Catégories
Uncategorized

Un bébé dans la quarantaine fait vivre plus longtemps

Selon une récente étude publiée dans The Lancet, devenir maman ou avoir un autre enfant dans la quarantaine ferait vivre plus vieille. On a tiré cette conclusion après avoir remarqué que les femmes centenaires étaient plus nombreuses à avoir vécu une grossesse durant leur quarantaine que les autres.

Une femme qui tombe enceinte après 40 ans verrait donc ses chances de devenir centenaire être multipliées par 3.
 
Les chercheurs ont remarqué ce fait surprenant en comparant deux groupes, soit un comprenant des femmes centenaires et un autre incluant des femmes décédées à l’âge de 73 ans.
 
Parmi celles ayant vécu plus de 100 ans, 19 % avaient donné naissance à un enfant une fois la quarantaine atteinte. Quant aux autres, elles avaient accouché après 40 ans dans seulement 6 % des cas.

Donner la vie à un âge plus avancé pourrait donc constituer un secret de longévité.

Catégories
Uncategorized

Le postpartum, pour les papas aussi

Nous savons déjà que la mère peut présenter de réels signes de dépression après son accouchement. Or, il semble que le phénomène du postpartum touche aussi le nouveau papa.

C’est ce qu’a remarqué une équipe de l’Université du Michigan en étudiant le cas de 1 746 pères d’enfants âgés de 1 an nés entre 1998 et 2000. Environ 7 % de ces papas étaient dépressifs, à différents degrés.

Il semble que les pédiatres pourraient jouer un rôle important dans la résolution de ce problème, car parmi les pères dépressifs, 77 % en avaient parlé au médecin de leur enfant durant la dernière année.

D’autre part, on a pu remarquer quelques liens avec l’attention que portait un père à son enfant et les punitions qu’il pouvait lui infliger avec l’apparition de symptômes dépressifs. Par exemple, 41 % des dépressifs avaient donné une fessée à leur enfant, comparativement à 13 % pour les autres.

Il semble que le plus grand rôle joué par les pères d’aujourd’hui les rapproche ainsi des problèmes que peuvent vivre les nouvelles mamans. Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Pediatrics.

Catégories
Uncategorized

Effets d’une alimentation pauvre durant la grossesse

Une récente recherche menée par l’Université de Cambridge a démontré de nouveaux effets néfastes d’une mauvaise alimentation durant la grossesse. Les enfants seraient plus vulnérables quant au processus de vieillissement.

On peut en effet lire sur Medical News Today que les enfants nés d’une mère s’étant mal alimentée durant sa grossesse courent plus de risques de développer le diabète de type 2 ou un cancer.

Les chercheurs ont donc analysé l’interaction entre certains facteurs environnementaux et les gènes durant une vie humaine. L’alimentation durant les périodes importantes du développement fœtal faisait partie de ces facteurs.

Jusqu’ici, on n’avait pu prouver un lien inéluctable entre l’alimentation de la femme enceinte et le comportement des gènes.

À la suite d’analyses génétiques, on a pu ici établir que l’alimentation maternelle peut en effet marquer les gènes, et ce, dès les premiers stades de la vie.

Catégories
Uncategorized

Les mères s’occupent deux fois plus des enfants

Encore aujourd’hui, ce sont les mères qui consacrent le plus de temps à s’occuper des enfants. C’est ce que révèle une étude européenne menée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).

Il semble donc qu’une mère passe en moyenne 1 h 40 chaque jour à s’occuper de ses enfants, tandis qu’un père n’y accorde que 42 minutes de son temps. La différence est donc assez marquée.
 
Ces chiffres ne changent pas pour autant si les parents occupent ou non un emploi. En effet, un père qui travaille passera en moyenne 40 minutes chaque jour avec ses enfants, contre 51 minutes pour un papa à la maison.

On a aussi pu remarquer, dans cette étude, que les hommes étaient plus souvent responsables de l’aspect ludique et didactique de l’éducation de leurs enfants, alors que les femmes avaient plus tendance à voir à la surveillance et aux soins accordés à leur progéniture.

Catégories
Uncategorized

Les mères porteuses du VIH peuvent avoir plusieurs enfants sans augmenter le risque de transmission

Selon ce que rapporte MedpageToday.com, une étude a démontré que le deuxième, troisième ou même quatrième bébé d’une mère porteuse du VIH ayant accès à un traitement antirétroviral ne semble pas courir plus de risques de naître avec le VIH qu’un premier enfant. 

Il semble même que le risque pourrait être moins élevé. On a observé un risque de 1,2 % de transmission du VIH entre la mère et son bébé pour un premier enfant, comparativement à un risque de 0,6 % pour les femmes qui ont eu au moins un autre enfant.

Un des auteurs de cette étude a déclaré : « Nous n’avons trouvé aucune preuve d’un risque plus élevé de transmission du VIH de la mère à son bébé ou une charge virale détectable à l’accouchement dans les grossesses successives de femmes porteuses du VIH. »

On rassure donc les gens sur le fait que les femmes porteuses du virus du VIH peuvent avoir des enfants non infectés et en santé si elles reçoivent la thérapie antirétrovirale et de bons soins prénataux.

Catégories
Uncategorized

Maman à la maison, plus sécuritaire?

Une récente étude de l’Université de l’État de la Caroline du Nord stipule que le travail de la mère influencera la condition physique de ses enfants.

En fait, les enfants dont la mère a un emploi auraient 200 % plus de risques de subir un accident ou d’avoir des problèmes de santé.

Ainsi, les hospitalisations, l’asthme, les blessures et les empoisonnements seraient plus fréquents chez ces enfants, comme nous pouvons le lire dans le Vancouver Sun.

Cette étude est contraire à plusieurs autres réalisées au cours des dernières années, qui concluaient quant à elles que les enfants vivaient plus souvent ces problèmes si leur maman était à la maison.

En effet, on avait auparavant remarqué que les enfants dont la mère occupe un emploi avaient une meilleure santé, et ce, en lien avec un revenu familial plus élevé, un plus grand accès à des assurances et une plus forte estime de soi de la maman.

La présente recherche est une analyse de données s’étalant sur 20 ans et regroupant 89 000 enfants de 7 à 17 ans. On a donc aussi pu remarquer que durant les dernières années, le nombre de femmes ayant des enfants âgés de moins de 18 ans a augmenté de 75 %, ce qui pourrait avoir influencé les présentes conclusions.

Catégories
Uncategorized

Dangers d’un médicament pour femme enceinte

La Food and Drug Administration aux États-Unis vient d’émettre un avis important quant à un médicament donné aux femmes enceintes, nous apprend Medical News Today.

La terbutaline est employée depuis un bon moment pour prévenir les accouchements prématurés. Or, son administration est maintenant bannie à cause d’évidents problèmes cardiaques et de décès.

Ce médicament était utilisé à la base pour prévenir et traiter des bronchospasmes liés à l’asthme, à la bronchite et à l’emphysème. On lui a par la suite reconnu la vertu d’empêcher les naissances prématurées.

Toutefois, depuis ce changement dans son utilisation en 1976 jusqu’à 2009, 16 décès de femmes enceintes ont été relevés.

De plus, 12 cas de problèmes cardiovasculaires sévères reliés à l’administration de la terbutaline ont été rapportés de 1998 à 2009, dont des cas d’arythmie cardiaque, d’hypertension et d’œdème pulmonaire.

Le traitement à la terbutaline est désormais proscrit aux femmes enceintes, qu’il soit sous forme orale ou par injection.

Catégories
Uncategorized

Mort d’un enfant : qu’advient-il des parents?

On peut lire sur Medical News Today que des chercheurs de l’Université de York ont fait paraître un livre sur le deuil des parents dont un enfant est décédé, Parenting After the Death of a Child: A Practitioner’s Guide.

Après avoir rencontré des parents qui avaient vécu un tel événement et qui ont au moins un autre enfant, les chercheurs ont noté deux défis à relever pour eux.

Bien entendu, la perte de l’enfant comme telle est une souffrance difficile à traverser. D’autre part, il y a les inquiétudes quant à l’enfant survivant, ainsi que la peine que celui-ci vit lui-même.

En général, on a remarqué que les pères avaient plus souvent tendance à se lancer rapidement dans le travail et le quotidien pour s’en sortir.

Les mères semblaient plus intuitives et près de leurs sentiments. Elles vivent aussi dans la peur constante de perdre leur autre enfant. Globalement, les gens qui vivent ce grand drame en viennent à acquérir un plus grand sens d’eux-mêmes et de la famille.

Le but du présent ouvrage est donc de soutenir les familles endeuillées et de leur fournir des outils pour bien accompagner l’enfant survivant.

On espère aussi pouvoir mieux prévenir les problèmes de santé mentale qui peuvent être entraînés par la mort d’un enfant, comme le choc post-traumatique, l’anxiété et la dépression.

Catégories
Uncategorized

Répercussions d’une maladie du coeur sur le bébé

De 1998 à 2004, les cas de cardiomyopathie chez les femmes enceintes ont augmenté de 24 % aux États-Unis seulement, selon les données de l’Université de la Floride du Sud à Tampa Bay.

Les répercussions en sont non seulement graves pour la mère, mais elles peuvent aussi l’être pour le bébé.

On apprend en effet sur Medpage Today que des complications sont survenues dans près de 40 % des grossesses où la mère souffrait de ce type de maladie, contre 16,4 % si la femme était en bonne santé.

Rappelons au passage que la cardiomyopathie regroupe plusieurs maladies cardiaques s’attaquant à un muscle, le myocarde.

Si les effets sur le bébé sont encore méconnus, on peut en répertorier quelques-uns, dont une naissance prématurée, un faible poids à la naissance, des retards de croissance, des complications néonatales ainsi qu’un plus haut risque d’admission aux soins intensifs.

Catégories
Uncategorized

L’influence de la mère, même au déjeuner

Une maman qui déjeune a aussi de bonnes habitudes alimentaires et a un poids santé. De plus, le saut du déjeuner et la tendance à manger des collations caloriques constituent des exemples transmis à l’enfant, d’où le passage de l’obésité d’une génération à l’autre.

Ce sont là quelques conclusions d’une récente étude ayant porté sur la prévention de l’obésité de l’École Brown de l’Université Washington à St-Louis. Pour ce faire, on a suivi 1 330 adolescentes en période de postpartum réparties dans 27 États américains.

Les participantes devaient rendre compte de ce qu’elles avaient mangé au déjeuner, à la collation et ce qu’elles avaient bu comme boissons, et ce, sur sept jours.

On a vite remarqué que celles qui déjeunaient de 6 à 7 jours par semaine ingéraient 1 197 kilocalories de moins en collation et 1 337 kilocalories par semaine de moins en boissons gazeuses. De plus, elles avaient un indice de masse corporelle inférieur à celles qui déjeunaient moins de deux jours par semaine.

Finalement, les fruits et légumes, le lait, l’eau et les céréales à l’heure de la collation étaient plus fréquents chez les jeunes mères qui déjeunaient.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans le Journal of the American Dietetic.