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Les mamans qui dirigent à la maison sont moins enclines à diriger au travail

Selon une nouvelle étude, les femmes qui prennent la plupart des décisions pour leur famille deviennent moins intéressées à l’avancement professionnel, mais cet effet n’atteint pas les hommes.

Les chercheurs ont demandé à des hommes et à des femmes de se positionner par rapport à leur carrière et à leur vie de famille à travers une série de tests d’associations implicites. Ils ont découvert que les hommes s’associaient principalement à leur travail, tandis que les femmes sentaient qu’elles devaient « changer de chapeau » entre leurs obligations professionnelles et familiales.

De plus, les femmes ont moins bien réussi dans des tâches cognitives après avoir fait l’expérience d’un changement entre ces deux identités, mais pas les hommes.

« Les mères ne réalisent pas qu’elles ne vont pas de l’avant au travail à cause de la manière dont elles considèrent leur rôle à la maison. Par conséquent, ces femmes prendront des décisions comme ne pas demander une promotion ou ne pas demander un statut permanent », a noté l’auteure de l’étude, Melissa Williams, selon ce que rapporte Science Daily.

Les résultats de cette étude ont été présentés au récent congrès annuel de la Society of Personality and Social Psychology.

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Les forums de discussion sont un bon outil de soutien pour les mères

Des chercheurs ont analysé plus de 100 différents forums de discussion en ligne s’adressant aux mères d’enfants de deux ans ou moins. Leurs conclusions : l’accessibilité et l’anonymat relatif de ceux-ci donnent un sentiment de sécurité et de confiance aux mères, qui pourraient être gênées ou même avoir honte de poser ces questions à une véritable personne.

Les sujets les plus populaires sur ces forums, qui correspondent avec les plus importantes inquiétudes ou craintes des mères, sont la nourriture, le sommeil, le développement, la discipline, l’apprentissage de la propreté et le lien affectif avec leur enfant.

L’auteure, Jean Ispa, a toutefois remarqué que les messages publiés sur ces forums peuvent parfois aller à l’encontre des recommandations officielles et véhiculer de fausses informations.

« Les mères doivent être conscientes que les conseils partagés sur ces forums ne représentent que des opinions émises par des individus », a-t-elle rappelé, selon Science Daily.

Des professionnels de la santé, par exemple une infirmière, auraient intérêt à observer ces forums de discussion, à la fois pour mieux comprendre les préoccupations premières des mères et être au courant de l’information parfois conflictuelle que celles-ci reçoivent, a suggéré Mme Ispa.

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Une étude de 30 ans s’attarde aux liens entre la santé de la mère et celle de l’enfant

Menée en Australie depuis 1981, l’étude suit une population de 4000 mères et de 4000 enfants. Les mères participantes à l’étude ont commencé à être suivies durant leur grossesse, puis ensuite lorsque l’enfant avait 6 mois, cinq ans, 14 ans, 21 ans et 30 ans.

Plus de la moitié des jeunes adultes ayant participé à l’étude ont déjà eu un problème de santé mentale. Les chercheurs ont indiqué que lorsque combinés, les problèmes psychiatriques communs comme l’anxiété, la dépression et les problèmes de consommation forment la plus grande cause de mort prématurée dans les pays développés, et pourtant, la science connaît encore assez peu les facteurs qui mènent à leur développement et à leur récurrence durant la première partie de la vie.

« L’étude va apporter de l’information importante pour influencer le traitement et la prévention de ces maladies », a noté l’auteur de l’étude, Jake Najman, selon Medical News Today.

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Encore trop de décès de mères et d’enfants

En fait, bien que le taux de décès ait diminué depuis 1990, certains endroits restent des zones de préoccupations majeures.

Alors que le nombre de décès a diminué de 40 %, seulement 28 des 74 pays ciblés par les Nations Unies sont en voie d’atteindre l’objectif que l’organisme leur a fixé.

Des millions de femmes et d’enfants continuent de mourir chaque jour de causes que l’on pourrait prévenir, selon un rapport des Nations Unies.

Les experts, pour en venir à cette conclusion, ont étudié 75 pays où l’on estime que plus de 98 % des décès de mères, de poupons et d’enfants ont lieu.

Ils ont souligné que ces décès sont en partie liés au nombre de plus en plus petit de donneurs d’organes et à l’échec de l’acheminement des ressources là où le besoin est le plus grand, comme en Afrique du Sud.

Les enfants et les mères décèdent de la pneumonie, de la diarrhée et de la malaria, dans beaucoup de cas.

Rappelons que ce ne sont pas les seuls problèmes de santé qui causent la mort de plusieurs personnes dans les pays en développement. Le dernier rapport publié par ONUSIDA indique que l’épidémie mondiale de sida stagne. Plus de 33 millions de personnes vivaient avec le sida dans le monde en 2007.

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Les mères plus âgées mettraient au monde de meilleurs bébés

Selon l’étude publiée dans le British Medical Journal, l’âge maternel plus élevé serait bon pour la santé de l’enfant ainsi que son développement jusqu’à l’âge de cinq ans.

Les chercheurs ont évalué le nombre de blessures, d’hospitalisations, l’indice de masse corporelle ainsi que le développement de plus de 30 000 enfants dont les mères étaient âgées de 13 à 57 ans.

Ils ont découvert que plus les femmes donnaient naissance à un enfant tard dans leur vie, moins la santé de ce dernier était à risque.

De plus, le nombre de difficultés sociales pour ces enfants serait moins important que chez les enfants nés de mères plus jeunes.

Ces résultats réjouissent les docteurs puisque de plus en plus de femmes fondent une famille plus tard dans leur vie.

Rappelons que les pères plus âgés, quant à eux, transmettraient leur longévité à leurs enfants. Des télomères plus longs — ces sections de l’ADN qui protègent les extrémités des chromosomes de la détérioration — ont été trouvés chez les gens dont les pères ou les grands-pères avaient fondé plus tardivement leur famille.

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Les mères qui ne travaillent pas chez elles sont en meilleure santé

Les mères qui travaillent à temps plein hors de la maison seraient en meilleure santé à l’âge de 40 ans que les mères au foyer, celles qui travaillent à temps partiel ou celles qui se retrouvent fréquemment sans emploi.

« Le travail est bon pour la santé, mentalement et physiquement. […] Cela donne aux femmes un sens du but, de l’auto-efficacité, du contrôle et de l’autonomie. Elles ont un endroit où elles sont expertes en quelque chose et reçoivent un salaire », explique l’aide-professeure en sociologie Adrianne Frech.

Selon les chercheurs, les choix que font les femmes tôt dans leur carrière pourraient avoir des répercussions sur leur santé plus tard dans leur vie.

Ainsi, les femmes qui retournent au travail après avoir eu un enfant disent être en meilleure santé physique et mentale, ayant une meilleure mobilité, plus d’énergie et moins de dépression à 40 ans.

Rappelons toutefois que les femmes enceintes qui passeraient trop de temps debout auraient plus de chances d’avoir un bébé de plus petite taille que les autres.

Celles qui travaillent en position debout, comme les vendeuses ou les enseignantes, devraient donc se préoccuper de leur position.

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Les enfants nés de mères plus âgées ont une meilleure vie

En fait, les enfants nés de mères plus âgées ont un meilleur départ dans la vie, puisqu’ils sont moins susceptibles d’être admis à l’hôpital.

Les risques qu’un enfant de neuf mois né d’une mère de 20 ans ait un accident sont de 9,5 %, tandis qu’ils sont de 6,1 % chez celui né d’une mère de 40 ans.

Les risques d’hospitalisation d’enfants nés de jeunes mères sont de 16 %, alors que ceux des enfants nés de mères d’âge mûr sont de 10,7 %.

De plus, ces enfants apprendraient plus rapidement à parler et auraient moins de difficultés sociales et émotionnelles avant l’âge de cinq ans.

Les femmes plus âgées ont tendance à être plus éduquées, avoir de meilleurs revenus et être mariées, d’après les scientifiques qui ont mené l’étude. Ces facteurs sont associés à un meilleur bien-être.

Rappelons qu’avoir un bébé après 30 ans permettrait de réduire les risques de cancer de l’endomètre chez la femme. Il semblerait que pour les femmes qui ont de 35 à 39 ans, le risque baisse de 32 %, puis de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.

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Les mères dévouées risquent d’être plus déprimées

En fait, les mères qui cherchent trop à être parfaites auprès de leurs enfants ont tendance à être moins heureuses que les autres mères, selon une étude de l’Université de Mary Washington, publiée dans le Journal of Child and Family studies.

Durant le sondage réalisé par les chercheurs, 23 % des mères qui mettent trop d’efforts dans leur rôle parental étaient déprimées et stressées.

De plus, ils ont aussi mentionné chez certaines femmes le paradoxe de la parentalité, qui veut qu’en devenant mères, elles se fixent des objectifs qui sont en grande partie irréalisables.

Le bon équilibre, selon le pédopsychiatre Stéphane Clerget, qui a parlé à RTL.be, consiste d’abord pour la mère à reconnaître ses défauts. Puis, elle devrait déléguer à papa certaines tâches et ne pas oublier de continuer sa vie de femme en passant quelques fois du temps sans ses enfants.

L’enfant, dans cette situation, pourra s’ouvrir aux autres et développer des liens d’amitié avec autrui.

Rappelons, d’autre part, que de trop chouchouter votre enfant pourrait entraîner chez lui la dépression ou d’autres problèmes d’ordre mental.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’allaitement aide les mères à rester minces

Les mères qui allaitent leurs bébés réduisent leur risque de devenir obèses quand elles vieillissent, indique une étude qui a suivi plus de 700 000 femmes postménopausées et qui a été publiée dans l‘International Journal of Obesity.

« Notre recherche suggère que seulement six mois d’allaitement pour les femmes britanniques pourraient réduire leur risque d’obésité plus tard dans la vie », a déclaré la professeure Valérie Beral, directrice de l’Unité d’épidémiologie du cancer à l’Université d’Oxford et membre de l’équipe de l’étude.

Une réduction de 1 % de l’IMC peut sembler faible, mais répartie dans la population du Royaume-Uni, cela pourrait signifier environ moins 10 000 décès prématurés par décennie liés à l’obésité, notamment le diabète, les maladies cardiaques et certains cancers, indique la professeure.

Elle souligne : « Nous savons déjà que l’allaitement maternel est bénéfique pour les bébés. Cette étude montre aussi que l’allaitement est formidable pour la mère, même 30 ans après qu’elle ait donné naissance ».

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Sport et allaitement: pas de danger pour le bébé

« D’après ce que nous savons, les bébés de mères qui font du sport ne gagnent pas moins de poids que les bébés de mères qui n’en font pas », dit à Reuters Health l’auteure de la recherche, Amanda J.Daley, de l’Université de Birmingham. 

Les femmes pourraient donc s’exercer sans crainte lorsqu’elles allaitent.
 
Les inquiétudes provenaient des effets de l’exercice physique sur la production de lait de la mère. 
 
Malgré tout, si vous ne faisiez pas d’exercice avant ou pendant la grossesse, mieux vaut y aller doucement au début. La professeure de nutrition de l’University of North Carolina Greensboro suggère d’abord de prendre quelques semaines pour établir l’allaitement avant de devenir active graduellement.
 
« Commencez avec de la marche 15 minutes par jour, puis ajoutez deux minutes par jour jusqu’à ce que vous marchiez 45 minutes en tout », dit-elle.
 
Toutefois, une autre étude a démontré que le lait des mères actives perdait une certaine quantité de bactéries renforçant le système immunitaire des bébés avec le temps. De plus, il est possible que le taux d’acide lactique dans le lait le rende moins efficace. 
 
Rappelons cependant que l’allaitement ne devrait pas être négligé en fonction de votre activité physique. L’allaitement maternel permettrait aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle. Ils seraient ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, selon le site SantéLog.