Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.
Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.
Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.
Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.
Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.
En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.
Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.
Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.
Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.
Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.
Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.
En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.
Les amateurs de métal peuvent dès maintenant encercler les dates du 24 et 25 juillet 2010 s’ils ont envie de recevoir un nombre incalculable de décibels dans leurs oreilles. En effet, Montréal sera l’hôte du Festival Mayhem avec en tête d’affiche Megadeth et Slayer.
L’évènement qui tourne en Amérique du Nord s’installera sous le nom de Heavy MTL 2010 au parc Jean-Drapeau de l’île Sainte-Hélène. Outre les deux têtes d’affiche annoncées, les spectateurs auront la possibilité d’entendre et de voir Korn, Rob Zombie, Alice Cooper, Lamb of God, Mastodon, Five Finger Death Punch, Testament, Fear Factory, Hatebreed, 3 Inches of Blood, Anvil, Winds of Plague, Chimaira, Kataklysm, Atreyu, In This Moment et Norma Jean.
Les billets pour ce festival unique seront mis en vente le samedi 6 mars à midi et les prix varieront de 67,50 $ à 179,50 $.
Avis de Santé Canada
Dans un communiqué publié hier (8 mai), Santé Canada tient à rappeler aux consommateurs que certains produits ayurvédiques non homologués peuvent contenir des traces de métaux lourds.
Consommés de façon excessive, ceux-ci peuvent entraîner des complications au niveau des organes, particulièrement chez les jeunes enfants. D’autres symptômes peuvent être observés, comme des douleurs abdominales, de l’anémie, une fluctuation de la tension artérielle, des problèmes de concentration, de l’insomnie et des étourdissements.
En mars 2008, le British Columbia Medical Journal publiait un article qui faisait part d’un cas d’intoxication grave chez un adulte qui avait pris un comprimé par jour du produit ayurvédique non homologué Puspadhanva Rasa pendant plusieurs années afin d’augmenter sa vigueur. Après analyse, les chercheurs avaient trouvé des concentrations extrêmement élevées de plomb, de mercure et d’arsenic dans le Puspadhanva Rasa.
Souvent importés de l’Inde, les produits ayurvédiques sont utilisés en médecine traditionnelle indienne. Ceux qui arborent un code d’identification du médicament (DIN) de huit chiffres, un code de produit naturel (NPN) ou un code de remède homéopathique (DIN-HM) ont été vérifiés par Santé Canada.