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L’avantage du vin rouge pour le syndrome métabolique et l’ostéoporose

Science World Report rappelle que parmi les avantages du vin rouge se retrouvent la stimulation de la santé cardiaque, la longévité et une meilleure circulation sanguine.

Selon la plus récente recherche à ce propos au Danemark, un nouveau bienfait s’ajoute à la liste, ce qui aidera notamment les hommes souffrant du syndrome métabolique.

Le vin rouge accentue la densité osseuse grâce au resvératrol, l’un des composés naturels du raisin. On en retrouve aussi dans les noix, et ses propriétés sont anticancéreuses, anti-inflammatoires et antioxydantes.

Dans le cas du syndrome métabolique, les hommes présentent justement une dégradation osseuse prématurée due à l’inflammation. Cette maladie récente comprend un ensemble de facteurs qui augmentent les risques de maladie cardiaque et d’autres affections comme le diabète et l’AVC.

Éventuellement, les chercheurs de l’Université Aarhus espèrent même utiliser le resvératrol pour prévenir l’ostéoporose.

La principale auteure de la recherche, Dre Marie Juul Ornstrup, déclare : « Notre étude est la première à déterminer le potentiel du resvératrol pour développer un médicament contre l’ostéoporose ».

On retrouve l’étude dans la revue Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.

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Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.

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Un nouvel allié contre le syndrome métabolique : le raisin

Le syndrome métabolique, une nouvelle appellation issue du monde médical, pourrait être partiellement contré par des aliments à forte teneur en polyphénols, selon Medical News Today.

Ce serait particulièrement vrai dans le cas du raisin, qui en contient abondamment et qui vient de voir certaines de ses propriétés thérapeutiques confirmées dans une nouvelle étude sur le sujet.

On parle entre autres de la capacité du raisin à protéger certains organes des dommages potentiellement causés par le syndrome métabolique, en plus de sa teneur en antioxydants, puissants alliés de la bonne santé.

Les raisins rouges, verts et noirs ont tous un impact favorable sur l’organisme et contribuent à améliorer les conditions relatives au syndrome métabolique, qui se veut un regroupement de plusieurs symptômes et troubles de la santé modernes.

Du lot, la haute pression, des taux élevés de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang, le surpoids. Un ensemble de facteurs hautement risqués pour la vie des patients qui en souffrent, mais qui peuvent heureusement être contrés ou améliorés.

La consommation de fruits et de légumes peut constituer une partie de la solution, et cette étude confirme l’impact du raisin comme puissant allié contre le syndrome métabolique. On suggère donc de l’intégrer massivement dans votre régime alimentaire.

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L’huile de canola et ses multiples vertus

Des chercheurs canadiens et américains se sont concertés afin d’analyser les bienfaits de l’huile de canola, au détriment d’autres corps gras. Comme on le pensait, on rapporte d’abord que l’utilisation de cette huile permettrait une perte de poids plus rapide et plus efficace.

Mais il y a plus, rapporte Science Daily, puisque les chercheurs nord-américains croient également que l’huile de canola permettrait de réduire les risques de développer un syndrome métabolique.

Ce dernier peut prendre la forme de plusieurs troubles et symptômes et se définit comme « une série de problèmes de santé ayant en commun un mauvais métabolisme corporel ».

Plusieurs spécialistes sont encore réticents à accepter le syndrome métabolique comme une maladie unique reconnue, mais tous semblent s’entendre pour dire que les huiles végétales, comme celle de canola, permettent bel et bien de réduire les risques de développer plusieurs problèmes de santé liés à ce fameux syndrome métabolique.

« Les gras retrouvés dans ces huiles végétales permettent de réduire le gras abdominal, ce qui permet aussi de réduire les risques associés aux facteurs et symptômes du syndrome métabolique », résume Penny Kris-Etherton, professeure à la Penn State University.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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L’obésité nuit à la santé mentale à long terme

C’est l’Inserm, en collaboration avec l’University College London et les National Institutes for Health (NIH), qui ont réussi à établir des résultats concluants à la suite de cette recherche.

Ainsi, l’obésité, combinée à la présence d’un facteur de risque métabolique, aurait un impact direct sur la dégénérescence du cerveau. Les tests ont été effectués sur un groupe de 6401 fonctionnaires britanniques, dont la majorité était composée d’hommes de 39 à 63 ans.

Les facteurs étudiés étaient notamment ceux de la mémoire, du raisonnement verbal et mathématique et de la fluidité verbale. Les résultats ont été publiés dans la revue Neurology du 21 août.

Il a été démontré que l’obésité, en tant que facteur unique, ne contribue pas nécessairement à un déclin accéléré de la réponse cognitive. Sur une période d’étude s’échelonnant sur 10 ans, seuls les participants obèses et comportant déjà des facteurs de risque métabolique ont vu leurs fonctions cérébrales chuter plus rapidement.

En résumé, la mémoire, le raisonnement et la logique sont affectés surtout en présence de niveaux élevés de triglycérides, d’hypertension artérielle, de glycémie irrégulière ou élevée et d’une carence en bon cholestérol. Le fait est que ces facteurs sont souvent le lot des gens en surpoids.

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En santé, pas seulement durant la grossesse!

Selon une étude américaine parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, il ne faudrait pas se soucier de sa santé et de son alimentation uniquement pendant une grossesse. Il semble que la santé de la femme ait un impact jusqu’à sept ans avant qu’elle soit enceinte.

En effet, le risque de diabète de grossesse serait déjà dessiné par le profil cardiaque et métabolique de la mère, et ce, avant même qu’elle tombe enceinte.
 
Ce risque serait multiplié par 5 lorsqu’une femme a un indice de masse corporelle (IMC) plus grand ou égal à 25 et qu’elle a un taux de glucose entre 100 et 140 mg/dl.
 
On pourrait donc prédire le diabète de grossesse en mesurant le taux de glucose, l’IMC et l’hypertension d’une femme.

Les chercheurs ajoutent que le facteur le plus déterminant de cette forme de diabète demeure l’obésité, qui survient dans 44 % des cas. Sinon, il semble que l’hypertension augmente les risques de 50 %.