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Le tabac menace la santé des nouveau-nés prématurés

Une étude de l’Université de Louisville, au Kentucky, a permis d’associer au tabagisme un risque plus élevé de développer l’entérocolite nécrosante chez les poupons nés prématurément.

Cette maladie, la plus commune des affections gastro-intestinales chez les prématurés, détruit les tissus de la paroi intestinale des nouveau-nés.

Sept à dix pour cent des enfants américains souffrent de cette maladie.

Plusieurs facteurs après la naissance ont été associés avec la maladie à ce jour — comme les infections bactériennes ou l’allaitement artificiel —, mais cette fois, les experts se sont tournés vers des facteurs en lien avec le développement du bébé avant sa naissance.

« En fait, le seul facteur qui a été statistiquement significatif était le tabagisme chez la mère qui, je pense, donne plus de crédibilité aux obstétriciens et aux pédiatres qui avertissent les femmes de cesser de fumer durant la grossesse », explique Cynthia Downard, auteure de la recherche et professeure adjointe en chirurgie pédiatrique à l’Université de Louisville.

Rappelons également que le risque de développer une maladie mentale est accru chez les enfants nés prématurément. En effet, ces bébés sont plus à risque de souffrir d’un trouble bipolaire, de dépression et de psychose.

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Les féministes maternent leurs enfants

À la suite de cette étude, les chercheurs ont découvert que les mères féministes étaient en accord avec des pratiques comme l’allaitement, le cododo et le portage du bébé en écharpe.

Toutefois, les femmes non féministes interrogées ont montré une perception des féministes bien différente. En fait, d’après elles, féminisme et maternage seraient incompatibles.

« Les féministes n’ont pas de raison de s’opposer au maternage », soutient la porte-parole de l’organisme Osez le féminisme, Julie Muret.

L’organisme français milite pour « l’acceptation [de l’autonomie des femmes] par la société plutôt que pour le rejet de la maternité ».

Aussi, les féministes ne devraient pas s’opposer à l’allaitement, mais s’assurer que les femmes aient le choix de le faire si elles le désirent.

« C’est ce qui a le plus de conséquences sur la vie des mères », dit Julie Muret en parlant du difficile retour à l’emploi avec des changements salariaux possibles, entre autres.

Rappelons que l’allaitement maternel permettrait aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, selon le site SantéLog.

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La césarienne reliée au surpoids de l’enfant

Des récentes recherches de l’Université Harvard et du Boston Children’s Hospital ont permis de découvrir que les enfants nés par césarienne étaient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

En fait, 16 % de ces poupons étaient cliniquement obèses à l’âge de trois ans et avaient un indice de masse corporelle trop élevé et une épaisseur anormale du pli de la peau.

De plus, le quart des bébés en Angleterre sont nés par césarienne en 2011. Parmi ceux-ci, seulement la moitié l’ont été à cause de complications. L’autre partie des futures mères a délibérément choisi la césarienne.

« Ces femmes se seront fait mettre en garde par leur obstétricien des risques de la césarienne, les risques d’infections, de douleur à long terme et de cicatrice. Cette recherche nous donne l’occasion d’expliquer qu’une césarienne pose potentiellement des risques à long terme pour la santé de leurs bébés », dit Sue McDonald, directrice de l’éducation et de la recherche au Royal College of Midwives.

Rappelons aussi que les poupons nés par césarienne ont un moins haut taux de bactéroïdes dans la gorge, une population de microbes bénéfiques dont la composition s’ajuste à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

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Les mères qui se sentent coupables ne le devraient pas

Todaysparent.com suggère quelques moyens pour se détendre aux mamans trop inquiètes ou qui se sentent coupables de certaines choses.

D’abord, lorsque vous avez l’impression qu’il y a quelque chose que vous ne faites pas comme il faut, il peut être tentant de consulter des blogues à la recherche de conseils. Cependant, les mamans entre elles, dans la section « commentaires », sont souvent peu diplomatiques. Afin d’éviter de vous sentir encore plus jugée, discutez plutôt entre copines de ce qui vous tracasse.

Aussi, observez votre mari et prenez des notes. Le site mentionne que les hommes ont moins tendance à se sentir coupables que les femmes. Chéri part au boulot sans vous embrasser et ne vous appelle pas afin de savoir comment tout se passe sans lui durant la journée? Détendez-vous, ça ne fait pas de lui un moins bon père.

Finalement, souvenez-vous qu’aucune femme n’est une super-maman et que tout faire est impossible. Faire de votre mieux est amplement suffisant, selon Todaysparent.com.

Rappelons que les femmes angoissées sont plus portées à déranger leur bébé en plein sommeil afin de vérifier si tout va bien. Cela peut affecter la relation entre la mère et l’enfant à long terme.

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Moins de pression dans l’apprentissage de la propreté

C’est ce que croit l’auteure de livres pour les parents Madeleine Deny. Elle donne quelques conseils pour y arriver sans mettre trop de pression sur les tout-petits.

D’abord, elle suggère d’enfiler une culotte sans la couche. Si le petit s’échappe, il saura que ce n’est pas confortable d’avoir une culotte mouillée. Dans ce cas-ci, prenez le temps de l’accompagner à la salle de bains et ne le réprimandez pas.

La vessie des enfants atteint sa maturité vers deux ans ou deux ans et demi. Ce n’est qu’à ce moment que le petit saura qu’il a envie d’aller sur le pot.

Également, elle souligne que les enfants vont de 6 à 10 fois sur le pot. Il pourrait donc être bien pratique d’établir une sorte d’horaire. Par exemple, prévoir une pause pipi toutes les deux heures pourrait l’habituer à aller sur le pot.

Si l’enfant est en camp de vacances ou fréquente l’école sans être tout à fait propre, prévoyez deux ou trois culottes de rechange, juste au cas.

Rappelons que si les façons de faire quant à l’apprentissage de la propreté ont beaucoup évolué au fil des dernières années, il semble qu’elles ne soient pas appliquées de manière uniforme auprès de tous les enfants. Ce n’est donc pas parce que les autres enfants ont appris d’une telle manière que celle-ci fonctionnera avec votre enfant.

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Le personnel médical nuit à l’allaitement

C’est ce que révèle une étude des Centers for Disease Control and Prevention publiée aujourd’hui (4 juin).

Si une mère commençait à allaiter son bébé dans l’heure suivant sa naissance et que ce dernier ne recevait donc pas de suppléments alimentaires des médecins, elle serait plus susceptible d’allaiter son enfant durant plusieurs mois avec succès, selon les experts.

Cependant, 40 % des mères ayant pris part à cette étude affirment que le personnel médical auquel elles avaient eu affaire a donné à leur bébé des suppléments dès leur naissance.

Certains scientifiques s’inquiètent, puisque les suppléments sont rapidement donnés pour calmer le bébé ou tester son habileté à sucer.

« Les suppléments utilisés par les hôpitaux sont associés avec l’apparition tardive de la lactation, des pratiques suboptimales de l’allaitement, la perception de problème durant l’allaitement pendant le séjour à l’hôpital ainsi qu’une durée plus courte de l’allaitement », peut-on lire dans la revue Pediatrics.

Rappelons que l’allaitement au sein augmente le nombre de bactéries bénéfiques pour l’intestin des bébés. Il permettrait aux petits d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes.

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Les mères de 40 ans et plus font de meilleurs enfants

L’étude de l’University College London et du Birkbeck College avance également que les enfants nés de femmes quadragénaires ont moins de chances d’avoir besoin de soins hospitaliers et d’être victimes d’accidents ou de blessures. Ces mères seraient aussi plus portées que les jeunes à faire vacciner tôt leur bébé.

Adoptant des conversations plus « matures », les enfants des mères de 40 ans et plus auraient un vocabulaire plus riche et diversifié à un âge précoce et obtiendraient des résultats plus élevés à des examens de QI, selon des tests qui ont été effectués auprès de certains d’entre eux jusqu’à l’âge de cinq ans.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé 1100 enfants nés de femmes âgées de 40 ans et plus et 38 000 enfants nés de femmes plus jeunes en Grande-Bretagne, rapporte le Daily Mail.

Pour le Dr Alastair Sutcliffe, ces résultats démontrent du positivisme concernant les grossesses à un âge avancé, qui sont fréquemment pointées du doigt pour leurs risques physiques (infertilité, diabète, etc.), mais jamais valorisées pour leurs effets psychiques.

L’expert croit que les femmes de 40 ans ont de meilleures compétences parentales que les plus jeunes. Selon lui, malgré la fatigue qui les guette, elles peuvent être moins impulsives, plus calmes et mieux équipées avec leur bagage de vie.

Il ajoute que l’attente prolongée vers une grossesse désirée leur permet probablement d’apprécier davantage leur rôle maternel.

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Moins de césariennes chez les mères adolescentes

En dépit d’un plus grand risque de complications obstétricales, il y a 82,7 % des jeunes femmes de moins de 16 ans qui donnent naissance naturellement, comparativement à 71,6 % chez les 16-35 ans, révèle une étude l’École de médecine de l’Université de Philadelphie.

Outre l’accouchement par voie vaginale, les mères adolescentes sont plus susceptibles de séjourner plus longtemps à l’hôpital après la naissance, de perdre plus de sang, de donner vie à des bébés prématurés et plus petits, d’être atteintes de prééclampsie et d’avoir un travail plus long.

Les chercheurs ont également remarqué que les jeunes mères réalisaient moins de visites prénatales, et leur première rencontre avec un médecin a souvent lieu vers le quatrième mois, comparativement au deuxième mois pour les femmes plus âgées.

Pour arriver à leurs conclusions, les auteurs de l’étude ont évalué un ensemble de données concernant plus d’un million de grossesses survenues entre 1997 et 2005.

Même si le taux de grossesse chez les adolescentes a diminué au cours des dernières années, les États-Unis détiennent encore l’un des plus hauts taux parmi les pays industrialisés.

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Les mères intolérantes au gluten font-elles des enfants schizophrènes?

C’est l’étrange constat qu’ont fait des scientifiques de l’Institut Karolinska en Suède et du Centre de l’enfance de l’Université Johns Hopkins à Baltimore. Les résultats sont parus dans The American Journal of Psychiatry.

Les enfants nés d’une mère ayant des niveaux anormalement élevés d’anticorps à la protéine de gluten de blé avaient près de deux fois plus de risque de développer la schizophrénie plus tard dans la vie, par rapport aux enfants qui avaient des niveaux normaux d’anticorps de gluten.

Pour en arriver à cette conclusion, des échantillons de sang néonatal d’enfants nés entre 1975 et 1985 ont été analysés pour voir les niveaux d’anticorps IgG dans les produits laitiers et céréaliers qui leur avait été transmis.

Parmi les 764 dossiers de naissance, 211 personnes avaient développé des psychoses et troubles délirants tels que la schizophrénie.

Les scientifiques tiennent à préciser que même s’il y a un lien fort, l’intolérance au gluten chez la mère n’est pas assurément source de maladie mentale chez l’enfant.

Selon les experts, l’exposition à certains éléments avant et pendant la grossesse et après la naissance peut préprogrammer la santé physique et psychique de l’adulte. Le mode de vie et les gènes ne seraient donc pas les seuls facteurs qui peuvent influencer la santé mentale d’une personne à l’âge adulte, selon eux.

Par le passé, il a été prouvé que les schizophrènes étaient plus susceptibles de souffrir de la maladie coeliaque, une maladie auto-immune rare caractérisée par une sensibilité au gluten.

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Des bébés auront accès gratuitement aux Jeux olympiques de Londres

Le 8 mai dernier, le comité d’organisation des Jeux olympiques de Londres a pris la décision que les nouvelles mamans détentrices d’un billet d’entrée pourront avoir la joie d’assister à l’événement tout en gardant leur argent pour acheter des couches plutôt qu’un deuxième billet d’entrée pour leur bébé.
 
Il faut dire que l’organisation n’a pas vraiment eu le choix devant la pression qui était palpable auprès des jeunes mères qui revendiquaient leurs droits.
 
En effet, les femmes ont découvert dernièrement qu’elles ne pourraient assister aux épreuves avec leur bébé sans acheter un second billet. Selon elles, la décision des organisateurs s’apparentait à une violation de la loi sur l’égalité des sexes, relate le site d’Europe 1.
 
Ce ne sont toutefois pas tous les bébés qui seront les bienvenus. « Le bébé devra bien sûr avoir moins de 12 mois et ne sera admis que s’il est attaché en toute sécurité à l’un de ses parents au moyen d’un porte-bébé », a déclaré le directeur général du comité d’organisation, Paul Deighton.