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Deux nouvelles armes contre le mélanome métastatique approuvées au Canada

On apprend, par l’entremise d’un communiqué de presse, que deux nouveaux traitements oraux ont été approuvés sur le territoire canadien, donnant ainsi encore un peu plus d’espoir aux personnes atteintes de ce cancer et à leur famille.

Il s’agit du Tafinlar et du Mekinist, deux médicaments qui viendraient en aide aux patients souffrant d’un mélanome dit « inopérable » ou encore « métastatique ».

Ils s’attaquent aux variantes de ce cancer que l’on appelle « mutation V600 », et les patients qui reçoivent un tel diagnostic après un test validé pourront maintenant compter sur ces nouvelles options.

« Le mélanome métastatique est un diagnostic dévastateur pour les patients canadiens et leur famille. Par conséquent, l’approbation de TafinlarMC et de MekinistMC est une bonne nouvelle pour ces patients et offre deux nouvelles options aux médecins et aux patients dans la lutte contre cette forme grave et mortelle de cancer de la peau », explique le Dr Glenn Crater de chez GlaxoSmithKline.

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Les statines à la rescousse des métastases

Bien qu’il existe différents traitements contre le cancer, peu d’entre eux parviennent à neutraliser les métastases.
 
Une étude parue dans les Proceedings of the National Academy of Sciences démontre que les statines pourraient jouer ce rôle.
 
Ces médicaments couramment prescrits contre le mauvais cholestérol freineraient les cellules métastatiques du cancer.
 
Un nouveau précédé 3D créé par des experts pour la culture cellulaire permet de savoir quelle substance agit sur la croissance des vaisseaux lymphatiques.
 
Les chercheurs ont analysé différentes molécules, dont les statines, pour découvrir qu’elles pouvaient empêcher la croissance des vaisseaux en cause, freinant du même coup les métastases.
 
Les premiers résultats obtenus sur des souris sont forts prometteurs, mais des études plus approfondies et des essais cliniques doivent être effectués avant de recommander la méthode sur des humains.
 
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Le stress favorise l’évolution des métastases du cancer

Une étude américaine affirme que le stress favorise le développement de métastases chez les personnes atteintes de cancer.
 
Pour la recherche, on a soumis des souris, auxquelles on avait donné un cancer du sein, à un stress quotidien en les enfermant dans des espaces restreints plusieurs heures par jour. On a ensuite surveillé l’évolution du cancer.
Selon ce que rapporte le Cancer Research, les souris qui étaient stressées ont vu leurs métastases connaître une croissance fulgurante, 30 fois plus rapide que chez le groupe témoin.
 
Les chercheurs croient que le stress affecte le système nerveux, qui transmet alors un signal au système immunitaire d’envoyer plus de macrophages pour lutter contre la maladie. Seulement, ce surplus provoque la reprogrammation de la tumeur, qui se sert alors de ces macrophages pour infiltrer d’autres tissus.
 
Cette découverte rappelle donc qu’il est important de développer de nouvelles approches dans les traitements contre le cancer, en tenant compte de l’état de santé général du patient.
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La propagation du cancer de la peau mieux comprise

La propagation du mélanome malin est maintenant mieux comprise, grâce à des chercheurs de l’Institut Curie.

Selon le Journal of the National Cancer Institute, les scientifiques ont observé un mécanisme moléculaire qui serait impliqué dans le développement et la dispersion des métastases du mélanome. Cette découverte pourrait mener à un suivi plus rigoureux de l’évolution de la maladie et à la création de traitements mieux ciblés.

C’est la protéine GLI2 qui favoriserait la propagation du cancer. On a déjà noté que cette protéine est très présente dans les tumeurs les plus agressives et les métastases.

Le mélanome cutané représente 4 % des cancers de la peau, et est responsable de 80 % des décès de cancers cutanés. Les rayons du soleil sont les principaux responsables du développement des cancers de la peau.

Des études plus approfondies seront faites sur le sujet.

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Une substance contre les cellules cancéreuses

Une recherche dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Cell nous apprend la découverte de la salinomycine, une substance médicamenteuse qui s’attaque aux cellules cancéreuses et empêche ainsi la propagation de la tumeur.

Les travaux ont été menés par le Dr Robert Weinberg, membre du Whitehead Institute for Biomedical Research, et son équipe sur des souris atteintes de tumeurs cancéreuses malignes et résistantes aux traitements habituels.

Les scientifiques ont découvert que la salinomycine peut réduire la quantité de cellules-souches cancéreuses 100 fois plus que le paclitaxel, une molécule fréquemment utilisée pour traiter les cancers.

Ces derniers ignorent toutefois le mécanisme pour expliquer l’efficacité de la substance et recommandent d’autres études pour vérifier si elle le sera tout autant chez les humains.

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Moins de cancer chez celles qui ont des migraines

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, prétend que les femmes qui ont souvent eu des migraines ont 26 % moins de chances d’être touchées par le cancer du sein que les autres femmes sans céphalée.

L’équipe du Dr Christopher Li, du Centre de recherche contre le cancer Fred Hutchinson à Seattle, a comparé les dossiers médicaux de 4 568 femmes ayant eu un diagnostic de la maladie et de 4 678 autres en bonne santé.

L’incidence de cancer est demeurée la même lorsque les chercheurs ont tenu compte des facteurs comme la ménopause, l’âge des premières migraines, l’usage de médicaments ou le tabagisme.

« Cela semble évident que les migraines, tout comme le cancer du sein, semblent être des maladies liées aux hormones. Plusieurs facteurs qui provoquent des céphalées ont aussi un effet sur le taux d’oestrogène qui est réduit », a observé le Dr Li.

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Les effets de la caféine sur les hormones

Une étude menée auprès de plus de 1 200 femmes et publiée dans la revue Cancer nous apprend que la caféine fait varier les niveaux d’oestrogène et d’autres hormones chez la femme. Cela laisse croire à l’équipe de la Dre Joanne Kotsopoulos, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, que ce phénomène pourrait expliquer certains cancers.

Les scientifiques ont entre autres découvert que plus les participantes en préménopause buvaient du café, plus le taux d’estradiol, une forme d’oestrogène, chutait après leur ovulation.

Selon les chercheurs, un faible niveau d’oestrogène pourrait protéger les femmes contre le cancer des ovaires, mais bien d’autres études en ce domaine doivent être menées afin que la communauté scientifique s’entende sur le sujet.

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Le secret derrière les cellules cancéreuses

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans la revue médicale Cancer Cell, laisse entrevoir une lueur d’espoir aux patientes ayant eu un cancer du sein et qui sont suivies pour la récidive de la maladie.

Les travaux menés par le Dr Joan Massagué, du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center aux États-Unis, lui ont permis de découvrir un enzyme, nommé Src, associé aux cellules métastatiques qui ont un meilleur taux de survie, même après avoir retiré la tumeur du sein.

Cette découverte de l’enzyme Src suggère une meilleure compréhension de la propagation du cancer du sein et les chercheurs liés à cette étude espèrent maintenant se concentrer sur un médicament qui agirait sur l’enzyme.

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Un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate

Une recherche, qui sera publiée dans Cell Cycle, nous apprend la découverte d’un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate, à un stade avancé.

Le Dr Michael Lisanti et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université Thomas Jefferson à Philadelphie, ont analysé des échantillons prélevés chez des patients souffrant d’un cancer de la prostate.

Ils ont découvert la baisse marquée d’une protéine appelée caveolin-1 chez les sujets. Lorsque le taux de cette protéine est bas, les résultats du test Gleason, qui sert à diagnostiquer le cancer de la prostate, sont élevés.

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Les risques associés au mélanome

Le risque d’être frappé par un autre type de cancer est doublé lorsque les patients ont déjà souffert de mélanome, la forme la plus virulente du cancer de la peau, nous apprend une étude publiée dans le British Journal of Cancer.

Afin d’identifier le risque d’être touché par une autre forme de cancer, les scientifiques de l’Université Queen de Belfast ont analysé 21 000 sujets ayant été traités pour des cancers non mélaniques de la peau et 1 800 ayant reçu un diagnostic de mélanome malin.

Dans le premier groupe de participants, ce risque était 57 % plus élevé que dans le reste de la population, alors qu’il doublait chez les patients traités pour un mélanome.