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L’exposition aux BPA durant la grossesse : autres dangers

On apprend une autre répercussion possible des BPA sur la santé. Selon des chercheurs, une exposition à ces produits chimiques pendant la grossesse entraînerait un plus faible poids de naissance. De plus, cette exposition serait celle que les deux parents vivent dans leur lieu de travail.

Selon les résultats parus dernièrement dans Reproductive Toxicology, on a constaté une chute marquée du poids chez les bébés dont la mère avait été directement exposée au Bisphénol A durant sa grossesse dans son milieu de travail.
 
De plus, la même constatation a pu être faite chez les enfants dont la mère avait été exposée aux BPA, mais par le biais du travail du père. La plus faible baisse a finalement été remarquée chez les bébés dont le père occupait un emploi l’exposant le moins au Bisphénol A.
 
Bien que des recherches subséquentes soient requises pour tirer des conclusions définitives, on peut déjà dire que les BPA ont des répercussions sur le développement fœtal durant la grossesse.

L’étude en question a porté sur une cohorte de 1 000 hommes et femmes chinois travaillant dans des manufactures.

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Herbes médicinales : lesquelles sont données?

Ces derniers jours, nous avons appris que plusieurs mères donnaient des suppléments naturels et des tisanes à base d’herbes médicinales à leur bébé.

En fait, sur environ 3 000 nouvelles mamans, un peu moins du dixième a donné de telles substances à leur enfant de moins de 12 mois. Certains questionnements sur la santé et les répercussions sur celle-ci sont bien entendu nés de ces données.
 
Or, il semble que nous puissions brosser un tableau des herbes les plus souvent employées par les mamans. En voici quelques-unes.
 
Sans surprise, l’échinacée y figure, car elle est reconnue pour renforcer le système immunitaire. D’autre part, la camomille serait la meilleure herbe à utiliser avec les enfants. Elle contient des huiles anti-inflammatoires et elle serait bénéfique pour le système nerveux, en plus de soulager les coliques. Quelques gouttes avant de nourrir l’enfant l’aideraient à digérer.
 
Finalement, la valériane (ou herbe à chat) et le fenouil auraient aussi de bons effets. Alors que le premier aiderait les bébés surexcités à s’endormir, le deuxième réduirait les gaz. Les deux seraient bénéfiques sur la digestion en général.

Bien entendu, on recommande aux parents de demander un avis médical avant d’administrer des produits naturels à leur enfant.

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Maman a tout à apprendre de bébé!

Selon Medical News Today, une mère devrait se tourner vers son nouveau-né afin de trouver les meilleures façons de s’en occuper. C’est ce que nous apprend une récente recherche de l’École d’administration des services sociaux de l’Université de Chicago.

Dans le cadre de cette étude, on a insisté sur le point que la jeune maman avait tout intérêt à entretenir une communication avec son bébé. Par exemple, lorsque le travailleur social voulait prendre son enfant, il demandait d’abord le nom de ce dernier et s’attardait à l’inflexion de la voix de la mère.
 
On remarque donc l’importance de la parole entre la mère et son poupon. Ainsi, on soutient que si la mère se concentre entièrement sur son bébé, elle trouvera les réponses quant à la meilleure façon d’en prendre soin et de répondre à ses besoins.

Ainsi, les chercheurs ont fait des vidéos de la vie courante des parents afin de les aider à mieux interpréter la signification des différents comportements de bébé. Selon eux, toutes les solutions s’y trouvent.

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Des bébés prennent des suppléments naturels

Selon Pediatrics, de nombreux enfants consomment des produits naturels dans un but thérapeutique avant qu’ils aient atteint un an. Ce constat a été fait selon une recherche de la Food and Drug Administration (FDA).

Sous forme de sondage, près de 3 000 femmes ont été consultées avant la naissance de leur enfant. Par la suite, des mères ont été interrogées quant à l’administration de tisanes à base d’herbes et de suppléments naturels durant les deux premières semaines de vie de leur bébé.
                       
Les produits en question comprenaient la camomille et la menthe. Parmi les raisons les plus courantes pour qu’une mère donne de telles substances à son enfant, on retrouvait les coliques, la digestion et la relaxation.
 
Parmi les participantes au sondage, 5,7 % des mères avaient déjà donné des produits naturels à leur bébé et 3,6 % l’avaient fait 2 fois ou plus.
 
On se questionne maintenant sur l’interaction possible de telles substances avec des médicaments ainsi que sur leurs répercussions potentielles sur la santé des enfants.

Malgré tout, puisqu’il s’agissait d’un échantillon, on ne saurait pour l’instant reporter ces résultats sur la population entière.

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Impacts de la famille sur les enfants

Il semble, selon une étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health, qu’une pauvreté constante pourrait avoir un impact sur les habiletés cognitives d’un enfant.

C’est la conclusion épineuse à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Institut de l’éducation de l’Université de Londres après avoir analysé les résultats d’un sondage effectué auprès de 18 553 familles au départ. Les 18 819 enfants sur lesquels portait ce sondage étaient nés entre septembre 2000 et janvier 2002.
 
Les questions portaient directement sur les habiletés cognitives des enfants une fois qu’ils ont eu cinq ans, en 2006. On a par ailleurs pu relever des données signifiantes quant à la relation des enfants avec leur mère.
 
Donc, la pauvreté pourrait avoir des répercussions sur la cognition. L’instabilité familiale ne semble pas avoir d’impact en particulier, après que l’on ait tenu compte de la pauvreté, de l’éducation parentale, de l’âge de la mère et des caractéristiques propres à chaque enfant.
 
Ainsi, il semble que selon cette recherche, les enfants qui grandissaient au sein d’une famille de deux parents avaient présenté de meilleures capacités cognitives que ceux qui vivaient avec un seul parent ou qui avaient vécu des changements dans leur structure familiale.

Les chercheurs ont conclu que vivre dans la pauvreté avait un impact marqué sur la cognition d’un enfant de cinq ans, plus que la vie familiale en général.

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Transmission mère-enfant : nouvelles données

De nouvelles données ont été présentées dans Hepatology quant à la transmission de l’hépatite C et du VIH. Un gène influencerait le combat de la transmission à l’enfant, lequel se nomme le IL28B.

En effet, le rejet spontané de l’hépatite C par le bébé serait dû à ce gène IL28B. On a par ailleurs constaté que les facteurs de risque d’une possible transmission auraient tout à voir avec la coexistence de l’hépatite C et du VIH.
 
Des recherches précédentes avaient tenté d’établir des liens entre la transmission de l’hépatite et la façon de nourrir l’enfant (allaitement ou non) ainsi que la méthode d’accouchement (vaginale ou par césarienne), par exemple. Les résultats avaient toutefois été variés, voire contradictoires.

Toutes les données possibles doivent être prises en compte quant à l’épidémie d’hépatite C et du sida. En ce moment, 170 millions de personnes sont infectées de l’hépatite C dans le monde. De 10 à 15 % des cas se soldent par une cirrhose ou un cancer du foie.

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Prévenir la violence par l’éveil des enfants

On peut lire dans Pediatrics qu’un programme éducationnel entamé dans les années 80 a fait ses preuves quant à la prévention de la violence.

En effet, une série d’études ayant porté sur ledit programme ont démontré que l’éveil chez le bébé joue un rôle prédominant quant à son comportement futur.
 
Ainsi, un jeune enfant que l’on pousse à interagir et à jouer avec sa mère deviendrait un adulte ayant moins recours à la violence et ayant une meilleure éducation. Il aurait même un quotient intellectuel plus élevé.
 
La recherche en question, menée par l’Université des Indes occidentales en Jamaïque il y a une vingtaine d’années, avait porté sur 129 bébés jamaïcains. D’une durée de deux ans, elle avait constitué en la comparaison de trois groupes.
 
Les enfants du premier groupe avaient suivi le programme de stimulation, alors que ceux du deuxième groupe avaient simplement reçu du lait maternisé. Un troisième groupe comprenait des enfants qui avait à la fois suivi le programme et pris du lait.

Finalement, les participants ont subi une évaluation lorsqu’ils ont eu 22 ans. Ceux qui avaient reçu une stimulation étaient 65 % moins enclins à avoir recours à la violence.

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Stress et grossesse : répercussions comportementales

Une étude australienne parue dans Research Australia met en garde contre le stress que pourrait vivre la future maman.

À la suite de cette étude longitudinale ayant porté sur près de 3 000 femmes enceintes, les chercheurs ont remarqué une forte corrélation entre le stress et les problèmes comportementaux.

Ces problèmes ont été relevés auprès des enfants nés de cette cohorte, une fois qu’ils ont eu 2, 5, 8, 10 et 14 ans. Il semble que le nombre d’événements stressants pèse plus lourd dans la balance que le type de stress vécu en tant que tel.
 
Ainsi, vivre deux événements stressants ou moins n’aurait aucun impact, mais au-delà de trois, les risques que l’enfant ait un comportement difficile augmentent.

Les types de stress que peut vivre une femme enceinte ont ici été reconnus comme une perte d’emploi, des difficultés relationnelles ou financières, des problèmes avec ses autres enfants, une grossesse compliquée ou la mort d’un proche, entre autres.

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L’insécurité émotionnelle chez le nourrisson peut augmenter ses risques d’obésité dès son plus jeune âge

De nombreuses recherches sont effectuées en ce moment pour tenter de trouver les causes de l’obésité croissante chez les enfants. Ainsi, l’une d’elles, conduite par Sarah Anderson, professeure assistante en épidémiologie à l’Université d’État de l’Ohio, associe le stress relationnel entre la mère et l’enfant comme cause de l’obésité.

Cette nouvelle recherche a été remise en question par de multiples spécialistes qui réfutaient l’attribution de l’obésité au seul facteur d’insécurité émotionnelle. Pourtant, l’information colligée par Anderson et Robert Whitaker, professeur à l’Université Temple de Philadelphie, constitue une solide base de données.

Sur Reserch News, on indique que plus de 6 500 enfants américains âgés de 24 mois ont fait l’objet d’une observation attentive en 2001. Les chercheurs relevaient les indices de l’implication émotionnelle de l’enfant envers sa mère et vice versa, ainsi que la routine instaurée et les habitudes alimentaires.

Les enfants étaient par la suite réévalués à l’âge de 4 ans et demi. En additionnant l’ensemble des facteurs évalués, soit la cote d’insécurité octroyée et le facteur d’obésité, les résultats affichaient une augmentation de 30 % d’obésité chez les enfants ayant vécu un plus grand stress relationnel avec leur mère à l’âge de 24 mois.

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Dur, dur d’être maman

Une étude parue dans Pediatrics fait un constat plutôt inquiétant sur la santé des jeunes parents et de leurs enfants. Il semble que la parentalité entraînerait son lot de problèmes sur la santé, particulièrement pour les mères.

En effet, un sondage effectué auprès de 1 500 adultes dans la vingtaine a démontré que les mamans étaient plus enclines à consommer de la malbouffe et des aliments très caloriques que les autres femmes.
 
Ce comportement est bien entendu reproduit par leurs enfants. Ce constat est assez inquiétant, d’autant plus que les mères avaient aussi un indice de masse corporelle plus élevé que les autres.

Malgré tout, on a noté, par le biais d’un sondage, que les jeunes parents, tant les hommes que les femmes, faisaient des activités physiques d’un effort modéré à vigoureux.