Catégories
Uncategorized

Les femmes stressées ou dépressives suralimentent leurs bébés

Alors qu’il y a quelques jours, une étude du Social Science Research Institute révélait que les mères dépressives avaient tendance à réveiller inutilement leur nourrisson durant la nuit, alors qu’il n’avait besoin de rien, une nouvelle enquête vient ajouter un autre élément qui touche ce type de femmes.

En effet, les mères dépressives seraient 15 fois plus susceptibles d’ajouter des céréales dans le biberon de leur petit.

Quant aux femmes à faible revenu, monoparentales et stressées (24 %), elles auraient tendance également à utiliser cette méthode qui peut conduire à l’obésité infantile, déclare une étude présentée le 28 avril au Congrès annuel des Pediatric Academic Societies à Boston.

Pour arriver à cette conclusion, 254 mères ont répondu à des questionnaires concernant leur mode de vie, leur santé psychique, physique et financière.

Les chercheurs ont tenté de trouver le lien qui pouvait être établi entre ces derniers facteurs, les éléments socio-économiques de la femme (âge, emploi, race, scolarité, etc.) et le fait que certaines d’entre elles nourrissent davantage leur bambin.

Mentionnons que l’ajout de céréales dans le biberon de lait n’est pas recommandé par diverses organisations, dont l’American Academy of Pediatrics, car ceci peut provoquer l’excès de poids chez un enfant.

Catégories
Uncategorized

De plus en plus de mères ne peuvent se permettre de travailler

En fait, plusieurs mères croient que de travailler occasionne de nombreuses dépenses. Par exemple, lorsqu’elles considèrent les coûts reliés aux déplacements, à la garde des enfants, aux dépenses reliées au travail ainsi qu’aux sorties occasionnelles au restaurant, elles croient que travailler est moins rentable qu’elles ne l’auraient pensé. Aussi, les dépenses inévitables, comme le coût croissant de l’essence, pèsent dans la balance.

De plus, les enfants n’ayant pas l’âge de se garder seuls quelques heures nécessitent une gardienne durant l’absence des parents. Cependant, en 2010, placer deux enfants en service de garde coûtait plus cher que de payer une location de voiture toute l’année, selon le Child Care Aware of America.

« C’est une question d’analyse de coûts, et j’ai plusieurs clients qui ont choisi de démissionner », dit la conseillère financière Anna Behmam.

Plusieurs facteurs déterminent du choix de la mère de travailler ou de rester à la maison. Cependant, le coût de l’emploi pourrait ne pas valoir la paie.

Rappelons que pour faire face à la pauvreté, une mère sur cinq saute un repas pour que son enfant puisse manger adéquatement, et une famille sur quatre vit constamment sur le crédit.

Catégories
Uncategorized

De plus en plus de mères ne peuvent se permettre de travailler

En fait, plusieurs mères croient que de travailler occasionne de nombreuses dépenses. Par exemple, lorsqu’elles considèrent les coûts reliés aux déplacements, à la garde des enfants, aux dépenses reliées au travail ainsi qu’aux sorties occasionnelles au restaurant, elles croient que travailler est moins rentable qu’elles ne l’auraient pensé. Aussi, les dépenses inévitables, comme le coût croissant de l’essence, pèsent dans la balance.

De plus, les enfants n’ayant pas l’âge de se garder seuls quelques heures nécessitent une gardienne durant l’absence des parents. Cependant, en 2010, placer deux enfants en service de garde coûtait plus cher que de payer une location de voiture toute l’année, selon le Child Care Aware of America.

« C’est une question d’analyse de coûts, et j’ai plusieurs clients qui ont choisi de démissionner », dit la conseillère financière Anna Behmam.

Plusieurs facteurs déterminent du choix de la mère de travailler ou de rester à la maison. Cependant, le coût de l’emploi pourrait ne pas valoir la paie.

Rappelons que pour faire face à la pauvreté, une mère sur cinq saute un repas pour que son enfant puisse manger adéquatement, et une famille sur quatre vit constamment sur le crédit.

Catégories
Uncategorized

Les mères en dépression nuiraient au sommeil de leurs poupons

« Nous avons déterminé que les mères avec des symptômes élevés de dépression sont plus susceptibles de s’inquiéter excessivement de leurs bébés la nuit que les autres mères », dit le directeur associé du Social Science Research Institute et professeur de développement humain, psychologie et pédiatrie, Douglas M. Teti.

L’étude a montré que lorsque les mères dépressives allaient voir leur enfant la nuit, ce dernier n’avait besoin de rien. Or, les femmes ayant moins de symptômes de la dépression n’étaient pas portées à réveiller leurs enfants en pleine nuit ou à aller les voir, à moins que leur enfant soit en détresse.

Le professeur Teti souligne également que si la dépression où l’inquiétude de la mère nuit au sommeil de l’un des deux sujets, la relation entre la mère et l’enfant pourrait être affectée à long terme.

Toutefois, l’étude a aussi montré que les infants se réveillant souvent durant la nuit pouvaient aggraver les symptômes de dépression de leur mère.

De nombreuses solutions existent pour réduire ce phénomène. Les médecins peuvent tenter d’alléger les symptômes de dépression chez la mère, réduire les soucis inutiles au sujet du sommeil du poupon, encourager le soutien du conjoint ou encore fournir de l’information sur les bienfaits d’une bonne nuit de sommeil pour le bébé.

Catégories
Uncategorized

La langue de certains bébés rend l’allaitement difficile

Il s’agit d’une malformation de naissance assez commune appelée ankyloglossie, qui peut rendre les premiers allaitements plus compliqués.

Cette malformation a divers degrés, selon la pédiatre Janet Grabowski.

« Il y a des types de langue liée moins sévères qui n’affectent pas beaucoup la fonction de la langue. Si le cas est plus sévère, le bébé pourrait ne pas être capable de tirer la langue assez pour bien téter et pour avoir assez de lait. Dans des cas très rares, une langue liée sévère peut causer des problèmes d’élocution », affirme-t-elle à Todaysparent.com.

Il est possible de diagnostiquer l’ankyloglossie assez facilement, selon la spécialiste en allaitement au Calgary Breastfeeding Centre, Maureen Fjeld. « Parce que le bébé ne pourra pas prendre le mamelon assez loin dans sa bouche, il va le mordiller », dit-elle. De plus, le bébé atteint de cette malformation tardera à prendre du poids.

Cependant, il existe un traitement assez simple appelé freinectomie. L’intervention consiste à faire une courte incision à la base de la langue du bébé. Les médecins, en général, peuvent pratiquer l’opération de leur bureau en utilisant un anesthésiant local.

Catégories
Uncategorized

Trouble obsessionnel compulsif : les mères critiquent leurs enfants

Selon l’Académie américaine de psychiatrie infantile et des adolescents, un enfant sur 200 souffre d’un trouble obsessionnel compulsif.

Une nouvelle étude de la Case Western Reserve University, parue dans la revue Child Psychiatry & Human Development, vient de révéler que les mères des enfants atteints d’un TOC seraient beaucoup plus exigeantes et critiques envers leur enfant qu’elles le sont pour un autre jeune dans la famille.

Selon les chercheurs, cette critique parentale serait également liée à de moins bons résultats et une moins bonne collaboration de l’enfant, après le diagnostic et pendant le traitement.

Les risques de rechute seraient d’ailleurs plus élevés pour les enfants dont la mère persiste à vouloir leur faire perdre leurs pensées répétitives qui mènent à l’anxiété et qui les poussent à avoir des routines exigeantes ou des comportements qui peuvent sembler étranges.

Selon les chercheurs, « la critique des parents peut être une réaction à l’anxiété de l’enfant. Cette recherche ne tente pas de rendre le parent responsable du TOC de l’enfant. Toutefois, la relation entre les parents et les enfants souffrant de TOC est importante et devrait être une priorité pour favoriser le traitement. Les parents peuvent aider les enfants souffrant de TOC à aller mieux ».

Les parents devraient donc essayer de reconnaître les symptômes, cesser de voir les routines extrêmes de l’enfant comme « une phase » ou un entêtement et avouer qu’il y a un problème.

Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont filmé des entretiens et posé des questions à 62 couples mère-enfant, juste avant le début du traitement pour un TOC.

Les enfants atteints de TOC ont clairement affirmé avoir l’impression de recevoir moins de gestes d’affection de la part de leurs parents que leurs frères et sœurs.

Catégories
Uncategorized

Les antidépresseurs peuvent affecter la taille de la tête du bébé

Les femmes enceintes qui prennent des antidépresseurs sont plus susceptibles d’accoucher de nourrissons avec une croissance réduite de la tête, révèle une nouvelle étude réalisée aux Pays-Bas. 

Les chercheurs ont également constaté que celles qui prennent des antidépresseurs comme le Paxil et le Prozac ont semblé être associées à un risque plus élevé d’accouchement prématuré.
 
« La croissance du corps du foetus est un marqueur de sa santé et celle de la tête foetale est un marqueur pour le développement du cerveau », a déclaré le chercheur principal, Hanan El Marroun, qui travaille au Sophia Children’s Hospital and Erasmus Medical Center, à Rotterdam.
 
Il peut y avoir des alternatives pour les femmes enceintes. « Parfois, la dépression peut être traitée sans prendre de médicaments » a notamment expliqué le chercheur.
 
Cette étude a été publiée le 5 mars en ligne dans The Archives of General Psychiatry. Pour l’étude, l’équipe El Marroun a étudié les résultats de natalité de 7700 femmes enceintes.
 
Catégories
Uncategorized

Les réseaux sociaux attirent les mères

Selon une enquête menée par l’Institut des mamans auprès de 300 mères d’enfants de moins 3 ans, 82 % des mères naviguent sur les réseaux sociaux.
 
Les réseaux généralistes du type Facebook arrivent en tête des sites les plus fréquentés : près de 79 % des mamans s’y connecteraient.
 
Les réseaux thématiquesetciblés accrochent, quant à eux, 14 % des mères. Enfin, les réseaux professionnels comme LinkedIn ou Viadeo comptent 10 % d’adeptes qui sont des femmes avec enfants.
 
Selon l’étude, le réseau Twitter, qui intéressait seulement 4 % des femmes interrogées en septembre dernier, semble progressivement gagner du terrain auprès des jeunes mamans.
Catégories
Uncategorized

La répartition des tâches entre les parents est-elle égale?

C’est ce que révèle une nouvelle étude publiée dans le numéro de décembre de l’American Sociological Review.

En termes de quantité, en plus de travailler à l’extérieur comme leurs conjoints, les mères consacrent 48,3 heures par semaine aux tâches ménagères et au soin des enfants, comparativement à 38,9 pour les pères, selon ce que révèle l’étude.

52,7 % de tous les épisodes multitâches à domicile impliquent le ménage pour les femmes, comparativement à 42,2 % pour les hommes. Pour l’éducation des enfants, on obtient 35,5 % chez les mères contre 27,9 % chez les pères.

Ces derniers sont portés à sélectionner naturellement des activités moins lourdes émotionnellement, telles que s’occuper du paysagement, de l’entretien de la voiture ou parler à une tierce personne. La mère, habituellement, se changera peu les idées avec ses tâches ménagères et l’éducation des enfants.

Les chercheurs croient aussi que le multitâche est une expérience plus négative pour les mères que pour les pères, car les activités des mères sont plus sensibles au jugement et aux critiques d’autrui.

Selon les auteurs de l’étude, la clé du bien-être émotionnel de la mère se trouve dans le comportement des pères. Les employeurs de la gent masculine devraient également donner un coup de main en encourageant les pères à s’impliquer davantage au sein de leurs familles.

Catégories
Uncategorized

Le nombre d’enfants en lien avec la santé dentaire des mères

« Les femmes qui ont plus d’enfants ont moins de dents », a indiqué la Dre Stefanie Russell, chef d’une équipe de chercheurs du New York University College of Dentistry.

Elle a souligné que ce n’était pas à cause du coût des soins dentaires : « Les gens peuvent penser que cela arrive parce que les femmes avec peu de ressources ne peuvent pas se permettre d’aller chez le dentiste. Mais nous avons constaté que cela se produisait à tous les niveaux économiques ».

Selon les experts, la cause la plus probable de ce phénomène est une inflammation de la cavité buccale. Pendant la grossesse, la mère serait plus sensible aux maladies des gencives, explique-t-on sur Medicmagic.

La gingivite est une maladie inflammatoire avec des saignements causés par des bactéries localisées dans les dents et les gencives. Si elle n’est pas traitée, cela peut entraîner des maladies graves et même la perte de dents.

Les scientifiques ont examiné les données de 2635 femmes âgées de 18 à 64 ans pour cette recherche.