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Quoi savoir sur le repos pelvien

Certaines femmes enceintes, particulièrement celles qui doivent subir une procédure appelée cerclage pour éviter que le col de leur utérus s’ouvre avant que le bébé soit rendu à terme, seront mises au « repos pelvien » par leur médecin jusqu’à la fin de leur grossesse.

Pas de relations sexuelles : Eh oui, malheureusement, la pénétration n’est plus envisageable.

Pas de bains ni de natation : Si vous êtes au repos pelvien, il ne sera malheureusement plus possible de vous détendre ou de faire un peu d’exercice dans l’eau, à cause du risque d’infection.

Ne pas prendre vos enfants plus vieux : Ceci est très difficile si vous avez un tout-petit qui a encore besoin des bras de sa maman, mais c’est très important.

Ne pas soulever de choses lourdes : Un panier de linge sale est acceptable, mais pas une boîte lourde ni même un sac de provisions plein.

Pas d’activité physique à part les formes les plus légères : Il n’est plus possible, par exemple, de faire de la marche rapide ou une autre forme de cardio. Il est possible de marcher lentement pour de courtes périodes, ainsi que de faire des étirements ou encore du yoga très doux.

Beaucoup de repos : Même si vous n’avez pas été confinée au lit, essayez de vous asseoir avec les jambes surélevées ou encore de vous étendre le plus possible.

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Une femme sur 7 souffrirait de dépression post-partum

Une nouvelle étude portant sur 10 000 nouvelles mères a révélé que 14 % d’entre elles souffraient de dépression post-partum. De ce nombre, 826 ont subi une évaluation psychiatrique complète.

Près de 20 % d’entre elles avaient déjà pensé à se faire du mal. Ce nombre est très préoccupant quand on sait qu’un décès post-partum sur 5 est lié au suicide, et que cette cause de mort est la 2e plus importante chez les nouvelles mères, après les complications liées à l’accouchement.

De plus, 30 % des femmes qui souffraient de dépression ont affirmé qu’elles étaient déjà dépressives avant leur grossesse, et le même nombre souffrait de dépression durant celle-ci. Près de deux tiers de ces femmes souffraient également d’anxiété. 22 % avaient un trouble bipolaire, qui n’avait jamais été diagnostiqué par leur médecin.

« La majorité des nouvelles mères qui souffrent de dépression post-partum ne sont jamais identifiées ni traitées, même si elles sont à haut risque de développer des problèmes psychiatriques. Il s’agit d’un problème de santé publique énorme. La santé mentale d’une mère a un impact énorme sur le développement du foetus, ainsi que sur le développement physique et mental du bébé », a expliqué la Dre Katherine Wisner, selon PscyhCentral.

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Le baby blues

Environ 40 à 80 % des nouvelles mamans vont vivre un baby blues, c’est-à-dire une courte période de dépression causée par tous les bouleversements physiques, hormonaux et psychologiques liés à l’arrivée d’un nouveau bébé.

Le premier symptôme est souvent un sommeil perturbé. Il y a aussi une attitude hypervigilante et hyperactive, des problèmes d’alimentation (de la mère et du bébé), le sentiment d’être complètement dépassée par la situation (l’allaitement, les pleurs et les cris du bébé), une tristesse prononcée, le sentiment de doute constant…

Le baby blues peut durer de quelques heures à quelques jours, et peut être plus ou moins sévère. Certaines femmes s’en tireront avec une seule bonne crise de larmes, alors que d’autres se sentiront presque paralysées. Au-delà de 10 jours par contre, il est possible que la mère souffre plutôt de dépression post-partum, qui demande un suivi médical et possiblement psychologique.

Pour passer à travers le baby blues, il faut en parler, parce que mettre des mots sur ces émotions difficiles peut réellement aider. N’hésitez pas à avoir recours à un professionnel, qui vous procurera de l’écoute, des soins et une orientation.

Si possible, demandez également l’aide d’un proche qui pourra prendre soin de bébé, ne serait-ce que pour quelques heures, ce qui vous permettra de vous reposer et de vous retrouver au moins un peu.

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La sensibilité des mères et le langage des enfants avec implants cochléaires

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Pediatrics s’est attardée à 188 enfants âgés de 5 mois à 5 ans souffrant d’une surdité allant de sévère à profonde, qui venaient de recevoir des implants cochléaires.

Les chercheurs ont examiné les interactions entre les enfants et leur mère, ainsi que l’impact de la stimulation langagière et cognitive. Les paires mère-enfant ont fait des jeux libres, ont résolu des casse-tête et ont réalisé une tâche de « galerie d’art » ensemble.

Après un suivi allant jusqu’à huit ans, les enfants qui ont connu la plus importante progression du langage étaient ceux dont les mères démontraient une grande sensibilité. La stimulation langagière était également efficace, mais particulièrement si celle-ci était effectuée d’une manière sensible.

Les enfants avec des parents sensibles ne présentaient ainsi en moyenne qu’un an de retard dans la communication orale comparativement à des enfants sans surdité. Ceux dont les parents étaient les moins sensibles accusaient plutôt 2,5 ans de retard.

« Ces données indiquent que les programmes d’implants cochléaires pédiatriques devraient offrir aux parents une formation qui facilite une relation parent-enfant plus positive et aide l’enfant à se développer d’une manière autonome et positive », a expliqué l’auteure, Alexandra Quittner, selon Medical News Today.

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Les côtés les moins reluisants de la maternité

Soyons clairs, toutes les mères adorent leurs enfants! Mais être une maman n’est quand même pas toujours rose, pour diverses raisons.

– Devoir lever tout le monde et s’assurer que tout le monde est habillé, a mangé, s’est brossé les dents et est prêt à partir à l’heure le matin.

– Certaines mères affirment qu’elles n’ont aucun problème avec la maladie ou les côtés moins hygiéniques, mais étrangement, les dents qui branlent les font frémir.

– Couper les ongles des tout-petits.

– Devoir essuyer les jeunes enfants lorsqu’ils viennent d’aller aux toilettes.

– Faire le souper chaque soir, trouver des repas que les enfants vont aimer et qui seront santé et équilibrés.

– Les devoirs, et surtout savoir que ceux-ci vont devenir de plus en plus difficiles d’année en année.

– Avoir à passer à travers la gastro.

– L’arrivée et le départ de la garderie ou du service de garde.

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Accoucher dans l’eau

Le Dr Frédéric Labouz confirme que « le bain est une bonne façon de préparer le travail… Être dans l’eau assouplit le col de l’utérus. La dilatation est donc plus rapide, et il y a également un effet de relâchement psychologique ».

Accoucher dans l’eau ne mène pas à plus de procédures médicales, que ce soit la césarienne, l’épisiotomie, les forceps ou la ventouse.

Le seul désavantage, disent les médecins, est qu’il n’est pas possible d’avoir une péridurale si vous accouchez dans l’eau. Plusieurs femmes qui ont tenté l’expérience affirment toutefois que l’eau rend les contractions plus supportables.

Le Dr Labouz croit toutefois que l’accouchement dans l’eau devrait être réservé aux cas les plus faciles, qui n’arrivent qu’une à deux fois sur 10.

Parmi ces femmes, il inclut celles qui ont déjà accouché, celles dont les bébés ne sont pas trop gros, celles dont le travail progresse rapidement, et celles qui souhaitent éviter les interventions médicales le plus possible.

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Les plus et les moins des mamans qui travaillent

Les points positifs

– Être capable de subvenir aux besoins financiers de sa famille.

– Faire une différence pour la société.

– Avoir du temps « d’adulte », ainsi que la possibilité de socialiser.

– Le fait d’aimer son travail, de se sentir utile, de résoudre des problèmes, d’utiliser sa créativité…

– Conserver une identité autre que celle d’être « la maman de… ».

– Retrouver ses enfants à la fin de la journée!

– Être un bon modèle pour ses enfants.

Les points négatifs

– Ne pas pouvoir être avec ses enfants lorsqu’ils ont le plus besoin de nous.

– Jongler avec tous les petits virus, les visites à la clinique et les journées de maladie.

– Devoir apporter du travail à la maison, et dire aux enfants qu’on n’a pas vus de la journée : « Pas maintenant, je dois travailler ».

– Le « 2e quart de travail » : devoir faire toutes les tâches ménagères une fois à la maison, alors qu’on voudrait simplement passer du temps avec les enfants.

– La culpabilité.

– Trouver du temps pour tout le reste : les rendez-vous, aller au gym, etc.

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Les bébés de mères en surpoids sont plus à risque de faire de l’athérosclérose

Des chercheurs australiens ont étudié le cas de 23 femmes enceintes, âgées de 35 ans en moyenne, qui en étaient à plus ou moins 16 semaines de grossesse. Leur indice de masse corporelle a été calculé. Celui-ci était de 26 en moyenne, ce qui correspond à un embonpoint léger.

Tous les bébés sont nés à terme, et leur poids moyen à la naissance était de 3,3 kilos (7,3 livres). Les bébés ont subi une échographie durant la première semaine de leur vie, ce qui a permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de leur aorte, l’artère la plus importante du corps humain.

Dans les pays industrialisés, environ 60 % des femmes en âge d’enfanter ont un surplus de poids ou sont obèses, et les chercheurs avaient émis l’hypothèse que ceci pouvait avoir un impact sur le développement éventuel de maladies cardiaques chez leurs enfants.

Les bébés nés de mères avec un surplus de poids avaient une aorte plus épaisse de 7 mm par rapport aux bébés nés de mères de poids normal. Ce chiffre semble minuscule, mais a été considéré comme très significatif pour les chercheurs.

Ceux-ci ont expliqué que l’épaisseur de cette artère était le signe avant-coureur le plus important d’athérosclérose, rapporte Med Page Today.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal médical Archives of Disease in Childhood Fetal & Neonatal Edition.

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Les probiotiques durant la grossesse diminuent les allergies chez les tout-petits

Des chercheurs norvégiens ont analysé les données provenant de 41 000 mères et leur enfant, qui ont rempli des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires lors de leur 22e semaine de grossesse. Ces mères ont également fourni des renseignements sur les allergies de leur enfant à 6, 18 et 36 mois.

Environ 37 % des mères consommaient des produits laitiers contenant des probiotiques, tandis que 0,4 % en prenaient sous forme de suppléments. De plus, 18 % de ces mères donnaient également des probiotiques à leur enfant à partir de l’âge de 6 mois.

À l’âge de 6 mois, les enfants dont les mères avaient pris des antibiotiques avaient 7 % moins de risques d’eczéma et 12 % moins de risques de problèmes d’allergies.

Une autre constatation surprenante : le risque était encore beaucoup moins élevé chez les enfants dont la mère prenait des probiotiques, mais qui étaient nés par voie naturelle, comparativement aux petits nés par césarienne, rapporte MedPageToday.

Les résultats de cette étude ont été présentés au récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology.

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À quoi s’attendre après une césarienne

Avoir des relations sexuelles : Il n’y a pas de date fixe, et c’est correct de prendre son temps. Il vaut mieux que la plaie soit guérie, qu’il n’y ait plus de saignements, et que maman en ait envie!

Prendre un bain : Avant de prendre un bain, il faut attendre que la cicatrice soit fermée et propre, et qu’elle ne suppure pas.

Porter bébé : Il vaut mieux de pas porter bébé debout, ni vos enfants plus vieux, ni même des choses lourdes, pendant environ trois mois. Ceci évitera de tirer sur la cicatrice en forçant.

Faire du sport : Les médecins s’entendent habituellement pour dire aux mamans d’attendre 6 semaines après l’accouchement. Commencez en douceur, par exemple avec la natation ou la marche. Évitez au départ les exercices qui sollicitent les abdominaux.

S’épiler le bikini : Il serait avisé d’attendre deux mois, pour que la cicatrice soit complètement sèche et moins sensible.

Retomber enceinte : Un an d’écart entre la césarienne et une nouvelle grossesse est recommandé, pour permettre à l’utérus de bien cicatriser, et augmenter les chances d’un accouchement naturel pour la prochaine fois!