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Transmission de la fièvre jaune par l’allaitement

Selon le Canadian Medical Association Journal, tout porte à croire que les nouvelles mamans devraient éviter de se faire vacciner contre la fièvre jaune. Ce vaccin est employé couramment depuis les années 40, surtout chez les voyageurs.

Or, si l’on s’est questionné longuement sur la possible transmission de la fièvre jaune par le biais de l’allaitement, il semble en effet plus prudent pour les mères concernées de ne pas en recevoir le vaccin.

Un enfant de cinq semaines pourrait donc aisément contracter la fièvre jaune par le lait maternel. On rapporte un cas en exemple impliquant un enfant de 10 jours. Sa mère a reçu le vaccin contre ce virus avant de se rendre au Venezuela, mais lui, non.

On a dû faire entrer l’enfant à l’hôpital à l’âge de cinq semaines après deux jours de fièvre et d’irritabilité. Un test de moelle épinière a prouvé une infection récente de la fièvre jaune.

La maladie a donc été transmise selon toute évidence par l’allaitement, car l’enfant n’avait pas été piqué par un insecte et n’avait pas été en contact avec des personnes ou des animaux malades. De plus, il n’y avait aucun historique d’herpès dans la famille.

On recommande donc d’éviter la vaccination chez les mères qui allaitent des bébés de moins de neuf mois. De plus, le vaccin devrait être administré seulement après que l’allaitement est terminé ou lorsque l’enfant est assez vieux pour le recevoir.

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Les parents courent trop

Pas moins de la moitié des gens ne parviendraient pas à bien gérer leur temps lorsqu’ils sont parents. C’est ce que rapporte un sondage mené dernièrement par la Ligue des familles, un regroupement français.

Mille parents ont été interrogés dans le cadre de cette recherche. La moitié d’entre eux disaient avoir des difficultés quant à la gestion de leur temps. Il semble que la combinaison du travail, de l’école, des activités et des déplacements constitue en effet un casse-tête pour une grande partie des parents.

24 % des personnes sondées couraient toujours après leur temps, tandis que cela arrivait souvent pour 25 % d’entre elles. Ces résultats sont indépendants de l’âge des enfants et du lieu de vie.

Les femmes semblent plus souvent concernées par ce manque de temps. Les mères âgées de 25 à 39 ans qui ont un conjoint seraient celles qui vivent le plus souvent cette situation.

Cette course affecte bien entendu la qualité de vie de ces adultes. Ainsi, 71 % des parents vivent du stress, alors que 16 % ressentent même de l’inquiétude. Cette dernière tranche de répondants concerne surtout les mères monoparentales.

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Prévenir le stress dès la naissance

Une maman pourrait prévenir le stress que vivra son bébé une fois qu’il sera adulte. C’est la conclusion vers laquelle convergent deux récentes études de l’Institut Douglas.

La première, parue dans Developmental Psychobiology, a fait un lien entre l’allaitement et le stress. Il semble que la quantité et la qualité du lait maternel et la relation entre la mère et son enfant auraient une grande influence sur la réponse au stress du bébé devenu adulte.

La deuxième étude a porté sur les soins parentaux en début de vie. Parue dans le Journal of Psychiatry and Neuroscience, elle a aussi fait un lien avec la réponse au stress.

Après avoir mesuré le taux de cortisol chez de jeunes adultes qui étaient confrontés à une situation stressante, on a remarqué qu’il était très bas chez ceux ayant reçu le plus d’affection lorsqu’ils étaient tout-petits.

Or, le faible taux de cortisol des sujets ayant reçu le plus d’amour maternel était associé à une forte estime de soi, tandis que ceux en ayant eu le moins en avaient une beaucoup plus faible.

Par ailleurs, il semble qu’un faible taux d’hormone du stress peut être un bon ou un mauvais signe. Il faudrait à la fois dépister la baisse de cortisolémie et faire des évaluations psychologiques afin de savoir si une personne est vulnérable au stress.

Malgré tout, ces deux recherches démontrent que l’amour d’une mère peut avoir une influence positive sur le développement du cerveau de son bébé.

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Le tabagisme, de mère en fille?

Il semble que les filles fumeuses sont statistiquement reliées à une mère qui fume aussi la cigarette, et la même chose est observable chez les garçons par rapport à leur père. Ce lien n’existerait pas en croisant les parents toutefois. 

C’est la principale observation à laquelle sont arrivés des chercheurs espagnols après avoir analysé des données s’étalant de 1994 à 2002.

Ils ont choisi ces données de sondages anglais puisqu’elles fournissaient des détails sur les produits consommés à la maison, dont la cigarette.

Des familles avec père et mère ainsi que des familles monoparentales ne comprenant que la mère constituaient les deux types de l’étude en question.

Les chercheurs ont ainsi pu étudier la transmission du tabagisme entre les générations. En général, un garçon a 24 % de risques de fumer si ses deux parents sont fumeurs, contre 12 % si aucun de ses parents ne fume. Les probabilités sont semblables chez les filles avec 23 % et 12 %.

Au sein des familles monoparentales, la mère semble transmettre l’habitude du tabagisme sans regard au sexe de ses enfants : chez les garçons, 32 % sont devenus fumeurs, tandis que chez les filles, 28 % fumaient.

La lutte anti-tabac devrait donc tenir compte du milieu où évoluent les enfants et les adolescents. Les détails de la présente étude sont parus dernièrement dans l’Oxford Bulletin of Economics and Statistics.

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Conflits entre parents : à qui la faute?

Les couples se porteraient-ils mieux lorsque maman s’occupe principalement des enfants? C’est un peu ce que semblent dire les résultats très surprenants d’une récente étude de l’Université de l’Ohio.

Parue dans le Developmental Psychology, cette recherche comprenait 112 couples, pour la plupart mariés, qui avaient un enfant de 4 ans.

On a tout d’abord remarqué que si le père participait à la vie de son enfant en lui donnant de l’attention et en jouant avec lui, le couple était fort et basé sur une véritable collaboration parentale.

Or, on a aussi relevé que lorsque le père prenait soin plus sérieusement de l’enfant, qu’il donnait le bain et lui préparait des repas, par exemple, les parents avaient plus tendance à se faire des reproches et étaient moins portés à se soutenir.

L’un des auteurs de l’étude, Sarah Scoppe-Sullivan, précise toutefois que ces résultats se doivent d’être interprétés comme il faut.

Selon elle, cela ne veut absolument pas dire que le père ne doit pas participer davantage à l’éducation de son enfant. Cela signifie simplement que toutes les formules ne sont pas bonnes pour tout le monde.

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Décrocher un emploi pour maman : une tâche difficile

Un centre d’affaires français, Regus, a commandé une recherche sur les mères de famille et le travail.

Selon ce sondage, seulement 25 % des entreprises souhaiteraient engager une mère en 2011, contre 33 % en 2010. Les raisons en sont nombreuses et il y a tout à penser que les femmes sont encore victimes de discrimination.

En effet, 37 % des employeurs craignent qu’une employée soit moins efficace et moins disponible que les autres si elle a des enfants.

De plus, parmi les entreprises sondées, 33 % des gestionnaires ne veulent pas engager une maman de peur qu’elle parte de nouveau en congé de maternité.

Vingt-quatre pour cent croient finalement que les compétences de ces femmes pourraient être dépassées à leur retour.

Les femmes connaissent déjà ces lois du marché, car dans une étude précédente, 37 % des répondantes considéraient leur congé de maternité comme un frein à leur carrière.

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Avancée dans les cellules souches

Des recherches scientifiques de l’Université de la Californie à San Francisco (UCSF) qui se déroulent depuis une dizaine d’années pourraient mener à une grande découverte.

On peut lire dans le Journal of Clinical Investigation qu’à ce point, les chercheurs ont fait une percée quant aux cellules souches.

Jusqu’ici, leur transplantation était impossible pour le fœtus, car le système immunitaire de la mère en empêchait la réussite.

Or, il semble que la transplantation de cellules souches provenant de la mère elle-même serait la solution.

C’est la conclusion présente des chercheurs après de nombreuses expérimentations sur des souris.

Le procédé en tant que tel consiste en la prise de cellules en santé dans les os d’un donneur et leur transplantation dans le fœtus par injection guidée par ultra-sons.

Cette nouvelle avancée permettrait donc le diagnostic et le traitement de nombreuses maladies génétiques dès le stade fœtal.

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Peines non résolues et attachement de l’enfant

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une récente étude menée conjointement par des universités américaines.

Des chercheurs ont tenté de découvrir si une peine non résolue chez la mère influait sur l’attachement de son enfant prématuré.

Ils ont donc suivi 74 bébés prématurés à compter de l’âge de 36 semaines et leur maman.

En regard de certains paramètres, comme la dépression et les conséquences de la néonatalité, ils ont évalué l’attachement à la mère selon des modèles établis.

L’attachement du bébé aura donc été évalué vers l’âge de 9 mois, puis vers 16 mois.

Les chercheurs de l’étude ont donc pu conclure qu’une peine non résolue a de réelles conséquences sur l’attachement et le sentiment de sécurité de l’enfant prématuré.

Mentionnons que cette influence est notable en situation de naissance prématurée et en regard aux interactions entre la mère et l’enfant.

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Aide aux enfants exposés à la violence

Selon Medical News, les structures actuelles ne soutiendraient pas comme il se doit les enfants exposés à la violence.

Une étude nationale menée par quatre universités suédoises a en effet démontré que les moyens connus n’aideront pas de manière suffisante les enfants témoins de violence contre leur mère.

De plus, il ne serait pas possible en ce moment de déterminer si l’exposition à la violence se poursuivra pour l’enfant.

Parallèlement à cette évaluation des structures présentes, on a remarqué que ce groupe d’enfants avait beaucoup plus tendance à développer des problèmes de santé mentale.

Il semble par ailleurs que le soutien adapté à ces enfants peut influencer de manière notable leur santé mentale.

Les chercheurs suggèrent donc une suite d’interventions afin que les enfants exposés à la violence reçoivent l’aide nécessaire et que celles-ci mènent le moins souvent possible à un traitement psychiatrique.

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Dix-huit mois pour la confiance de maman

Il faudrait 18 mois en moyenne à une jeune maman pour retrouver sa confiance en elle et qu’elle se sente de nouveau femme, apprenons-nous sur 7sur7.

Une étude britannique vient en effet de démontrer que les mois suivant l’accouchement sont si remplis que les mères ont ainsi peu de temps pour prendre soin d’elles.

Parmi les participantes de cette recherche, pas moins des deux tiers ne se trouvaient pas attirantes après avoir accouché.

Le surplus de poids accumulé durant la grossesse semblait être l’une des préoccupations majeures des jeunes mamans.

Certaines ont même avoué se sentir en compétition avec d’autres mères ayant perdu tout ce poids plus rapidement qu’elles.

D’autre part, la solitude est aussi un problème que de nombreuses femmes de l’étude vivaient.