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Enfant et télé : les parents à la rescousse

Il semble que le surpoids et l’obésité peuvent être évités chez l’enfant si la mère et le père proposent des activités sportives au lieu de le laisser devant la télévision.

Cette influence serait tout aussi efficace si les parents posent des actions positives quant à l’alimentation de leur progéniture.

Précisément, le temps d’écoute de la télévision pourrait diminuer de près d’une heure par jour.

Ce sont là les conclusions d’une récente étude publiée dans le Medicine & Science in Sports & Exercise.

Il s’agit d’une recherche menée conjointement par les universités de Wollongong and Newcastle en Australie. Elle a porté sur 165 enfants âgés de 5 à 9 ans et faisant tous de l’embonpoint.

Dans l’ensemble, après 6 mois, les participants regardaient en moyenne la télé 55 minutes. Après 1 an, la moyenne était de 39 minutes.

Ce qui apparaît comme le plus durable et efficace est bien l’activité physique. On ne peut donc que constater encore une fois l’influence du parent sur le comportement de son enfant.

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Allaiter un bébé adopté?

L’adoption d’un enfant n’empêcherait pas l’allaitement, même si sa mère n’a pas été enceinte. 

On peut en effet lire dans Mayo Clinic que la stimulation des glandes responsables de la lactation pourrait entraîner la production de lait maternel.

Rappelons au passage que le lait est produit par la combinaison d’hormones, soit l’estrogène, la progestérone et la prolactine.

Or, la stimulation du mamelon enclencherait cette combinaison, permettant ainsi à une mère adoptive d’allaiter son enfant.

Cette stimulation doit s’échelonner sur une période de deux mois au moins, le sein devant être stimulé au tire-lait toutes les trois heures.

Une thérapie aux hormones existe aussi, mais comme elle est arrêtée au moment où l’allaitement commence, la stimulation est recommandée par les médecins.

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L’enfant épileptique et la dépression de maman

Chez les femmes apprenant un diagnostic d’épilepsie chez leur enfant de 24 mois et moins, de 30 à 38 % souffriraient ensuite de dépression.

Or, on apprend dans Epilepsia que cet état de santé de la mère affecte grandement la qualité de vie de l’enfant.

Toutefois, les répercussions dépendent de l’entourage familial et des ressources d’aide dont elle dispose.

L’apparition de la dépression est commune chez les mères apprenant que leur enfant est épileptique. Une maladie chronique ou grave représente un très haut facteur de stress chez le parent.

Ce constat provient d’un récent sondage de l’Université de l’ouest de l’Ontario réalisé auprès de 339 femmes. Ces dernières avaient toutes un enfant faisant partie de la Health-related Quality of Life of Children with Epilepsy Study (HERQULES).

L’incidence de la dépression serait donc de 30 % si le diagnostic survient à 6 mois, de 32 % à 12 mois et de 30 % à 24 mois. À la base, 38 % des mères concernées sont à risque.

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Les mères dorment moins que les pères

Une récente étude de l’Université du Michigan a démontré que les femmes se lèvent deux fois et demie plus souvent la nuit que les hommes pour s’occuper des enfants.

Parue dans Social Forces, la recherche en question a porté sur les données concernant près de 20 000 parents sur le marché du travail de 2003 à 2007.

Ainsi, parmi les familles de deux travailleurs ayant un enfant de moins d’un an, la mère a plus souvent tendance à se lever la nuit pour prendre soin du bébé. La proportion est de 32 % chez les femmes contre 11 % chez les hommes.

Une fois que l’enfant a d’un à deux ans, les chiffres changent. Ainsi, la mère a un sommeil interrompu dans 10 % des cas. Pour le père, le taux demeure bas, soit deux pour cent.

Les taux baissent une fois de plus lorsque l’enfant a de trois à cinq ans. Il semble alors que les femmes se lèvent la nuit dans une proportion de trois pour cent, contre un pour cent chez les hommes.

De plus, la différence demeure malgré le statut de chaque parent. Ainsi, dans le cas où la femme est la principale source de revenus du couple, elle se lève tout de même la nuit dans 28 % des cas. Si le père a un tel rôle, il se réveille la nuit pour s’occuper de l’enfant dans quatre pour cent des cas seulement.

Les femmes semblent donc faire face à un autre facteur influant sur l’avancée de leur carrière par rapport aux hommes.

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Le fer rend l’enfant plus intelligent

Des chercheurs américains ont étudié le cas de 676 enfants d’âge scolaire pour tirer ces conclusions. Leurs résultats sont parus dans le Journal of American Medical Association.

Toutes les mères de ces enfants ont fait partie d’un programme durant leur grossesse, faisant en sorte qu’elles ont ingéré de l’acide folique et du fer sur une base régulière.

Il en est ressorti que le fer et l’acide folique influenceraient positivement l’intelligence des enfants. De plus, ils feraient en sorte que les petits sont mieux organisés et qu’ils ont de meilleures aptitudes motrices.

Faire en sorte que les mères des pays en voie de développement prennent ces compléments durant leur grossesse aurait un grand impact sur l’éducation future de leurs enfants.

Le fer est essentiel au développement du système nerveux central.

Rappelons que selon l’Organisation mondiale de la santé, deux milliards de personnes souffrent d’une déficience en fer, ce qui en fait la carence la plus commune sur la planète.

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Les enfants négligés auront un QI plus faible

Les enfants qui sont ou qui ont été victimes de sévices courent plus de risques de connaître des échecs scolaires.

C’est la conclusion d’une étude de l’Université du Queensland en Australie, parue dans Pediatrics, qui a porté sur 7 000 mères et leurs enfants nés entre 1981 et 1983.

Les chercheurs ont dû se servir de données confidentielles de rapports de sévices ou de négligence parentale pour arriver à leurs résultats.

Une fois que les 3 796 enfants sont devenus adolescents (14 ans), ils ont été évalués quant à leurs capacités de lecture, de raisonnement abstrait et d’aptitudes mathématiques.

Les 298 adolescents dont on avait rapporté des sévices ou de la négligence, soit 7,9 % des participants, avaient en moyenne 3 points de moins à leur test de QI que ceux qui n’en avaient pas souffert.

Cette étude met donc en lumière, une fois de plus, les graves répercussions de la maltraitance vécue par certains enfants.

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L’activité cérébrale du bébé et le visage de la mère

Des chercheurs japonais ont étudié la réaction de bébés âgés de 7 à 8 mois devant le visage de leur mère et celui d’étrangers.

D’après Science Daily, ils auraient fait une découverte de plus quant à l’influence du visage de la mère dans le développement des aptitudes sociales de l’enfant.

C’est qu’en voyant leur mère, les petits participants de l’étude ont eu une activité hémodynamique (mouvements de la masse sanguine) plus forte dans leur cortex cérébral gauche.

Dans de précédentes études, nous avions appris que le cortex cérébral droit était responsable de la perception des visages par les enfants.

L’activité du cortex cérébral gauche a été remarquée seulement lorsque les bébés voyaient leur mère.

Ces analyses ont été réalisées grâce à la spectroscopie proche infrarouge (NIRS). Cette technique non invasive permet de quantifier l’activité cérébrale de l’influx sanguin du cerveau.

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L’allaitement influencerait la réussite scolaire

Selon une étude parue dans Pediatrics, l’allaitement maternel renforcerait la réussite scolaire. Ce serait encore plus vrai pour les garçons que pour les filles.

En fait, des enfants qui avaient été allaités durant 6 mois ou plus ont eu de meilleurs résultats à des tests de lecture, d’épellation et de mathématiques, à l’âge de 10 ans, que d’autres l’ayant été moins longtemps.

C’est à cette conclusion que sont parvenus des chercheurs australiens après avoir suivi près de 3 000 enfants.

Ils considèrent ainsi avoir démontré les bénéfices cognitifs de l’allaitement, après que nous ayons depuis longtemps reconnu ses avantages sur la santé de la mère et du bébé.

On pourrait finalement expliquer le phénomène par l’effet de certains nutriments du lait maternel, les acides gras polyinsaturés. Ces derniers sont essentiels au développement du cerveau, de ses cellules et de sa membrane.

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Un couple avec enfants sur quatre divorce

L’Institut de la statistique du Québec vient de faire paraître un rapport sur la situation familiale actuelle des jeunes familles, rapporte La Presse.

D’après l’échantillon de 1 500 enfants suivis jusqu’à l’âge de 6 ans par l’Institut, les jeunes couples se font et se défont rapidement.

Ainsi, il semble que plus du quart des enfants ont vu leurs parents se séparer ou reformer une union lorsqu’ils font leur entrée à la maternelle. Quinze pour cent ont connu cette situation deux fois et cinq pour cent, une troisième fois aussi.

Parmi ces derniers, 66 % vivent avec leur mère, alors que le tiers sont en garde partagée et que 3 % à peine vivent avec leur père.

Les couples se reforment par la suite, les femmes vivant l’expérience de la famille monoparentale pendant environ 16 mois et les hommes pendant 7 mois.

L’intérêt de cette étude réside finalement dans le fait qu’elle apporte certaines nuances quant à la famille d’aujourd’hui.

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L’alimentation de la mère et celle de l’enfant

Si une femme ne mange pas ses portions de fruits et légumes quatre fois ou plus par semaine, il semble que son enfant ne le fera pas non plus.

De plus, il serait porté à ne pas atteindre ce seuil dans son alimentation si sa mère le considère comme un enfant aux goûts difficiles.

C’est le constat d’une récente étude de l’Université du Michigan, parue dans Public Health Nursing, qui a porté sur 400 mères de famille ayant des enfants âgés de 1 à 3 ans.

On a aussi remarqué quelques différences selon la nationalité, car il semble qu’il soit culturel de considérer les goûts d’un enfant comme difficiles à combler ou non.

D’autres études récentes avaient pourtant révélé que les parents n’avaient qu’une faible influence sur l’alimentation de leurs enfants.

Toutefois, il semble que la mère joue tout de même un rôle assez important, même après la grossesse. Le point central serait sa perception de la nourriture et celle qu’elle a des habitudes de son enfant.