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Autre appui pour l’allaitement

Selon Pediatrics, on réduirait les risques de mort subite de 73 % en nourrissant un poupon uniquement de lait maternel. Cette annonce vient s’ajouter à la longue liste de bénéfices reconnus de l’allaitement, tant pour la mère que le bébé.

Tous les types d’allaitement entraient d’autre part en corrélation avec une chute de 45 % des risques d’une mort subite. Il semble, selon des experts, que l’allaitement devrait donc faire partie de ses facteurs préventifs au même titre que l’absence d’exposition à la fumée de cigarette.
 
En faisant une moyenne par rapport à l’allaitement unique et sa durée, on arrivait à 60 % moins de risques d’un tel événement. On suggère encore une fois de choisir l’allaitement comme alimentation unique de son enfant durant ses six premiers mois de vie. Il devrait ensuite être poursuivi jusqu’à un an.

Finalement, on s’est demandé quel lien pouvait unir l’allaitement, le partage du lit parental et la prévention de la mort subite du nourrisson. Si le premier peut être encouragé par le second, il semble que l’allaitement à lui seul peut prévenir une mort prématurée du poupon.

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L’avis de la mère serait primordial

Il vient d’être démontré que l’attitude de la famille joue un rôle majeur lorsqu’un jeune souffre d’une maladie mentale. Le rétablissement serait directement lié.

Il s’agirait en fait d’une relation de cause à effet. Une perception négative des troubles mentaux pourrait causer des dommages quant à la façon dont les personnes atteintes se considèrent.
 
Des chercheurs de la Northern Illinois University ont suivi 129 mères dont l’enfant avait reçu un diagnostic de schizophrénie durant 18 mois. Dès le départ, on a pu constater que l’avis de la maman jouait un rôle décisif.
 
Ceux qui était décrits par leur mère de manière négative avaient ainsi plus tendance à avoir des symptômes plus évidents, de même qu’à avoir une moins bonne qualité de vie et une plus faible estime d’eux-mêmes.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à une nouvelle façon de traiter la maladie mentale, c’est-à-dire en ne l’abordant pas que d’un point de vue psychiatrique et dans un unique but de soulagement des symptômes.

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Impact d’un vaccin sur la santé du nouveau-né

On a constaté, après les vagues de vaccination des sept dernières années, que les bébés de moins de six mois avaient eu moins tendance à être hospitalisés en raison de la grippe.

Des chercheurs de l’Université de Wake Forest, en Caroline du Nord, concluent donc que le vaccin contre l’influenza pourrait effectivement protéger le futur enfant lorsqu’une femme enceinte le reçoit.
 
Comme nous le constatons dans cette recherche parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, les nouveau-nés pourraient être protégés contre la grippe avant leur naissance par voie de transport depuis leur mère.
 
Rappelons que les bébés de six mois et moins ne peuvent pas recevoir ce vaccin. De plus, ils accusent le plus haut taux d’hospitalisation chez les enfants.

Les chercheurs recommandent donc fortement le vaccin contre l’influenza durant la grossesse. Des recherches précédentes avaient déjà abordé cette possibilité de transfert de vaccin entre la mère et son bébé.

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Comment déceler la violence familiale?

Bien que de grands efforts soient déployés pour faire baisser le taux de mortalité infantile, on remarque que plusieurs de ses facteurs sont reliés à la violence. Il faudrait donc trouver des moyens efficaces pour venir en aide aux mères et aux enfants qui vivent cette situation.

On apprend ainsi, dans le Western Journal of Nursing Research, que des services américains de la santé ont présenté récemment un plan d’action afin de mieux soutenir les victimes de violence familiale.
 
Précisément, on peut y reconnaître l’effort de mieux former les différents intervenants du milieu des soins de santé. Les autorités en la matière ont reconnu que le personnel avait besoin de plus de formation sur cet épineux sujet, pour mieux reconnaître les signes de violence familiale et de sévices.
 
Les membres des services de la santé sont pourtant déjà formés pour évaluer systématiquement les possibles marques physiques de violence sur leurs patients. Leur encadrement consisterait en fait à les rendre plus aptes à poser les bonnes questions et à entamer la discussion sur le sujet.

De cette façon, on espère mieux accompagner les victimes. Celles-ci pourront ensuite être mieux dirigées vers les différentes ressources dont elles ont besoin.

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Effets du stress sur le foetus

On sait déjà que l’hormone du stress durant la grossesse peut programmer des effets néfastes sur la santé de l’enfant, même sur celle de la prochaine génération.

Une étude de l’Université d’Édimbourg, en Écosse, nous apprend maintenant que ces effets dépendent de la façon dont ils sont transmis.
 
Ainsi, comme nous le lisons sur Medical News Today, les chercheurs se sont basés sur des modèles animaliers pour reproduire ces effets de l’hormone du stress.
 
Par exemple, les taux de glucocorticoïdes peuvent augmenter durant la grossesse si une femme vit du stress. La conséquence peut en être, tant chez l’humain que chez les animaux, un plus faible poids de naissance et une plus forte pression sanguine plus tard dans la vie.

Donc, en observant ces effets de génération en génération, les chercheurs ont remarqué une transmission d’une génération à l’autre de ces effets. Il semble aussi que l’effet était plus marqué chez la progéniture des rats mâles qui avaient été exposés à une hausse des glucocorticoïdes.

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Transmission mère-enfant : nouvelle avancée

Une équipe de chercheurs des Pays-Bas, de l’Australie et du Royaume-Uni aurait mis au point un test pouvant changer la vie des mères porteuses d’une maladie mitochondriale, et surtout celle de leur bébé.

Leurs résultats ont été présentés lors de la conférence annuelle de l’European Society of Human Genetics, nous apprend Medical News Today.
 
Rappelons que les maladies mitochondriales sont dues à une mutation de l’ADN mitochondrial (ou nucléaire) et qu’elles sont reliées à un trouble de chaîne respiratoire du même type.
 
Les effets de ces troubles de santé sont variés et peuvent mener à la mort. Certains des symptômes des enfants atteints consistent en une croissance déficiente, un retard intellectuel, des problèmes d’ouïe ou de vision et des problèmes respiratoires, entre autres.
 
Le test en question permettrait donc d’établir quelles mères, parmi celles risquant de transmettre une telle maladie génétique, peuvent finalement mettre au monde un enfant non atteint.

Ce que l’on appelle ici un « diagnostic de préimplantation génétique » pourrait aussi avoir un impact certain quant à la prévention de la transmission des maladies mitochondriales.

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L’allaitement encouragé par messages textes

Une surprenante étude de la Queensland University of Technology (QUT) a démontré que le message texte pouvait avoir une utilité insoupçonnée.

Après avoir suivi 130 mères, des chercheurs ont conclu que la réception d’un texto pouvait les encourager à poursuivre leur allaitement.
À l’inverse, une nouvelle maman qui n’en reçoit pas aurait quatre fois plus tendance à arrêter d’allaiter son bébé, lisons-nous sur Medical News Today.
 
Le message en question offrait aussi la liaison à un service de soutien offert par l’Australian Breastfeeding Association qui donnait de l’aide par téléphone aux mères en ayant besoin.
 
L’apport du texto à la poursuite de l’allaitement s’expliquerait par le contact direct qu’il crée avec la femme et l’aide directe qu’il propose. Le message qu’il présentait ne sous-entendait aucun jugement, n’était pas stéréotypé et ne faisait pas sentir les femmes coupables. Bref, il ne suggérait pas que l’allaitement était naturel et facile à faire.

Mentionnons finalement que dans le cadre de cette expérimentation, 86 % des femmes allaitaient leur bébé. Le taux national était de 62 %. Alors que globalement, ce dernier taux chute à 46 % après 8 semaines, celui des femmes de l’étude n’avait baissé que de 4 % lorsque l’étude s’est terminée.

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Des données peu encourageantes pour l’allaitement

De récentes données portant sur l’allaitement tendent à présumer que les femmes ne sont pas si nombreuses à adopter l’allaitement comme aliment de base de leur enfant.

Rappelons que les recommandations officielles suggèrent d’allaiter un bébé durant ses six premiers mois de vie et qu’il s’agisse là de son unique alimentation.
 
Selon une étude parue dans Pediatrics, intitulée The Effect of Maternity Leave Length ans Time of Return to Work on Breastfeeding, un plus long moment à la maison avec bébé ne rime pas nécessairement avec un allaitement prolongé. Toutefois, il pourrait l’encourager.
 
Les données obtenues ont porté sur un très grand nombre de femmes. On voulait constater le lien pouvant exister entre différents facteurs du congé de maternité, dont sa durée, et l’allaitement (son adoption et sa durée).
 
Ainsi, les femmes qui avaient eu au moins 13 semaines de congé de maternité avaient allaité dans une mesure de 74,2 %. Celles qui étaient retournées au travail après 1 à 6 semaines avaient allaité leur bébé à 64,6 %.

Malgré tout, celles qui étaient retournées au travail étaient celles qui avaient allaité le moins longtemps. On pense donc que les femmes seraient plus enclines à choisir l’allaitement si elles demeurent plus longtemps à la maison.

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En santé, pas seulement durant la grossesse!

Selon une étude américaine parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, il ne faudrait pas se soucier de sa santé et de son alimentation uniquement pendant une grossesse. Il semble que la santé de la femme ait un impact jusqu’à sept ans avant qu’elle soit enceinte.

En effet, le risque de diabète de grossesse serait déjà dessiné par le profil cardiaque et métabolique de la mère, et ce, avant même qu’elle tombe enceinte.
 
Ce risque serait multiplié par 5 lorsqu’une femme a un indice de masse corporelle (IMC) plus grand ou égal à 25 et qu’elle a un taux de glucose entre 100 et 140 mg/dl.
 
On pourrait donc prédire le diabète de grossesse en mesurant le taux de glucose, l’IMC et l’hypertension d’une femme.

Les chercheurs ajoutent que le facteur le plus déterminant de cette forme de diabète demeure l’obésité, qui survient dans 44 % des cas. Sinon, il semble que l’hypertension augmente les risques de 50 %.

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Des suppléments de grossesse remis en question

Bien que l’on présume que la prévention d’une carence en vitamine A peut augmenter les chances de survie d’un bébé et de sa mère, on remet en question la prise de tels suppléments durant la grossesse.

À la suite d’une étude ayant porté sur des femmes enceintes du Bangladesh, aucune différence notable n’a été relevée quant aux risques de mort pour le fœtus ou pour sa mère, ni pour l’enfant né.
 
Dans cette recherche parue dans JAMA, la moitié des participantes âgées de 13 à 45 ans ont pris des suppléments de vitamine A (ou bêta-carotène), alors que l’autre moitié a reçu un placebo.

Malheureusement, les taux de mortalité relevés n’ont par la suite fait état d’aucune différence. La situation est pourtant grave dans les pays en voie de développement, alors que l’Organisation mondiale de la santé estime que 20 millions de femmes enceintes y ont une carence en vitamine A.