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Les enfants sont plus gros si leur mère travaille à temps plein

L’American Journal of Epidemiology nous apprend que les enfants sont 48 % plus susceptibles d’être en surpoids ou obèses si leur mère travaille à temps plein.
 
L’augmentation du taux d’obésité chez les enfants pourrait être associée au fait que les mères travaillent de plus en plus. Plusieurs facteurs peuvent expliquer le taux d’obésité grandissant chez les enfants, notamment l’explosion à la malbouffe, la sédentarité, mais aussi le fait que leur maman travaille à temps plein. Ainsi, elles préparent moins de repas en famille et surveillent moins l’alimentation de leurs enfants.
 
La nouvelle étude ne démontre toutefois pas de preuve concluante que le travail des mères est relié au taux d’obésité. Il s’agit seulement d’une constatation et d’un des nombreux facteurs possibles pour expliquer le phénomène.
 
8 500 personnes au Royaume-Uni ont été suivies depuis leur naissance en 1958 et on constate que leurs enfants sont 50 % plus susceptibles d’être plus gros qu’eux ne l’étaient durant leur enfance.
 
Si les parents sont eux-mêmes en surpoids ou obèses, alors leurs enfants ont de trois à six fois plus de chances que les autres de l’être également.
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La voix maternelle peut calmer les enfants stressés

La voix d’une mère est suffisante pour apaiser un enfant stressé, selon des chercheurs américains.
 
Ceci pourrait donc aider les femmes à ne plus se sentir coupables parce qu’elles ne peuvent rassurer leur enfant que par téléphone.
 
La revue Proceedings of the Royal Society B publie une étude américaine qui a mesuré l’hormone de stress, l’ocytocine, chez des préadolescentes qui ont été soumises à une situation stressante.
 
61 filles de 7 à 12 ans ont dû faire une présentation devant des inconnus. Ensuite, elles ont été séparées en trois groupes. Un premier où les filles étaient rassurées physiquement par leur mère, un deuxième où elles parlaient à leur mère au téléphone sans les voir et le troisième groupe ne recevait aucun réconfort.
Les chercheurs ont noté que le niveau d’ocytocine s’abaissait chez les deux premiers groupes de façon similaire. Cela démontre qu’un soutien vocal est aussi bénéfique qu’un réconfort physique.
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Les futurs pères devraient aussi arrêter de fumer

Les femmes connaissent bien les dangers de l’alcool et de la cigarette durant leur grossesse, mais elles devraient aussi convaincre leur conjoint d’arrêter de fumer. La fumée qu’elles respirent peut traverser le placenta et affecter leur futur enfant.
 
Une nouvelle étude publiée dans l’European Journal of Cancer Prevention mentionne que les hommes qui fument plus de vingt cigarettes par jour augmentent les risques de tumeurs du système nerveux central chez leur futur bébé. Les risques sont surtout présents pour les astrocytomes, un type de tumeurs cérébrales primaires communes.
 
De plus, les risques d’épendymome, un gliome rare qui peut se former au cerveau et à la colonne vertébrale, sont également accrus avec le tabagisme du père.
 
Les chercheurs ajoutent que ces effets nocifs ne s’appliquent pas seulement au tabagisme durant les neuf mois de la grossesse, mais aussi à l’année précédente. Les effets du tabac se font longtemps sentir.
 
De plus, le tabagisme diminue la qualité du sperme chez l’homme.
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Les meilleurs et les pires pays du monde pour les mères

L’organisation Save the Children vient d’établir sa liste des 160 pays, meilleurs et pires, où vivent les mères dans son rapport État des mamans du monde.
 
Alors que la Norvège est le meilleur pays pour les mamans, l’Afghanistan est le pire. Dans ce palmarès, le Canada se classe au 20e rang derrière la France, qui est au 12e rang, mais devant les États-Unis, qui se classent en 28e place.
 
On mentionne que cela dépend beaucoup de l’éducation. Par exemple, en Norvège et en Australie, les femmes passent en moyenne 20 ans sur les bancs d’école, alors qu’en Éthiopie, elles ont à peine droit à 4 ans de scolarité.
 
Aussi, toutes les naissances sont assistées par du personnel médical qualifié en Norvège, alors qu’au Niger, c’est seulement 6 % des naissances qui ont ce privilège.
 
Il est donc important de donner accès à une meilleure éducation et de meilleurs soins.
 
Voici le top 10 des meilleurs pays pour les mamans :
 
1.     Norvège
2.     Australie
3.     Islande
4.     Suède
5.     Danemark
6.     Nouvelle-Zélande
7.     Finlande
8.     Pays-Bas
9.     Belgique
10.   Allemagne
 
Et voici les 10 pires pays :
 
1.      Afghanistan
2.      Niger
3.      Tchad
4.      Guinée-Bissau
5.      Yémen
6.      Congo
7.      Mali
8.      Soudan
9.      Érythrée
10.    Guinée équatoriale
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Encore trop de mortalités maternelles et infantiles dans le monde

500 000 femmes meurent en donnant naissance à leur enfant chaque année dans le monde et plus de trois millions de nouveau-nés décèdent également, et ce, malgré les progrès de la science.
 
Selon le rapport du Partenariat pour la santé maternelle, du nouveau-né et de l’enfant (PMNCH) publié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y a encore trop de mortalités maternelles et infantiles.
 
On souhaite encore abaisser le taux de mortalité dans les pays en développement d’ici 2015, comme l’objectif qui avait été fixé en 2000 par l’ONU parmi les huit objectifs du millénaire. Les efforts sont surtout concentrés sur 68 pays, particulièrement en Afrique. Malgré d’énormes progrès, les efforts ont besoin d’être renouvelés.
 
Pour le moment, 135 pays ont un taux de mortalité infantile de moins de 40 pour 1000 naissances, mais 39 nations n’ont pas fait suffisamment de progrès. Pire encore, 18 pays ont plutôt régressé.
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L’importance du père

Pendant neuf mois, il a été dans votre ventre. Il est certain que la relation avec votre enfant est bien différente, mais après sa naissance, il faut que vous laissiez place au père.
 
De plus en plus, les pères souhaitent participer aux différentes tâches, comme donner le biberon ou changer les couches, et il faut leur en donner la chance. TopSanté mentionne que jamais il ne prendra la place de la mère. Il aura sa propre relation avec son enfant et ce dernier distinguera facilement ses deux parents.
 
Le père sert à couper le lien entre le bébé et la mère afin que ce dernier s’ouvre au monde qui l’entoure et devienne plus autonome. Il n’y a pas de père parfait, comme il n’y a pas de mère parfaite.
 
Les pères sont plus directifs dans les jeux et les enfants apprennent ainsi plus rapidement à exécuter une tâche. Le père joue un rôle primordial dans le développement de l’enfant et permet au petit de grandir et d’apprendre à se séparer de sa mère.
De plus, la voix du père, qui est plus grave, est souvent plus rassurante et tranquille pour un bébé et il est sensible à son écoute.
 
Il est donc important que dès la naissance, la mère apprenne à faire une place au père au sein du trio et ne pas accaparer l’enfant. Il n’est plus seulement sous ses bons soins comme il l’était dans son ventre.
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L’âge idéal pour devenir mère est la mi-vingtaine

L’âge idéal pour devenir mère serait dans la mi-vingtaine, selon un sondage effectué auprès de 2 210 femmes par les sites ForbesWoman.com et TheBump.com.
 
Plus de 75 % des femmes interrogées affirment que l’âge idéal pour avoir son premier enfant ou en adopter un serait entre 25 et 34 ans.
 
42 % disent que le moment idéal pour devenir mère serait entre 25 et 29 ans, alors que 17 % des répondantes mentionnent qu’il n’y a pas d’âge idéal pour connaître les joies de la maternité.
 
La mi-vingtaine serait un âge où les femmes seraient plus susceptibles d’avoir établi une carrière et une stabilité financière. D’ailleurs, ce sont maintenant les premiers facteurs dont tiennent compte les femmes avant d’avoir des enfants. L’horloge biologique ne compte que pour 21 %.
 
Parmi les 2 210 femmes qui ont participé à l’étude, plus de 50 % étaient mères, la moitié songeait à avoir un deuxième enfant et le tiers pensait à un troisième ou même plus.
 
Par contre, 62 % des femmes croient que l’arrivée d’un enfant aura un impact négatif sur leur carrière, alors que dans les faits, 30 % disent que leur carrière en a été affectée.
 
60 % des femmes ayant eu leur premier enfant entre 35 et 39 ans disaient qu’elles auraient bien aimé l’avoir avant.
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L’autisme des bébés est influencé par l’âge de la mère

Contrairement à une précédente étude qui disait que l’autisme des enfants était lié à l’âge du père, c’est plutôt celui de la mère qui est déterminant pour ce trouble envahissant du développement.
 
L’âge du père n’aurait aucune incidence sur l’autisme de l’enfant, excepté si la femme a moins de 30 ans.
 
Une étude américaine dirigée par la Dre Janie Shelton démontre que les risques d’autisme augmentent avec l’âge de la mère lors de la conception de l’enfant.
 
Après avoir analysé 4,9 millions de naissances sur dix ans, on conclut que les risques de donner naissance à un enfant autiste augmentent de 18 % pour chaque tranche de cinq ans. Ainsi, une femme de 40 ans a 50 % plus de chances d’avoir un enfant autiste qu’une femme âgée de 25 à 29 ans.
 
Rappelons que l’autisme se définit par un manque d’attention et cause des problèmes dans les relations sociales. Ce trouble peut aussi provoquer des comportements répétitifs et stéréotypés. On estime qu’un enfant sur 165 sera touché par l’autisme.
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Les mères sont plus stressées à 8 h 25

Le Telegraph rapporte que les mères d’aujourd’hui sont plus stressées à 8 h 25 le matin.
 
Réveiller les enfants, faire le petit déjeuner et vérifier les sacs d’école et les lunchs sont des gestes qui épuisent les mamans avant même qu’elles ne quittent la maison.
 
Selon un sondage effectué auprès de 2 000 femmes, le stress est à son maximum à 8 h 25, alors qu’elles sont souvent prises dans la circulation en allant conduire les enfants à l’école.
 
D’ailleurs, près de la moitié des mères affirment qu’aller conduire leurs enfants à l’école représente le moment le plus stressant de leur journée. 42 % disent avoir déjà craqué sur la route et ce n’était pas en lien avec le fait que leur progéniture était turbulente. Le même pourcentage dit avoir été impliqué dans un incident de rage au volant le matin.
 
Une mère sur cinq conduit son enfant à l’école lorsqu’il pleut alors qu’il s’y rend à pied habituellement, ce qui ajoute au stress des mamans.
 
Plus de la moitié des mères se rendent ensuite au travail, déjà épuisées après avoir conduit leurs enfants à l’école.
 
Le stress professionnel n’est qu’une partie de leur journée puisqu’à la fin de celle-ci, rien n’est terminé avec les repas du soir, les devoirs, les lettres de l’école et leurs obligations financières notamment. Ce sont des contraintes stressantes aux dires des mères modernes.
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La profession de la mère affecte le foetus

Une nouvelle étude démontre que les femmes exerçant certains types de professions seraient plus à risque de voir leurs futurs enfants présenter des défauts physiques.

Selon le journal Occupational and Environment Mental Medicine, les femmes qui travaillent comme biologistes ou comme scientifiques chimiques ou pharmaceutiques ont plus de risques de donner naissance à des enfants ayant des défauts physiques au niveau gastro-intestinal, à la moelle ou ayant des malformations cardiaques.

Ceci s’expliquerait par leur exposition à certains produits chimiques ou autres substances qui affecteraient le développement du fœtus.

Les femmes concierges sont également à risque, mais les enseignantes n’ont pas ce genre de soucis.

Michel Herdt-Losavio, du Département de la santé de l’État de New York, a dirigé l’étude et on peut dire que selon la profession des mères, le fœtus est plus ou moins à risque de développer un ou plusieurs des 45 défauts physiques relatifs à l’ADN. Les femmes scientifiques font face à des naissances ayant cinq des défauts.

Ces résultats ont été obtenus après avoir étudié les données recueillies entre octobre 1997 et décembre 2003 auprès de 9 000 femmes américaines ayant des enfants présentant une ou plusieurs des 45 anomalies physiques.