Catégories
Uncategorized

Comment combattre un métabolisme lent

Le métabolisme lent est un problème fréquent, mais souvent peu diagnostiqué chez les gens qui en souffrent. Les personnes concernées par ce trouble de santé ont souvent été atteintes d’hyperthyroïdie, ont un mode de vie sédentaire, ou encore elles se sont pliées à un régime radical.

Il n’est pas facile de perdre du poids lorsque le métabolisme lent frappe à sa porte. Mais ce n’est pas mission impossible, selon le site Améliore Ta Santé.

En premier lieu, il y a l’eau qui est un excellent coupe-faim. Quelqu’un qui boit suffisamment d’eau est en mesure de mieux discerner la faim de la soif et d’évacuer les toxines et le sodium de son système.

Avec ses vertus anti-cancérigènes, la plante du thé vert est bonne pour le cœur et la perte de poids.

Favorisez un bol de soupe aux légumes en entrée plutôt qu’un repas entièrement solide. Cette démarche vous permettra de manger moins et brûler des calories plus rapidement.

Finalement, manger l’équivalent de trois petites pommes ou poires durant la journée vous aidera à perdre plus de poids lors d’un régime faible en calories et vous combattrez par le fait même votre envie de sucre.

Catégories
Uncategorized

Quand votre bouche vous indique que vous êtes malade

Les bactéries buccales agissent différemment lorsque vous êtes en bonne santé et lorsque vous êtes malade. C’est ce qu’ont découvert des scientifiques dont les résultats sont parus dans la revue mbio.

Elles indiqueraient entre autres si vous souffrez de parodontite, mais aussi de diabète ou de la maladie de Crohn.

« Un type de bactéries qui se nourrissaient d’une chose peut changer totalement “d’alimentation” lorsqu’elles sont malades » est-il expliqué sur le site Science World Report.

Dans un communiqué, Marvin Whiteley, l’un des chercheurs de l’étude, explique qu’ils ont analysé avec des supercalculateurs la composition génétique (ADN) des diverses espèces de bactéries aussi connues sous le nom de microbiome humain.

Face à ces constats, les scientifiques ont déterminé qu’il serait possible de développer des biomarqueurs afin de déterminer si une personne est sur le point de développer une maladie. Ainsi, certaines maladies pourraient être détectées et traitées de façon plus préventive.

Il y aurait environ 10 000 espèces différentes de bactéries qui vivent à l’intérieur de chaque personne.

Catégories
Uncategorized

Des légumes capables de modifier le métabolisme des oestrogènes

Les œstrogènes sont aussi présents chez l’homme; il ne faut pas les attribuer uniquement aux femmes. Leur bonne production est donc à considérer chez les deux sexes.

Les choux, choux-fleurs et brocolis, que l’on qualifie de crucifères, contiennent des phytonutriments s’attaquant directement aux cancers hormono-dépendants, rapporte nutranews.org, particulièrement le cancer du sein.

On rapporte que la consommation de ces phytonutriments augmente la 2-déhydroxylation des œstrogènes et conséquemment, cela contribue à une meilleure production d’œstrogènes non carcinogènes comme le 2-hydroxyestrone.

Ces derniers sont en fait des antioxydants tellement puissants qu’ils peuvent détruire des cellules cancéreuses. Lorsque l’on est en carence de ces phytonutriments, au contraire, ce sont les mauvais œstrogènes (comme le « mauvais cholestérol ») qui se propagent et contribuent à la formation de cancers.

Même si l’on consomme des légumes crucifères, d’autres facteurs peuvent diminuer le 2-hydroxyestrone, comme une alimentation riche en gras ou une carence d’oméga-3.

Catégories
Uncategorized

Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.

Catégories
Uncategorized

Six aliments qui stimuleront votre métabolisme

On connaît souvent mieux les aliments à éviter pour ne pas prendre de poids que ceux qu’il faut privilégier pour en perdre. Voici quelques super-aliments qui vous aideront dans votre croisade contre les kilos.

1. Amandes et noix – Parfaits pour les petits creux, ces aliments coupe-faim sont essentiels à la fabrication des muscles. Laissez de côté les variétés salées, qui favorisent le ballonnement.

2. Épinards et légumes à feuilles vertes – Très pauvres en calories, ces super-légumes aident à prévenir le cancer, l’obésité, les maladies cardiaques et même l’ostéoporose. Ils sont riches en antioxydants et en vitamines A, K, B et C.

3. Produits laitiers – Lait écrémé, yogourts et fromages peuvent vous aider à combattre les envies de sucre, à stimuler le métabolisme et à défendre le corps contre le cancer et les hausses de tension artérielle.

4. Huile d’olive – Croyez-le ou non, l’huile peut contribuer à la perte de poids. L’huile d’olive contient des graisses non saturées. Utilisée avec parcimonie, elle vous aidera à vous sentir rassasié tout au long de la journée.

5. Chocolat noir – Oubliez le chocolat au lait et privilégiez le chocolat noir. Des recherches publiées dans la revue American Journal of Clinical Nutrition ont montré que les sujets qui mangeaient du chocolat noir affichaient une plus grande sensibilité à l’insuline et une diminution de l’insulino-résistance que ceux qui mangeaient des quantités équivalentes de chocolat blanc.

6. Thé vert – Cette boisson riche en antioxydants peut contribuer à la perte de poids. Une étude publiée dans la revue Journal of Nutrition a révélé que la catéchine du thé vert pouvaient stimuler le métabolisme.

Catégories
Uncategorized

Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.

Catégories
Uncategorized

La flore intestinale jouerait un rôle dans le développement du diabète

Chez certaines personnes, une alimentation riche en graisse pourrait causer des troubles du métabolisme.
 
Ceci en raison des bactéries que l’on retrouve dans la flore intestinale, rapporte la revue Gut. Le nombre et le type de bactéries pourraient favoriser l’apparition de troubles comme le diabète.
 
Les recherches menées sur des souris montrent que certaines ayant une alimentation riche en graisses sont devenues diabétiques et d’autres non. On a alors remarqué que le nombre et le type de bactéries de leur flore intestinale n’étaient pas les mêmes.
 
Les chercheurs ont pu modifier la flore en ajoutant des fibres alimentaires et des gluco-oligosaccharides à l’alimentation. Le métabolisme des souris diabétiques est donc devenu très similaire à celles qui n’avaient pas développé la maladie.
 
On croit donc qu’avec certains additifs nutritionnels qui visent la flore intestinale en agissant sur les bactéries, on pourrait freiner le développement de troubles du métabolisme et éviter plusieurs cas de diabète notamment.

Catégories
Uncategorized

Les oméga-3 pour un meilleur contrôle du poids

La revue Nature dévoile une étude canadienne, effectuée par une équipe de la Queen’s University en Ontario, qui révèle que les oméga-3 ne sont pas seulement bons pour le cerveau et la santé cardiovasculaire.
 
Les chercheurs ont découvert que les acides gras insaturés jouent un rôle important dans la régulation du métabolisme et du poids corporel.
 
Le gène GPR120 produit un récepteur cellulaire des acides gras insaturés. Selon les expertises, une mutation de ce gène augmenterait les risques d’obésité de 60 % ainsi que d’autres anomalies métaboliques.
 
En activant le récepteur par des médicaments, il serait possible de créer une réaction métabolique, et ce, même sans avoir une alimentation riche en oméga-3, que l’on retrouve notamment dans les poissons gras comme le saumon.
 
Cette découverte permet une meilleure compréhension des actions des gras insaturés dans le maintien de l’équilibre métabolique, ce qui pourrait mener à d’éventuels traitements pour lutter contre les maladies liées à l’obésité.
 
Catégories
Uncategorized

Du gâteau au petit déjeuner pour perdre du poids?

Selon des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, prendre un petit déjeuner complet accompagné d’une petite douceur, comme un morceau de gâteau, pourrait aider à perdre du poids.
 
La clé serait en fait de se permettre cette sucrerie en matinée, alors que notre métabolisme est le plus actif, permettant d’éliminer les calories supplémentaires durant toute la journée.
 
Tenter de résister totalement aux aliments sucrés peut créer une dépendance psychologique à ces mêmes aliments. Les chercheurs ont noté qu’un dessert en début de matinée permettait de calmer les envies pour le reste de la journée.
 
Pour la recherche effectuée avec 193 personnes obèses, on observe qu’après 32 semaines, celles qui ont ajouté un biscuit ou du gâteau à leur petit déjeuner ont perdu en moyenne 40 livres de plus que le groupe qui a évité ce type d’aliments sucrés.
 
Catégories
Uncategorized

Plus de « bon gras » chez les enfants minces

On lit dans le Journal of Pediatrics des résultats scientifiques quant à l’impact des quantités de bon gras et de mauvais gras chez l’enfant. Rappelons que ce que l’on appelle « bon gras » en est un qui brûle plus facilement de l’énergie plutôt que d’en accumuler.

À la suite d’analyse de données, on comprend qu’une approche concernant la quantité de mauvais gras pourrait mieux contrer les taux croissants d’obésité et de diabète infantiles. Les enfants minces présentent une quantité plus importante de bon gras dans leur organisme.

On a pu faire cette constatation après avoir effectué des tests par imagerie auprès de 172 enfants âgés de 5 ans et plus. De plus, il semble que l’augmentation du bon gras lors du passage de l’enfance à l’adolescence, ainsi que sa corrélation inversée avec l’obésité, suggère qu’il joue un rôle majeur dans le métabolisme infantile.

Ainsi, en trouvant de nouveaux moyens pour augmenter la quantité de bon gras chez les enfants, on arriverait à combattre d’une toute nouvelle façon le diabète et l’obésité. Qui plus est, ces moyens se révéleraient plus sécuritaires pour leur santé.

On souligne finalement que bien des questions demeurent sans réponse quant à ce phénomène. Entre autres, on ne saurait dire encore si un enfant est plus mince parce qu’il présente un taux plus élevé de bon gras, ou s’il a un tel taux en raison de sa minceur.