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Salon Mères & Cie de Montréal, première édition!

Pour sa première édition à Montréal, le Salon Mères & Cie permettra aux nouvelles mamans, à leur bébé et à leur famille de profiter de précieux conseils et de connaître de nouveaux produits.

Ce salon recevra de nombreux professionnels offrant des conseils et des produits en lien avec la maternité et la famille, comme les loisirs, la santé et le bien-être.

Josée Boudreault, la porte-parole de ce nouveau salon, en profitera pour partager avec les visiteurs et les visiteuses sur la venue de son troisième enfant, laquelle date d’octobre dernier.

Il s’agit de la première sortie publique de la célèbre coanimatrice des Midis de Véro depuis son accouchement.

Jusqu’ici, le webzine Mères & Cie a organisé différents événements haut de gamme en Ontario et au Québec, mais c’est la première fois qu’un salon d’une telle envergure se tient en son nom à Montréal.

Ayant réuni de nombreuses mères dans des brunchs, des salons et des showers, il souhaite maintenant regrouper un très grand nombre de nouvelles mamans le week-end prochain.

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Salon Mères & Cie de Montréal, première édition!

Pour sa première édition à Montréal, le Salon Mères & Cie permettra aux nouvelles mamans, à leur bébé et à leur famille de profiter de précieux conseils et de connaître de nouveaux produits.

Ce salon recevra de nombreux professionnels offrant des conseils et des produits en lien avec la maternité et la famille, comme les loisirs, la santé et le bien-être.

Josée Boudreault, la porte-parole de ce nouveau salon, en profitera pour partager avec les visiteurs et les visiteuses sur la venue de son troisième enfant, laquelle date d’octobre dernier.

Il s’agit de la première sortie publique de la célèbre coanimatrice des Midis de Véro depuis son accouchement.

Jusqu’ici, le webzine Mères & Cie a organisé différents événements haut de gamme en Ontario et au Québec, mais c’est la première fois qu’un salon d’une telle envergure se tient en son nom à Montréal.

Ayant réuni de nombreuses mères dans des brunchs, des salons et des showers, il souhaite maintenant regrouper un très grand nombre de nouvelles mamans le week-end prochain.

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Moins bien manger une fois adulte en raison des bonnes habitudes?

Des chercheurs du Collège universitaire de Londres ont démontré un lien entre le désir de bien manger des parents et les mauvaises habitudes adoptées par leurs enfants plus tard.

D’après les résultats publiés dans le Journal of American Dietetic Association, le point de départ a été le lien entre la faible pression maternelle et l’amour de la nourriture.

Il semble au contraire que si les parents insistent pour que l’enfant termine son repas, celui-ci court plus de risques de devenir un mangeur compulsif.

De plus, si les parents sont insistants quant aux saines habitudes alimentaires, l’enfant aura tendance à aller dans la direction inverse à l’âge adulte.

Tous ces liens ont été faits sans regard au poids de l’enfant. Cette étude a porté sur 213 mères ayant des enfants âgés de 7 à 9 ans.

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Chute du nombre de naissances prématurées

Le nombre de naissances prématurées a chuté après des années d’augmentation, nous apprend USA Today.

Selon une analyse américaine, le taux est passé de 12,8 % en 2006 à 12,3 % en 2008, et ce, après une hausse continue durant 30 ans.

Le nombre de grossesses de 34 à 36 semaines a en effet diminué et cela pourrait être dû en partie à l’état de santé des mamans d’aujourd’hui.

Les facteurs de risque sont intimement liés à la santé de la future mère, comme la haute pression sanguine, tous les types de diabète et les anomalies utérines.

Ces données sont très encourageantes, car la naissance prématurée peut entraîner de nombreux problèmes de santé chez le bébé. Parmi ceux-ci, nous comptons une déficience intellectuelle et des pertes auditives ou visuelles.

De plus, la naissance prématurée demeure la première cause de mortalité chez les bébés.

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La grossesse est plus longue chez l’humain à cause du placenta

Des chercheurs des universités de Reading et de Durham, en Angleterre, ont pu démontrer que le placenta est la cause première de la durée de la gestation chez l’humain.

Selon l’American Naturalist, plus le fœtus et la mère sont reliés par des tissus, plus la grossesse est courte. Le placenta humain ne permet pas la connexion remarquée chez d’autres mammifères.

C’est pour cette raison que chez certains animaux, les fœtus se développent deux fois plus rapidement que nous. L’interconnexion des tissus permet un plus grand échange de nutriments.

La structure du placenta de la femme ne forme pas la connexion complexe que l’on peut observer chez le chien ou le léopard, par exemple.

Le développement du bébé n’est donc pas nécessairement dû à l’échange de sang entre la mère et le fœtus, mais bien plus à la manière dont sont interreliés leurs tissus.

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Les adolescents de mères gaies ont un taux nul d’abus

Une étude américaine réalisée sur une longue période de temps nous révèle que les enfants de mères lesbiennes ne vivent aucune atteinte physique ou sexuelle.

Selon les résultats présentés dans Archives of Sexual Behaviour, aucun des enfants issus de telles unions, aujourd’hui adolescents, n’a fait part d’un quelconque mauvais traitement.

La recherche globale s’étendant sur 24 ans, avait pour objet les familles lesbiennes. Durant cette période, 39 fils et 39 filles y participaient. Il s’agit aujourd’hui d’adolescents âgés de 17 ans.

À un questionnaire, ils ont répondu à l’unanimité n’avoir jamais vécu de sévices de quelconque ordre par un parent ou un proche.

Les chercheurs ont ensuite comparé ces résultats à ceux provenant d’enfants issus d’unions hétérosexuelles. Parmi eux, 26 % ont déjà vécu de mauvais traitements, dont 8,3 % d’ordre sexuel.

Cela remettra en cause les allégations existantes provenant des opposants aux familles composées de couples homosexuels. Une étude semblable pourrait aussi discriminer les couples d’hommes des préjugés existants.

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Les filles provenant de foyers démunis ont des enfants plus jeunes

Une étude vient de démontrer que ces jeunes filles seraient poussées à avoir des enfants plus tôt dans leur vie que celles ayant grandi au sein d’une famille plus stable.

Selon Mail Online, des psychologues de l’Université de Newcastle ont pu tirer certaines conclusions en étudiant le cas de 4 553 femmes qui étaient toutes nées durant la même semaine de mars 1958.

Ainsi, il semble qu’une enfant qui est séparée de sa mère durant les premières années de sa vie fonderait une famille deux ans plus tôt en moyenne qu’une fille ayant grandi dans un milieu stable.

Plus précisément, le Dr Daniel Nettle, qui a dirigé cette étude, a pu statuer qu’une séparation de 6 à 24 mois durant les 5 premières années de vie avait l’impact cité.

Une tendance semblable a été observée si le père est absent durant ces mêmes années. Dans ce cas, les jeunes femmes ont des enfants un an plus tôt en moyenne.

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Plus de cas de mort subite avec les mères fumeuses

Selon Pediatric Allergy, Immunology, and Pulmonology, le lien entre la cigarette durant la grossesse et ce syndrome serait lié aux effets de la nicotine sur le développement.

Nous savions déjà que l’exposition à la fumée de cigarette est certainement l’une des causes de la mort subite du nourrisson.

En effet, il semble que fumer durant la grossesse peut augmenter le risque de mort subite de 2 à 5 fois. Cela contribue aussi aux naissances prématurées, autre facteur de risque de la mort subite.

Il n’a pas encore été déterminé à quel point précis une telle exposition peut provoquer le syndrome.

Les études actuelles démontrent toutefois que le tabac est dommageable pour le développement du cerveau de l’enfant. Il influe négativement sur les composantes de la respiration.

Cette équipe de chercheurs a finalement reformulé le besoin de prévention du tabac chez les adolescentes, en plus de faire de l’arrêt du tabac chez les femmes enceintes une priorité.

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Les enfants de mères épileptiques réussissent moins à l’école

Une récente étude publiée dans Epilepsia nous en apprend un peu plus sur l’effet des médicaments antiépileptiques multiples sur le bébé à naître.

Celle-ci a été réalisée conjointement par deux universités suédoises. Les chercheurs ont suivi des femmes entre 1973 et 1986. Elles avaient toutes pris des anticonvulsifs pendant leur grossesse.

Ils ont ensuite regardé les résultats scolaires des 1 235 enfants nés de ces femmes, après qu’ils aient obtenu leur diplôme d’études secondaires. Les chercheurs ont pu les comparer avec ceux des autres enfants, qui étaient au nombre de 1 307 083.

Rappelons que la prémisse de cette recherche était de prouver que les médicaments pour maîtriser l’épilepsie avaient des effets néfastes sur l’enfant. On soupçonnait notamment des dommages cognitifs, des retards psychomoteurs et un plus faible quotient intellectuel.

Il en est finalement ressorti que les enfants ayant été exposés à certains traitements de la mère couraient plus de risques de ne pas terminer leurs études secondaires. Ils avaient aussi moins de chances de réussir avec une mention d’excellence.

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Les enfants susceptibles de mieux réussir si maman est restée un an avec eux

Selon une étude échelonnée sur 50 ans, le congé de maternité aurait une influence sur la réussite et le comportement des enfants en milieu scolaire, rapporte Mail Online

L’impact en serait encore plus grand si la mère a interrompu cette première année de vie pour travailler à temps plein.

Une différence marquée a aussi été notée selon les conditions socio-économiques et si l’enfant grandit dans une famille monoparentale ou non.

Ainsi, les enfants de la classe moyenne et ceux vivant avec leurs deux parents seraient plus affectés par ce retour prématuré au travail que les enfants de la classe ouvrière et ceux de familles monoparentales.

Les enfants issus de la classe supérieure et de la classe moyenne en souffriraient plus, car les avantages que représente une mère au travail ne surpassent pas les effets négatifs qui accompagnent la diminution de l’attention et de la supervision maternelles.

Ces résultats proviennent de l’analyse de 69 études conjointes réalisées depuis les années 60, tous milieux socio-économiques confondus et toutes les mères ayant réintégré le marché du travail avant les trois ans de leurs enfants.