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Michael Egan retire sa poursuite contre Bryan Singer

Le réalisateur de la franchise X-Men, Bryan Singer, a été accusé en avril dernier d’agression sexuelle sur un mineur, dans le cadre de soirées mondaines où des orgies avaient lieu.

Or, Michael Egan, celui qui poursuivait Singer, a demandé à la cour de retirer sa plainte sans préjudice, ce qui lui a été accordé hier (6 août), rapporte Variety.

C’est le juge Barry M. Kurren qui a accepté la requête. L’audience pour entendre la cause de ce retrait sera entendue le 9 septembre prochain. 

Si le verdict est en faveur du plaignant, la mention « sans préjudice » signifiera que Bryan Singer sera susceptible d’être à nouveau poursuivi si d’autres personnes se manifestent pour les mêmes raisons.

C’est le réalisateur qui avait précédemment demandé à ce que cette poursuite contre lui soit rejetée, niant formellement les accusations.

L’avocat d’Egan s’est retiré de l’affaire le 29 juillet dernier, indiquant que leur « relation » s’était détériorée. On ignore si l’homme sera représenté par un autre avocat.

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Les preuves s’accumulent contre Bryan Singer

Désormais, Garth Ancier, Gary Goddard et David Neuman sont dans le même panier que Bryan Singer, rapporte Radar Online.

Ceux-ci partagent tous le même secret : ils sont des investisseurs dans la compagnie de Marc Collins-Rector, Digital Entertainment Network. Lors d’une poursuite judiciaire, DEN et son fondateur ont été accusés de gérer un vrai « bordel de mâles ».

Quant à Collins-Rector, il est lui-même reconnu par les autorités comme un délinquant sexuel. Il a été accusé comme tel en 2004. Il transportait des mineurs avec l’intention d’avoir des rapports sexuels, et les accusations d’agression sexuelle étaient nombreuses.

En 2000, un groupe d’employés de DEN, incluant Egan, Alex Burton et Mark Ryan, ont intenté une première poursuite contre Collins-Rector et ses investisseurs.

L’avocat des victimes, Daniel Cheren, est convaincu que Singer, Ancier, Goddard et Neuman, qui ont investi dans ces soirées délurées, savaient très bien ce qui s’y passait et n’ont rien dit.

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Un autre témoin dans l’affaire Bryan Singer

Radar Online rapporte qu’un témoin des fêtes délurées d’Hollywood, notamment celles mentionnées par la présumée victime d’agression sexuelle par le cinéaste Bryan Singer, Michael Egan, avait porté plainte en 2004. Cependant, lorsqu’il a mentionné le réalisateur de X-Men, les autorités ne l’ont pas pris au sérieux.

L’homme qui a porté plainte n’a pas été la cible d’agression, mais a été témoin d’activités criminelles. Selon ce qu’une source a rapporté, « cet homme est allé vers les policiers, et ceux-ci lui ont dit de dégager. L’homme affirme avoir mentionné le nom de Bryan Singer, mais les autorités ont fait la sourde oreille ».

C’est l’avocat de Michael Egan, Jeff Herman, qui a été contacté par le témoin.

Bryan Singer continue de démentir les allégations, alors qu’Egan se fait très précis quant aux activités sexuelles qui comprenaient des « relations orales et anales » avec tous les adolescents présents.

Selon Radar Online, de gros noms d’Hollywood seront bientôt révélés dans le cadre de ces partouzes illicites.

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Bryan Singer dément l’accusation d’agression sexuelle

À l’époque de la prétendue agression qui, selon la victime, se serait reproduite à plusieurs reprises, le réalisateur de la filiale X-Men, Bryan Singer, avait 33 ans.

Évidemment, l’avocat du cinéaste, Marty Singer, a déclaré hier (17 avril) que les allégations étaient « absurdes et diffamatoires ».

On accuse Singer d’avoir piégé et attiré Michael F. Egan, désormais âgés de 31 ans, dans des partouzes organisées à la fin des années 1990. Egan affirme qu’il lui promettait un rôle dans X-Men, puis qu’on lui fournissait de l’alcool et de la cocaïne pour abuser de lui.

« La règle, c’était pas de maillot de bain autour de la piscine », a déclaré Egan. « Tu étais comme une pièce de viande, et ils te passaient de l’un à l’autre. »

Les agressions auraient commencé lorsque la victime avait 15 ans et se seraient poursuivies jusqu’à ses 17 ans.

On sait désormais qu’Egan demande 75 000 $ en dommages et intérêts pour « des blessures émotionnelles et psychologiques catastrophiques », un montant dérisoire.

L’avocat de Singer considère qu’il s’agit d’une « tentative évidente pour avoir l’attention des médias ».

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Le réalisateur de X-Men Bryan Singer accusé d’agression sexuelle

L’agression serait survenue lors de partouzes organisées par le réalisateur Bryan Singer. L’incident remonte à 1999, et la victime, Michael Egan, avait 17 ans à l’époque. Aujourd’hui âgé de 30 ans, il refuse de garder le silence plus longtemps.

Selon Variety, le jeune homme se serait fait offrir de la cocaïne et de l’alcool. Singer, 48 ans, l’aurait amené avec lui par avion à Hawaii à plusieurs reprises. Le réalisateur y organisait des « soirées sordides » où le sexe prédominait.

La victime se serait même fait promettre un rôle dans la filiale X-Men, et Singer aurait utilisé sa position enviable à Hollywood pour convaincre le jeune homme de se prêter à des rapports sexuels.

Ces accusations portent également sur l’ancien président de Digital Entertainment Network, Marc Collins-Rector.

Évidemment, l’avocat de Bryan Singer, Marty Singer, a déclaré que les propos sont « absurdes et diffamatoires ». Selon lui, le réalisateur sera rapidement lavé de tout soupçon.

Par contre, Collins-Rector est un délinquant sexuel reconnu. En 2004, il a plaidé coupable à divers méfaits. Entre autres, il attirait des mineurs à l’extérieur des frontières pour avoir des rapports sexuels avec eux.