 et 1000 grammes (0,88 à 2,2 livres).

Par la suite, les conséquences possibles sur le développement neurologique ont été évaluées auprès des 4924 poupons qui ont survécu, lorsqu’ils ont eu de 18 à 22 mois.

Les mères qui faisaient partie de cette recherche avaient reçu des corticostéroïdes dans une proportion de 74,1 %.

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Le stress de grossesse rend-il malade?

On lit sur Medscape les résultats d’une étude ayant porté sur le stress durant la grossesse. On a voulu comprendre s’il pouvait augmenter les risques de développement d’une maladie chez l’enfant à naître.

Plus de 60 000 mères ont participé à cette étude. Toutes les naissances avaient mené à un enfant vivant. Le stress maternel durant la grossesse était évalué selon deux aspects, soit le stress commun et le stress émotionnel.

Les chercheurs ont par la suite tenté d’établir des corrélations avec des maladies étant apparues chez les enfants. Celles-ci étaient regroupées en 16 catégories. L’âge moyen, pour faire l’évaluation finale, a été calculé à 6,2 ans (de 3,6 à 8,9 ans).

Il s’est avéré que le stress commun, soit celui relié aux événements de la vie, était fortement relié à l’augmentation des risques de maladies infantiles qui prenaient source durant la période périnatale.

Par exemple, les risques étaient plus élevés quant aux malformations, aux troubles mentaux, aux maladies oculaires, auditives, respiratoires et digestives.

Quant au stress émotionnel, il a été associé à un risque accru d’une maladie périnatale, mais aussi à une baisse des risques d’une maladie du système endocrinien, des yeux et de la circulation.

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Les médicaments et la respiration

Les enfants d’âge préscolaire seraient plus à risque de souffrir d’une respiration sifflante si leur mère a pris de l’acétaminophène durant la grossesse ou s’ils ont reçu des antibiotiques peu après leur naissance.

Des chercheurs viennent de mettre ces données en comparaison avec la supposition que manger du poisson avant l’âge de neuf mois diminuait le risque de ce problème respiratoire.
 
Au total, ils ont évalué des données concernant 44 96 enfants suédois nés en 2003. Elles comprenaient des éléments portant sur l’état de santé des jeunes sujets à différents âges (à 6 et 12 mois, puis à 4 ans et demi), sur la grossesse et sur l’allaitement, entre autres.
 
Il s’est avéré que les enfants avec un historique familial de maladie atopique étaient 70 % plus enclins à avoir une respiration sifflante. Ce risque se trouvait doublé si des antibiotiques avaient été pris par l’enfant peu après sa naissance.
 
D’autre part, manger du poisson aurait diminué les risques de respiration sifflante chez les sujets de 40 %.
 
Les résultats complets de cette analyse comparative viennent de paraître dans la nouvelle édition d’Acta Peadiatrica.
 
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Le parent parfait n’existe pas

À la venue d’un nouveau-né, bien des parents tentent de tout faire à la perfection. Or, cette attitude leur nuirait plus qu’autre chose, lit-on dans Personality and Individual Differences.

Une recherche vient de démontrer qu’une mère aura moins confiance en ses compétences parentales et qu’un père vivra plus de stress s’ils s’en font trop avec ce que leur entourage pourrait penser.

Malgré tout, il s’est avéré qu’une pression dirigée vers soi-même quant à l’atteinte de la perfection avait un effet assez positif sur les pères. Avec le temps, toutefois, cette exigence ne sera pas nécessairement bonne.

Cette étude, qui est parmi les premières à explorer la quête de la perfection chez les nouveaux parents, fait partie d’un vaste projet, le New Parents Project.

Aux fins de l’analyse ici présentée, 182 couples qui avaient eu un bébé pour la première fois entre 2008 et 2010 ont été interrogés.