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Les chances de développer le cancer sont déjà présentes avant la conception

Les experts croient depuis longtemps que le cancer est génétique. Toutefois, selon le professeur Ricardo Uauy, les facteurs environnementaux de la mère ont une grande influence sur les risques de développer un cancer chez son enfant, et ce, avant même sa conception.
 
Si la mère fume, boit ou est en surpoids, ces facteurs favorisent le cancer plus tard chez l’enfant, selon ce qu’il mentionne au journal The Observer. Il y aurait de plus en plus de preuves que ces facteurs en tout début de vie jouent un rôle important sur l’incidence de la maladie.
 
Les experts recommandent aux parents de manger moins de nourriture en conserve et de diminuer leur exposition aux agents cancérigènes s’ils souhaitent fonder une famille.
 
Selon le professeur Uauy, l’allaitement maternel aurait également un effet anticancer. De plus, il affirme que les bébés ne devraient pas manger de nourriture solide avant d’avoir atteint l’âge de six mois.
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Moins de décès en raison des complications de grossesse et d’accouchement

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que les décès qui résultent des complications dues à la grossesse ou l’accouchement sont maintenant moins nombreux dans le monde.
 
Dans les vingt dernières années, le taux de mortalité maternelle a diminué du tiers. Par contre, il y a encore environ 1 000 femmes qui meurent chaque jour en raison de ces complications.
 
Dans les pays pauvres, les risques sont 35 fois plus importants. Seulement en 2008, on a enregistré 358 000 décès maternels dans le monde, dont 99 % étaient dans les pays en voie de développement et plus de la moitié d’entre eux en Afrique subsaharienne.
 
Malgré ce recul de 3 %, les objectifs des Nations Unies ne sont pas atteints. On souhaiterait avoir une baisse de 5,5 % d’ici 2015, alors qu’on note plutôt une chute de 2,3 % par année depuis 1990.
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Une relation étroite avec la mère est très bénéfique

Une récente recherche mentionne que les garçons qui sont très proches de leur mère résistent mieux aux stéréotypes machos qui peuvent entraver leurs relations et leur santé mentale.
 
Les chercheurs ont suivi 426 garçons pour se rendre compte que ceux qui avaient une relation très étroite avec leur mère n’étaient pas nécessairement proches de leur père. Par contre, ils avaient mieux appris à communiquer, à exprimer leurs émotions et par conséquent, ces garçons étaient moins susceptibles d’être déprimés.
 
Une fois adultes, ces mêmes garçons continuaient d’exprimer leurs émotions et avaient donc une meilleure santé mentale que leurs congénères qui avaient adopté les stéréotypes plus machos du style « les hommes sont forts et indépendants ».
 
Le site ParentCentral ajoute que bien que l’on ne s’explique pas clairement les effets de la relation mère-fils, les scientifiques ajoutent qu’il est bénéfique que les garçons entretiennent une relation étroite avec leur mère, car les conséquences se répercuteront tout au cours de leur vie.
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Le lien mère-enfant prend son origine dans le cerveau

C’est connu, le lien entre une mère et son enfant est particulier. Des chercheurs ont découvert que la mère tenait une signification unique dans le cerveau de son enfant et elle y demeure même une fois que celui-ci est devenu adulte.
 
Les scientifiques ont utilisé l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) pour mesurer la réaction du cerveau de volontaires lorsqu’on leur montrait des images de visages de personnes. Lorsque c’était le visage de leur mère, il y avait une forte réaction dans la zone reliée à la reconnaissance et l’émotion. Une réaction plus forte et totalement différente que celle enregistrée avec les visages du père, de membres de la parenté, d’amis et d’étrangers.
 
Ceci apporte un éclairage nouveau sur ce genre « d’empreinte » que laisse la mère sur son enfant. Ce phénomène est remarqué également chez de nombreux oiseaux et animaux qui entretiennent un lien étroit avec celle qui les a mis au monde.
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L’allaitement diminue les risques de diabète

L’American Journal of Medicine rapporte une étude disant que l’allaitement offre une protection aux mères contre le diabète de type 2.
 
Après avoir étudié 2 233 femmes de 40 à 78 ans, on conclut que les mères qui ont allaité leur enfant ont deux fois moins de risques de développer le diabète de type 2 que celles qui n’ont pas allaité. Chez les participantes à la recherche, 27 % de celles qui n’ont pas allaité ont développé la maladie quelques années plus tard.
 
L’allaitement favorise la réduction de la masse graisseuse logée autour du ventre, elle qui joue justement un rôle dans le développement de certaines maladies et favorise le diabète de type 2 notamment.
 
Que celles qui ont opté pour le biberon se rassurent, une bonne alimentation et de l’exercice physique régulier garderont le diabète de type 2 à distance également.
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Les bébés deviennent anxieux s’ils sont ignorés de leur mère

Une étude démontre que les bébés de six mois qui n’ont pas l’attention de leur mère, même pendant deux minutes, voient leur niveau d’hormone du stress, le cortisol, augmenter.
 
De plus, après quelques tests, les chercheurs ont remarqué que ces bébés devenaient aussi stressés le lendemain lorsqu’on les remettait dans une même situation de peur et que leur mère les ignorait encore une fois.
 
Selon le Dr David Haley de l’Université de Toronto, cela démontre que les bébés ont la capacité de développer une réponse de stress d’anticipation basée sur le comportement qu’ils s’attendent à recevoir de leurs parents dans une situation donnée.
 
Les experts en développement des enfants affirment que ce genre d’épisodes de stress vécus de façon répétée pourrait avoir des effets considérables sur la santé de l’enfant tout au cours de sa vie.
 
Cela démontre également qu’une dépression chez la mère peut grandement affecter sa relation avec son enfant. Il est donc important de se faire soigner rapidement.
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Une hormone influence l’interaction des parents avec leurs enfants

De nombreuses études avaient jusqu’à maintenant démontré que l’hormone de l’amour et de la confiance, l’ocytocine, agissait sur les femmes, les hommes et les enfants.
Cette fois, une étude rapportée par le Biological Psychiatry mentionne que cette hormone influence les comportements propres à chacun des parents envers leurs enfants.
 
Pour cette recherche, on a étudié 160 nouveaux parents dont c’était un premier enfant. On les a évalués après six semaines et après six mois.
 
On constate une augmentation de l’ocytocine, ce qui définirait le style d’interaction spécifique de chacun avec l’enfant. Ainsi, chez la mère, cette hormone la rend plus aimante et elle regarde plus tendrement son enfant, alors que chez le père, l’ocytocine rend son contact plus stimulant, encourageant à l’exploration.
 
À la lumière de ces observations, il est donc très important que les deux parents puissent interagir avec l’enfant dès la naissance.
 
« Ces différences peuvent refléter l’impact des attentes culturelles quant aux rôles spécifiques des parents, mais elles peuvent également indiquer les effets des circuits distincts de l’ocytocine dans les cerveaux masculin et féminin », explique le Dr John Krystal.
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Les enfants se développent aussi bien quand leur mère travaille

Des chercheurs de l’Université Columbia aux États-Unis ont voulu connaître l’impact réel d’un retour au travail des mères quelques mois seulement après leur accouchement.
 
Leurs résultats sont à l’opposé des études précédentes et ils l’expliquent par le fait qu’ils ont examiné tous les effets d’un retour au travail sur le développement de l’enfant.
 
Après avoir suivi 1 000 enfants de sept ans, ils constatent que les effets négatifs d’un retour au travail précoce de la mère sont annulés par les effets positifs.
 
En fait, les enfants dont les mères travaillent peuvent avoir une maman en meilleure santé mentale, donc ils développent une relation plus saine avec elle, même s’il y a moins d’interactions si elle travaille à temps plein. De plus, comme le revenu familial est augmenté, ces enfants bénéficient d’un meilleur service de garde et de tout ce qui peut faciliter leur développement.
 
Par contre, on confie que l’idéal serait que la mère travaille à temps partiel. Ainsi, les avantages d’un retour au travail sont présents, mais l’enfant conserve une plus grande interaction avec sa mère. Idéalement, les mères ne devraient pas travailler plus de 30 heures par semaine, selon le Telegraph.
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Le lien entre la mère et le foetus en dit long

Il existe bel et bien un lien très important entre la femme enceinte et son futur enfant. Pour la première fois, des chercheurs allemands apportent une meilleure compréhension de celui-ci.
 
Des équipes de l’Université Abodeen et de la Witten/Herdenke University en Allemagne viennent d’ouvrir la voie sur une nouvelle technique de détection de problèmes de développement pendant la grossesse.
 
Ils ont découvert que lorsque la mère adopte une respiration rythmée, le fœtus ressent un décalage rythmique des battements de coeur avec sa mère et s’adapte à ceux-ci. Il y a donc une synchronisation entre les battements de cœur de la mère et ceux de son enfant.
 
Ce phénomène se produit seulement avec une respiration rythmée de la mère et non lorsqu’elle respire normalement, ce qui ne serait qu’une pure coïncidence dans ce cas.
 
Lorsque la synchronisation ne se fait pas avec une respiration rythmée, c’est le signe que quelque chose ne va pas dans le développement du fœtus et qu’une intervention médicale doit être prise rapidement.
 
C’est avec un magnétocardiographe qui utilise le champ magnétique à pulsations que l’on a pu recueillir les données sur les battements de cœur des mères et de leur bébé.
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Interdire les phtalates dans les instruments médicaux destinés aux enfants

Maintenant que la France a interdit la commercialisation de biberons fabriqués avec du bisphénol A, Valérie Boyer, députée de l’UMP (Union pour un mouvement populaire), lance un autre débat avec les phtalates.
 
Elle vient de proposer un projet de loi en France pour les interdire dans les instruments médicaux destinés à soigner les femmes enceintes et les enfants.
 
Ces phtalates sont des produits chimiques que l’on retrouve notamment dans les tubes, les poches de perfusion, les gants, les sondes et autres. Des études ont démontré qu’ils favorisaient l’apparition du cancer du sein, des troubles de comportement et même de malformations de l’appareil reproducteur masculin, selon que ce rapporte le Métro.
 
Depuis 2006, les phtalates sont interdits dans la fabrication de jouets et d’accessoires de puériculture.
 
La députée Boyer souhaite que ces produits chimiques soient remplacés par des matières équivalentes qui sont déjà présentes dans les établissements de santé.