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Maman fait-elle vraiment tout?

On pourrait croire que la vie d’aujourd’hui a changé les rôles de la mère et du père au sein de la famille. Si c’est parfois le cas, il semble que cela constitue encore une exception, selon 20 Minutes.

En effet, selon des observations notées après l’analyse de deux études de l’Ined (Institut national d’études démographiques, en France) menées en 2005 et 2008, peu de changements se sont faits dans les familles ayant un ou des enfants de moins de 14 ans.
 
Les mères sont encore majoritairement responsables de l’éducation des enfants. Elles s’occupent des tâches directement reliées à eux, comme les aider à faire leurs devoirs et les habiller. Quant aux pères, ils s’occupent de leurs enfants, mais sont encore relégués aux loisirs, à les endormir et à les reconduire à l’école.

La venue d’un enfant ne ferait pas nécessairement en sorte que le père participe dans la famille. Au contraire, il serait parfois plus porté à être mis en retrait du fonctionnement de la vie quotidienne et de l’éducation des enfants.

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Banques de lait maternel : l’avis des experts

La popularité grandissante des banques de lait maternel apporte son lot d’inquiétudes et de recommandations.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Canada.com, les experts suivent les mises en garde précédemment annoncées aux États-Unis par la Food and Drug Administration, entre autres.
 
S’ils reconnaissent les effets bénéfiques de l’allaitement, ils avisent toutefois les mères qui voudraient se tourner vers les banques de lait maternel de ne choisir que celles qui sont accréditées.
 
On entend par là que toutes les donneuses ont été évaluées et que tous les tests nécessaires ont été faits. Ainsi, une femme voulant offrir son lait doit être non-fumeuse, ne pas être porteuse de l’herpès, du V.I.H. ou de la syphilis, par exemple.

Finalement, le lait maternel offert ou vendu doit avoir été testé en laboratoire, puis pasteurisé et congelé.

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Grossesse et obésité : dangers réels

Une étude parue dans Human Reproduction indique qu’un bébé dont la mère était obèse au début de sa grossesse a un état précaire. En effet, il risque beaucoup plus de mourir avant sa naissance ou durant sa première année de vie.

Il semble que ces enfants aient deux fois plus de risque de perdre la vie durant ces deux périodes. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni, après avoir suivi une cohorte de 40 932 grossesses. Les bébés de l’étude sont nés entre 2003 et 2005.
 
Le risque total de mort infantile ou intra-utérine atteignait 1,6 % chez les femmes ayant un indice de masse corporelle plus élevé que celui recommandé. Chez celles ayant un poids normal, ce taux n’atteignait que 0,9 %.
 
L’une des plus importantes raisons est que chez les femmes obèses, il survenait plus de cas de prééclampsie, laquelle se reconnaît par une haute pression sanguine. Le diabète est aussi plus fréquent chez les femmes en surpoids.

Ces données sont quelque peu inquiétantes, car nous remarquons depuis quelques années la hausse constante de personnes obèses dans les sociétés occidentales.

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Les jonctions routières provoquent la naissance?

Une étude ayant porté sur 970 mères et leur bébé prématuré a entraîné des résultats assez surprenants. Tous ces participants vivaient à Logan, une ville australienne.

On a remarqué que les bébés dont la mère habitait près d’une jonction routière ou d’une autoroute étaient nés plus tôt que les autres. La différence était de 2 semaines environ, soit 4,4 %.
 
Bien entendu, les facteurs socio-économiques et le degré de tabagisme de la mère ont été écartés.
 
Parue dans Environmental Health, cette étude suppose donc que plus une femme enceinte vit près d’une grande circulation automobile, plus l’enfant naîtra prématurément.
 
Afin de tirer ces conclusions, on a évalué le nombre de routes à proximité de la maison dans un rayon de 500 mètres. Il semble que l’effet était présent jusqu’à 400 mètres, mais que le plus important se remarquait à 200 mètres.

Le bruit et la pollution de l’air auraient donc un certain effet sur le moment de la naissance.

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Bonheur de l’enfant : l’importance de la vie de famille

Selon Medical News Today, une récente étude aurait démontré que le degré de bonheur que la mère retire de son couple a une grande influence sur celui de l’enfant, plus que celui du père.

Après avoir suivi 40 000 familles du Royaume-Uni, des chercheurs ont en effet remarqué que les enfants, une fois âgés de 10 à 15 ans, accordaient plus d’importance à la façon dont leur mère vivait son couple dans leur perception de la vie de famille.
 
En fait, si 60 % de tous les enfants sondés étaient parfaitement heureux de leur vie de famille, ce taux chutait à 55 % lorsque leur mère n’était pas heureuse.
 
Chez ceux qui trouvaient satisfaction dans leur vie de famille, la mère était heureuse dans 73 % des cas.
 
La recherche en question, Understanding Society Research, avait pour but premier d’explorer les relations des gens mariés et en union de fait, ainsi que celles entre parents et enfants.

Finalement, en tentant d’établir un profil type de l’enfant heureux moyen, il semble que ceux qui vivent le plus dans le bonheur sont ceux qui habitent avec deux parents, de familles non reconstituées, qui ont peu de disputes, qui prennent au moins trois repas en famille par semaine et dont la mère est heureuse dans son couple.

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La grossesse influe sur le cerveau du bébé

Une nouvelle étude donne encore des points à l’allaitement. Menée par des chercheurs de l’Université de Durham, en Angleterre, elle a fait un lien entre la croissance du cerveau et le temps investi par la mère.

Il semble que plus la grossesse est longue et plus l’allaitement est prolongé, plus le cerveau du bébé croît. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les chercheurs après avoir suivi 128 mammifères, dont des humains.
 
En ce moment, l’Organisation mondiale de la santé conseille d’allaiter les poupons durant six mois afin que le poids corporel et la taille du cerveau de l’enfant soient maximaux.
 
Les chercheurs de la présente recherche ajoutent quant à eux que cette période devrait même s’étendre jusqu’à ce que l’enfant ait deux ans. Bien entendu, l’allaitement devrait alors être complémentaire à la nourriture solide.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Une mère qui allaite est-elle moins compétente?

On a su dernièrement que les bébés allaités obtiendraient de meilleurs résultats à l’école. Selon Miller-McCune, l’effet serait inverse pour la maman.

Une récente étude de l’Université Oxford a démontré que les mères qui allaitent souffrent d’une image négative en milieu de travail. Il semble que plusieurs études corroborent ce fait.
 
Ainsi, une mère qui allaite serait perçue comme étant moins compétente que ses collègues ayant choisi le biberon. On la verrait comme moins disponible et moins apte à travailler.

Pourtant, le fait d’avoir un enfant n’arrête pas les femmes de retourner sur le marché du travail. L’effet en est donc tout autre : elles délaissent plutôt l’allaitement. Aux États-Unis, par exemple, le tiers des mères seulement choisissent l’allaitement comme unique moyen de nourrir leur enfant.

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La perception du poids est familiale

Une récente étude américaine a démontré que dans les familles où les membres ont un surpoids ou sont obèses, ces derniers sous-estiment très souvent leur poids corporel.

Après avoir pris le poids des participants de l’étude, on a relevé que 68,5 % des mères étaient obèses ou en surpoids et que 38,9 % des enfants l’étaient.
 
Or, après que les participants aient répondu à un sondage, on a remarqué que 81,8 % des femmes obèses sous-estimaient leur poids corporel. La même chose a été observée chez 86 % des enfants obèses.

Ces données sont assez inquiétantes, car nous savons que l’obésité est en hausse dans les sociétés industrialisées et que ses conséquences peuvent être aussi graves que le diabète et les maladies du cœur.

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L’exposition foetale à l’alcool, pire chez les garçons?

Une récente étude de l’École de médecine de l’Université Northwestern a fait la lumière sur les raisons pour lesquelles les fœtus ne réagissent pas tous également à une exposition à l’alcool.

Si certains bébés ne connaissent aucun problème de santé lorsque leur mère consomme de l’alcool durant sa grossesse, d’autres souffriront pourtant du syndrome d’alcoolisme fœtal. Il semble d’ailleurs que les garçons y seraient plus vulnérables.
 
Selon les résultats de l’étude parue dans le FASEB Journal, la raison se cacherait dans les gènes. Une variation génétique donnée par la mère à son fils rendrait celui-ci plus fragile quant à la consommation d’alcool, même si elle est minime. La variation ébranlerait l’équilibre des hormones thyroïdes dans le cerveau.
 
On pourrait donc envisager, à la lumière de ces résultats, de créer un supplément alimentaire pouvant réguler lesdites hormones et ainsi corriger les problèmes liés à l’exposition à l’alcool durant la grossesse.

Rappelons finalement que le syndrome d’alcoolisme fœtal se décrit principalement par des problèmes de comportement, d’apprentissage et des troubles physiques.

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Dépression : l’influence de la rémission de maman

On apprend dans The American Journal of Psychiatry que durant l’année suivant le traitement pour une dépression majeure de leur mère, les enfants voient eux-mêmes leurs symptômes d’un problème psychiatrique s’estomper.

Les risques sont en effet plus élevés, pour un enfant dont l’un des parents est gravement dépressif, de vivre un désordre psychiatrique. Cette amélioration conjointe est donc des plus encourageante.
 
Il s’agit là des résultats d’une étude menée par l’Institut national de santé mentale (États-Unis) ayant porté sur 80 mères.
 
On a ainsi remarqué que si une rémission rapide avait des effets sur la mère et son enfant, dans le cas d’une rémission plus tardive, les symptômes de l’enfant disparaissent aussi, mais il a encore de la difficulté à fonctionner, à la maison et à l’école.

Finalement, lorsque la mère est en dépression pendant plus de deux ans, et ce, sans réduction de ses symptômes, l’enfant a des risques accrus d’en avoir aussi, comme des problèmes de comportement, par exemple.