Catégories
Uncategorized

Le dentifrice peut être dangereux pour le cerveau du foetus

Les futures mamans y repenseront à deux fois avant de se brosser les dents. Du moins, elles devront relire attentivement la liste d’ingrédients de leur tube de dentifrice, selon le Dailymail.

C’est que des chercheurs de l’Université de la Floride ont récemment constaté qu’un élément du dentifrice, le triclosan, comportait des dangers pour le fœtus.

Celui-ci nuirait à l’enzyme libérant l’estrogène jusqu’au ventre de la femme enceinte.

Alors que l’estrogène ouvre les artères donnant du sang très oxygéné au fœtus, celui-ci en serait privé en partie, ce qui provoquerait des retards dans le développement de son cerveau.

Toutefois, les chercheurs mentionnent que bien que cette substance puisse être une des causes majeures, d’autres éléments peuvent aussi entrer en ligne de compte.

Le triclosan est en fait un puissant antibactérien existant depuis une cinquantaine d’années. On le retrouve dans le dentifrice, dans certains savons et même dans des jouets.

Catégories
Uncategorized

Un supplément durant l’allaitement influencerait certaines aptitudes intellectuelles

Des enfants de cinq ans ayant été allaités ont démontré une plus grande capacité d’attention que les autres dans le cadre d’une étude. Leur mère avait pris du DHA, ou acide docosahexaénoïque.

C’est la conclusion qu’ont tirée des chercheurs du Collège de médecine Baylor à Houston, après avoir suivi 119 femmes enceintes, puis leurs enfants.

Certaines des futures mères prenaient un supplément comprenant 200 mg de DHA, tandis que les autres recevaient un placebo.

Le détail de leurs conclusions est récemment paru dans le Journal of Pediatrics.

À l’âge de cinq ans, les enfants de l’étude ont passé quatre tests pour évaluer leur acuité visuelle. Six outils ont aussi été employés pour évaluer leurs fonctions neuropsychologiques.

Ceux dont la mère avait pris le supplément ont eu un score de 46,5 en attention contre 41,9 pour les autres.

On n’a toutefois remarqué aucune différence quant à d’autres capacités, comme l’acuité visuelle et des aptitudes verbales par exemple.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.

Catégories
Uncategorized

Risques du téléphone cellulaire pendant la grossesse

Une femme enceinte qui parle souvent au téléphone cellulaire augmente les risques de troubles de comportement de son enfant, selon une récente étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Sous forme d’un sondage, les habitudes de 29 000 femmes et enfants ont fourni des détails quant à leur mode de vie, leur alimentation et leur milieu.

Ainsi, en étant exposé à ce type d’appareil durant la grossesse, un enfant a 30 % plus de risques d’avoir des problèmes de comportement lorsqu’il aura 7 ans.

Il semble donc que pour un enfant qui utilise un téléphone cellulaire à un jeune âge, les risques de présenter un trouble du comportement s’élèvent à 50 %.

Le même taux revient pour ceux qui étaient exposés avant et après la naissance. Finalement, les enfants qui utilisaient un tel téléphone sans avoir été exposés durant la grossesse couraient un risque de 20 % d’avoir des problèmes de ce genre.

Certains scientifiques demeurent toutefois sceptiques quant aux résultats de cette étude californienne. Selon eux, des facteurs liés au mode de vie pourraient être plus fortement en cause que le téléphone cellulaire.

Malgré tout, l’étude en question nous poussera à redoubler de prudence quant à l’utilisation de tels appareils durant la grossesse et par les enfants.

Catégories
Uncategorized

L’alimentation de la mère pourrait influer sur le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs de l’Université du Colorado ont trouvé pourquoi le bébé est porté à aimer ce que sa mère ingérait durant sa grossesse, apprenons-nous sur MailOnline

Les odeurs présentes dans le liquide amniotique atteindraient une partie du cerveau responsable du goût et de l’odorat.

Ainsi, le bébé sera porté à mieux aimer ce que sa mère aimait aussi durant sa grossesse. En effet, il croira que tout ce que la mère ingère est bon pour la santé.

Plus vieux, l’enfant aura tendance à manger de la même façon que sa mère lorsqu’elle était enceinte, car son cerveau aura appris à aimer certaines odeurs et saveurs.

Les chercheurs concluent sur l’importance de préférer une saine alimentation durant la grossesse, en plus d’éviter l’alcool pendant celle-ci et durant l’allaitement.

Pour la première fois, on aura donc fait un lien entre l’alimentation durant la grossesse et le cerveau du fœtus, ce qui met en lumière une fois de plus l’importance de favoriser la bonne santé de l’enfant le plus tôt possible.

Catégories
Uncategorized

Dangers possibles des banques de lait maternel sur le Web

Une femme de Montréal, Emma Kwasnica, a mis en place une page Facebook ayant pour thème le partage de lait maternel.

Jusqu’ici, plusieurs groupes connexes se sont formés au Canada, regroupant chacun de 100 à 280 personnes.

Or, on peut lire sur Canada.com les avertissements provenant de l’Agence fédérale, émis il y a quelques jours, sur ce sujet.

On y apprend entre autres que ce lait, dont on ne connaît pas la provenance, peut contenir plusieurs virus, dont le VIH, en plus de bactéries pouvant mener à des intoxications alimentaires.

L’initiatrice du projet a répondu à ces mises en garde en affirmant qu’une mère saura être en confiance en rencontrant la donneuse et que plusieurs d’entre elles fournissaient les résultats de leurs analyses sanguines.

La Société canadienne de pédiatrie, qui regroupe plus de 3 000 spécialistes, rappelle quant à elle que le lait maternel n’ayant pas été préalablement analysé de manière adéquate ne doit pas être partagé.

Catégories
Uncategorized

L’ocytocine renforce les souvenirs de la mère durant l’enfance chez les hommes

Des souvenirs d’affection de la mère sont revenus en force chez des hommes à qui on avait administré de l’ocytocine, nous apprennent des chercheurs de l’École de médecine de Mount Sinai.

D’après leurs résultats parus dans Science Daily, cette hormone neurotransmetteur déjà présente chez l’humain a un impact sur certains des 31 hommes en santé de leur étude.

Pour arriver à ces conclusions, on a administré par voie nasale de l’ocytocine à la moitié du groupe et un placebo à l’autre, et ce, à deux moments différents.

Après 90 minutes, les chercheurs ont posé des questions aux participants quant à leur relation affective avec leur mère lorsqu’ils étaient enfants.

Les hommes qui étaient moins anxieux et plus près de leurs sentiments avaient des souvenirs plus nets quant à l’affection de leur mère lorsqu’ils avaient reçu une dose d’ocytocine, en comparaison à ceux qui avaient reçu le placebo.

À l’opposé, ceux qui étaient anxieux avaient des souvenirs d’une mère moins affectueuse lorsqu’ils avaient eu l’ocytocine, toujours par rapport au groupe du placebo.

Ces comportements ont été causés par l’effet de l’ocytocine sur l’humeur et le bien-être.

Catégories
Uncategorized

La transmission du sida par la femme enceinte est très faible

Il y a plusieurs années, lorsque le sida était encore chose nouvelle, le risque de transmission de la mère à son bébé était de 50 %. Grâce à la trithérapie, ce taux se situe aujourd’hui à seulement 1 %.

En effet, nous pouvons constater que les progrès médicaux offrent maintenant de l’espoir aux femmes atteintes d’avoir un enfant sans danger.

Ainsi, à la condition que la femme enceinte suive un traitement, que sa charge virale soit indétectable et que son accouchement soit sécuritaire, les risques que le bébé soit porteur du VIH sont presque nuls.

Toutefois, une fois l’enfant né, la mère séropositive ne doit pas allaiter, car le lait maternel contient des traces du virus du sida.

Rappelons finalement que la propagation du virus du sida a chuté de 19 % dans le monde depuis 1999.

Catégories
Uncategorized

Un lien clair entre l’obésité de l’enfant et le régime gras de la future mère

Une étude qui portait au départ sur le sommeil nous en a finalement dit plus long sur les liens entre une alimentation riche en gras de la femme enceinte et la future condition physique de son enfant.

En effet, d’après le FASEB Journal, les habitudes alimentaires de la future mère pourraient causer des changements génétiques faisant en sorte que le bébé à venir devienne obèse ou fasse de l’embonpoint plus tard.

Le gène Npas2 serait visiblement en cause. Ce dernier est responsable de la régularité du rythme circadien.

Pour arriver à ces conclusions, des chercheurs du Collège de médecine Baylor, à Houston, ont analysé les cas de trois groupes de singes japonais.

Durant la grossesse des mères ayant une alimentation riche en gras, il semble que les gènes du foie du foetus aient été modifiés, en particulier le Npas2.

Toutefois, il appert qu’une amélioration du régime alimentaire durant la grossesse ou l’allaitement, ou encore de celui du bébé après la naissance, pourrait restaurer en partie le système circadien.

Catégories
Uncategorized

Une bonne nouvelle pour les mamans épileptiques

Les résultats d’une étude attendue sur les effets de certains médicaments pris par les mères épileptiques sont très rassurants, pouvons-nous lire dans Neurology.

Des médicaments tels que la carbamazépine, la lamotrigine ou la phénytoïne ne causent aucun effet sur le QI du bébé lorsque la maman allaite.

Des chercheurs de l’Université Emory à Atlanta ont suivi 194 patientes épileptiques qui devaient prendre des médicaments pour empêcher leurs crises.

Sur les 199 bébés conçus par ces femmes, 42 % étaient allaités. Trois ans plus tard, des tests de quotient intellectuel ont été passés par tous ces enfants.

La différence était si mince que l’on peut la qualifier d’inexistante. En effet, le QI des enfants allaités était de 99 en moyenne, alors que celui des autres était de 98.

Toutefois, ceux dont la mère prenait du valporate, qu’ils aient été allaités ou non, avaient un QI plus faible.

L’Académie américaine de neurologie recommande donc d’éviter ce médicament durant la grossesse, pour cause de dommages aux capacités cognitives et d’autres problèmes de naissance.