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Les mères tristes ont des bébés plus petits

La dépression et l’anxiété des femmes durant leur grossesse peuvent affecter le poids du bébé à la naissance. Ces femmes sont plus susceptibles d’avoir un bébé plus petit, l’exposant ainsi à des risques accrus de mortalité en bas âge.
 
Selon le BMC Public Health, c’est la première fois que l’on établit ce genre de lien et ceci après avoir suivi des femmes des régions rurales du Bangladesh.
 
Les recherches démontrent que les problèmes de santé mentale sont plus susceptibles d’être la première cause de mortalité infantile, de santé précaire, de malnutrition et de faible statut socio-économique.
 
Sur les femmes qui ont été suivies, 18 % avaient reçu un diagnostic de dépression durant leur grossesse et le quart souffrait d’anxiété. Elles ont principalement eu des bébés plus petits que la moyenne.
 
Ce phénomène est préoccupant puisqu’un petit poids à la naissance peut conduire à un décès prématuré. Il est donc important que les femmes affectées aient un suivi de grossesse rigoureux.
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Les attentats du 11 septembre 2001 affectent la santé mentale des enfants

Des chercheurs de l’Université de New York ont interrogé les mères de 116 enfants qui étaient âgés de cinq ans et moins lors des événements du 11 septembre 2001 et qui vivaient à proximité des lieux.
 
Il semblerait que les mères ayant eu un syndrome post-traumatique ou une dépression après les attentats ont influencé la santé mentale de leurs enfants également. En fait, ces enfants sont plus susceptibles de présenter des problèmes de comportement.
 
« Avec les jeunes enfants, vous avez deux sources possibles de traumatismes, ce qu’ils ont vécu directement ou la façon dont ils réagissent à ce que leur mère a vécu. Nous avons appris que pour l’expérience du 11 septembre, les mères qui ont eu une dépression ou un choc post-traumatique avaient grandement influencé le comportement de leurs enfants », explique le directeur du programme de traumatologie de l’Université de New York, Claude Chemtob.
 
Sur les mères interrogées, ont note que 57 % de leurs enfants ont des comportements émotionnels très réactifs : ils sont collants et facilement bouleversés. De plus, 36 % sont anxieux et déprimés, 29 % ont des problèmes de sommeil, 43 % sont agressifs et 21 % sont des enfants retirés ou inattentifs.
 
Certains experts affirment toutefois que cette étude présentée par le journal Child Development n’apporte pas de preuves concrètes que les attentats contre le World Trade Center sont réellement à l’origine de ces problèmes.
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Le « baby-blues » n’affecte pas seulement les mères

Une nouvelle étude américaine révèle que les pères aussi peuvent souffrir de baby-blues.
 
En fait, selon ce que rapporte le Journal of the American Medical Association, 10 % des pères sont affectés par une dépression prénatale ou postnatale.
 
Bien que les femmes aient toujours deux fois plus de chances de souffrir d’une dépression après leur accouchement (42 % des femmes sont touchées de trois à six mois après la naissance), les pères sont aussi affectés.
Après avoir analysé 43 enquêtes totalisant 28 000 participants, les chercheurs affirment que si une femme souffre de dépression post-partum, l’homme a souvent tendance à devenir dépressif également.
 
Trois à six mois après la naissance, 25 % des pères présentent ainsi des symptômes de dépression.
 
Les spécialistes rappellent qu’il est grandement important de déceler les premiers signes d’une dépression, autant chez la mère que chez le père, car on constate de plus en plus que cela affecte également l’état émotif du nouveau bébé.
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Les bébés de mères dépressives dorment moins bien

Le Point rapporte qu’une étude australienne démontre que les troubles psychologiques des jeunes mères affectent la qualité du sommeil de leur enfant.
 
Il semblerait que les troubles du sommeil des bébés soient liés à la santé psychologique de leur maman.
 
Il a été noté que les mères qui souffrent de dépression postnatale, par exemple, se plaignent de se faire souvent réveiller par les pleurs de leur bébé la nuit.
 
90 mères, dont 39 dépressives, et leur bébé de 5 à 12 mois ont été suivis pour l’étude. Les chercheurs ont observé que lorsque les mères se sentaient soutenues et encouragées, le problème était nettement moins important.
 
Des infirmières ont montré aux jeunes mères des comportements à adopter avec leur bébé. Ces sessions d’informations se sont déroulées pendant cinq jours. Pendant ce temps, il y a eu une nette amélioration quant aux réveils et aux pleurs des petits pendant la nuit. De plus, ces derniers s’endormaient beaucoup plus rapidement et la qualité de leur sommeil en était donc améliorée.
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Travailler à temps partiel permet une meilleure santé de son enfant

Le Journal of Social Science and Medicine rapporte que les mères qui travaillent à temps partiel sont plus susceptibles d’avoir des enfants en bonne santé comparativement à celles qui travaillent à temps plein et à celles qui ne sont pas de la population active.
 
Selon une étude australienne, les enfants de femmes qui travaillent à temps partiel regardent la télévision une heure de moins par semaine et ont un style de vie plus sain. De plus, ils ont majoritairement un poids santé, car ils bougent plus et grignotent moins.
 
Les chercheurs ont examiné 2 500 enfants de 4 et 5 ans et les ont rencontrés de nouveau à 6 et 7 ans. 18 à 20 % de ces enfants étaient obèses ou en surpoids.
 
Les femmes qui travaillent à temps plein ont moins de temps pour encourager leurs enfants à bouger et moins de temps pour cuisiner des repas maison. Toutefois, on n’arrive pas à s’expliquer pourquoi les enfants dont les mères ne travaillent pas n’ont pas une aussi bonne santé physique et mentale que ceux dont les mères travaillent à temps partiel.
 
Pour les spécialistes, peut-être que la mère qui travaille à temps partiel arrive à mieux équilibrer le tout entre sa vie professionnelle et la vie familiale.
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L’asthme chez les enfants lié au surplus de poids chez les mères

Selon une recherche de l’Institut national de la santé publique et de l’environnement des Pays-Bas, les enfants sont plus à risque de développer de l’asthme si un ou les deux parents ont un historique de la maladie et que la mère a un surplus de poids.

L’étude a porté sur 4 000 enfants qui ont été suivis de la naissance jusqu’à l’âge de huit ans. Les mères avaient environ 30 ans et 21 % d’entre elles présentaient un indice de masse corporelle supérieur à 25.

Les résultats démontrent que si la mère est en surpoids avant la grossesse et qu’un ou les deux parents sont asthmatiques, l’enfant a 65 % plus de risques de le devenir également. Par contre, si les parents ne souffrent pas de l’asthme, il n’y aurait aucun lien.

Malgré tous les progrès, la maladie est responsable de 5 000 décès par année aux États-Unis.