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Michel Bergeron : l’Europe pourrait être une avenue pour Jonathan Drouin

Jonathan Drouin ne demeurera probablement pas avec les Canadiens pour la saison prochaine. Son contrat vient à échéance à la fin de la présente saison et tout indique qu’il ne sera pas de retour, à moins de signer un tout petit contrat d’une année ou deux. Michel Bergeron a même expliqué que Drouin ne jouerait peut-être même plus dans la LNH dans les prochaines années.

Selon le Tigre, Jonathan Drouin pourrait aller jouer quelques saisons en Europe et ce, dès l’année prochaine. Une chose est certaine, s’il va jouer en Europe, il va être très dominant. À 27 ans, choisir l’Europe serait toutefois très étrange, puisqu’il a encore du jus pour jouer au plus haut niveau, mais pas nécessairement sur un top-6.

L’article complet de Michel Bergeron ici.

En fait, Michel Bergeron croit surtout que Drouin ne sera pas de retour à Montréal la saison prochaine. Le problème de Drouin, en ce moment, c’est qu’il gagne un trop gros salaire pour ce qu’il apporte. Mais avec une récolte de 27 points en 48 matchs, il peut encore très bien jouer dans la LNH sans problème.

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Selon moi, un joueur comme lui avec un contrat dans les alentours de 1,5 M$ par année à court terme peut devenir une aubaine. Il ne reviendra toutefois pas à Montréal, surtout en raison de sa relation avec les membres de l’organisation du CH.

Comme l’explique Bergeron dans son texte, il n’a jamais cloué un joueur au banc pendant toute sa carrière d’entraîneur, même pour des joueurs qui arrivaient souvent en retard aux entraînements et aux rencontres d’équipe. Il dit avoir puni certains joueurs pour des gestes comme ça, mais jamais aussi fort que ce que Martin St-Louis a fait.

Le Tigre raconte que Peter Stastny était toujours à la dernière minute. Une journée, alors que le bus de l’équipe devait quitter à 11h, Stastny n’était pas sorti de l’hôtel avant 11h01 et l’entraîneur a ordonné au chauffeur de partir sans lui. La conséquence de Stastny était de se trouver une manière d’aller à l’aréna sans bus. C’est dur, mais pas aussi humiliant que ce qui est arrivé à Drouin.

Bergy n’est toutefois pas le seul à penser que Drouin ira jouer ailleurs l’an prochain. Plusieurs recruteurs le voient signer ailleurs dans la LNH, mais aucun d’entre eux ne pense à l’Europe. Le Journal de Montréal a questionné trois recruteurs par rapport à la situation. Deux d’entre eux croient qu’il quittera le CH et un seul croit qu’il pourrait revenir avec le Canadien, mais que l’idée de quitter est aussi envisageable.

Ces recruteurs (qui ont tenu à garder l’anonymat) expliquent tous qu’il est presque impossible de voir Drouin signer un contrat à long terme, peu importe sa destination. Un des trois pense même qu’il ne pourrait qu’avoir droit à un simple essai professionnel.

Personne n’a la réponse exacte de l’avenir de Jonathan Drouin dans le monde du hockey, mais mon petit doigt me dit qu’il ne sera pas de retour avec le CH l’an prochain.

En rafale

– Jon Cooper s’approche d’un plateau important chez les entraîneurs de la LNH.

– De bonnes nouvelles du côté de Michael McCarron.

– Début de parcours pour FAA à Miami.

– Le parcours intéressant de l’entraîneur adjoint pour les unités spéciales des Alouettes, Dave Jackson.

– Il a joué deux semaines après avoir été paralysé temporairement. Complètement fou.

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Les Sénateurs déjà éliminés selon Michel Bergeron

Plusieurs amateurs et analystes pensaient, avant le début de la saison, que les Sénateurs d’Ottawa allaient être meilleurs que dans les dernières années en raison de leurs acquisitions et du développement des jeunes. Malheureusement pour eux, ça n’a pas été le cas depuis le début de la saison.

Ils se retrouvent au 29ème rang de la LNH, tout juste devant les Ducks d’Anaheim, les Blue Jackets de Columbus et les Blues de St. Louis, avec une mince récolte de 13 points en 16 matchs. Après d’aussi mauvaises prestations, Michel Bergeron a affirmé sur les ondes de TVA Sports, pendant la rencontre de mercredi soir des Sénateurs, que, selon lui, la saison était déjà terminée pour le club ontarien.

«Lorsque j’ai fait mes prédictions en début de saison, je voyais les Sénateurs en séries éliminatoires. Au moment où l’on se parle, c’est terminé! Il y a trop de rattrapage à faire. […] J’élimine les Sénateurs!» – Michel Bergeron lors de sa chronique Sans filet sur les ondes de TVA Sports

C’est peut-être un peu dur à l’endroit des Sénateurs, mais ce n’est pas irréaliste. La formation ontarienne se retrouve à un point de son plus proche concurrent dans la division Atlantique, mais à 6 points d’une place en série. Ça peut sembler peu à rattraper, mais, à leur rythme, les Sens auront besoin d’un miracle pour remettre la machine en marche.

Marquer des buts n’est pas l’aspect à corriger. Ottawa peut compter sur trois marqueur d’au moins un point par match en Brady Tkachuk, Claude Giroux et Tim Stützle. Le problème est en arrière. La défense est poreuse et compte très peu de joueurs d’expérience.

Devant le filet, c’est encore pire. Cam Talbot n’a qu’une seule victoire lors de ses quatre départs cette saison et le remplaçant, Anton Forsberg, n’est pas de calibre à remplacer aussi souvent qu’il l’a fait (11 matchs depuis le début de la saison).

Je ne crois pas qu’il faut déjà placer les Sénateurs en dehors du portrait des séries, mais la glace est mince pour eux. Il faudra jouer de l’excellent hockey et combler les lacunes en défense et devant le filet pour rattraper le retard.

En rafale

– Matheson devrait rapidement revenir au jeu avec Montréal.

– Ça va prendre beaucoup de travail, mais c’est possible.

– Victoire du Rocket.

– Le Québécois domine toujours dans la NBA.

– Les Lions font mal paraitre le gardien des Admirals.

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Michel Bergeron: «Martin St-Louis gère présentement le Canadien de Montréal comme si c’était une école de hockey»

Une proposition farfelue...

Michel Bergeron est reconnu pour ne pas tourner autour du pot. Quand il pense quelque chose, il ne se cache pas pour le dire à voix haute. Cette fois, il s’en est pris à l’entraineur-chef du CH, Martin St-Louis. Il le trouve trop heureux de diriger une équipe au fond du classement.

Après trois défaites en match préparatoires et une dernière place au classement l’an dernier, il n’y a aucune raison de sourire selon Bergy.

Il faut quand même se le dire, si Martin St-Louis avait l’air bête en entrevue, ce serait plate et les gens auraient encore moins le goût d’écouter le hockey à Montréal. Avoir une attitude positive aide l’équipe à avancer. Oui, dans le temps de Bergeron, c’était différent, mais les temps ont changés et le hockey évolue. Taper sur la tête d’un joueur ne l’aidera pas à avoir confiance pour se reprendre en main. Certes, il faut être strict, mais pensez y bien ; seriez vous plus à l’aise de travailler avec un leader positif, qu’avec un leader frustré et dur? La question se répond d’elle-même.

Michel Bergeron croit toutefois que St-Louis pourrait présenter deux visages différents aux médias et aux joueurs. Que d’un côté, il est strict et demandant et de l’autre, il est doux comme un agneau et habile avec les mots.

St-Louis a toujours été un joueur très agressif et persévérant. C’est clair que tout ça se traduit jusqu’à son poste d’entraineur. Par contre, ce que Michel Bergeron ne semble pas comprendre est qu’on peut être strict et garder le sourire. Un dictateur ça mène nul part.

Le Tigre ne lâche pas le morceau : le Canadien ne peut pas se permettre d’être une équipe de fond de classement comme les Sabres et les Coyotes. Il explique que le Canadien est une organisation trop prestigieuse pour rester dans le fond trop longtemps.

La réponse à ça est : ça fait maintenant partie du jeu. Dans la LNH d’aujourd’hui, il faut accepter de tomber dans le fond de la cave quelques temps pour revenir au sommet. Il faut bien repêcher, c’est sûr, mais il faut se donner du temps. Le meilleur exemple est l’Avalanche du Colorado. Ils ont du fun  en ce moment, mais ils ont dû passer au travers d’une reconstruction. Pour les Blackhawks, c’est le contraire. Après plusieurs années de règne, ils sont maintenant dans le fond de la cave et doivent recommencer à zéro.

St-Louis a l’air heureux en entrevue, mais c’est sûrement parce qu’il aime son emploi. Bonne nouvelle : avoir un entraineur passionné, ça doit aider les jeunes à vouloir se surpasser.

En rafale

– Il faut espérer que ce tableau change avec les années.

– Une étape importante pour deux équipes de la LHJMQ.

– Un excellent début avec le FC Porto pour le Canadien Stephen Eustaquio.

– En match préparatoire, mais c’est un bon début.

– Une nouvelle année, de nouveaux défis pour Alexis Lafrenière.

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Bergie: une série documentaire sur Michel Bergeron

VRAI

La plateforme Vrai lance en exclusivité une série documentaire sur la vie et la carrière de Michel Bergeron, intitulée Bergie. Les trois épisodes, basés sur trois périodes du match de sa vie, seront diffusés dès le 17 mai prochain.

La série, produite par Télégramme Média en collaboration avec Québecor Contenu et réalisée par Félix St-Jacques, présentera le Tigre comme les Québécois et Québécoises ne l’ont jamais vu.

« Derrière l’entraîneur exubérant, qui est l’homme qui se cache derrière le mythe façonné par le sport et les médias depuis près de cinquante ans? »

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Michel Bergeron a connu une carrière incroyable, tant derrière les bancs de hockey que devant les caméras. Les téléspectateurs et téléspectatrices pourront apprendre à le connaître davantage, au cours de rencontres avec sa femme, ses enfants, ses amis et d’anciens joueurs de hockey.

Vous y retrouverez des témoignages inédits, des entrevues, des archives vidéo des révélations et des anecdotes!

« Dans sa jeunesse dans le quartier St-Michel à Montréal, jusqu’à sa nomination comme entraîneur-chef des Rangers de New York, en passant par son affrontement avec Fidel Castro au baseball, Bergie nous apparait sous un jour nouveau. Saurons-nous pourquoi Phil Esposito l’a engagé pour ensuite le congédier moins de deux ans plus tard? Comment s’est effectuée sa nomination à la tête des Nordiques? Derrière l’entraîneur exubérant, qui est l’homme qui se cache derrière le mythe façonné par le sport et les médias depuis près de cinquante ans? », pouvait-on lire dans un communiqué.

La série Bergie est née d’une idée lors d’une discussion entre le producteur Éric Hébert et Louis Jean, un animateur à TVA. L’animateur mentionnait qu’il rêvait de raconter l’histoire de son ami et collègue et de laisser un héritage. Ainsi, ce sera lui qui mènera les entrevues avec ses invités Rodger Brulotte, Guy Carbonneau, Mario Tremblay, Alain Côté, Serge Savard, Peter Stastny, Marcel Dionne, Phil Esposito, Steven Finn, Ron Fournier, André-Philippe Gagnon, Michel Goulet, Dale Hunter, Ménick, Claude Meunier, Chris Nilan et Jean Perron. Avec la participation également des regrettés Guy Lafleur et Mike Bossy.

« À travers cette série documentaire unique et ses témoignages inédits, les téléspectateurs seront touchés par l’humain sensible et passionné qu’est Michel Bergeron. Un homme vrai. pas étonnant qu’il occupe une place importante dans le coeur des Québécois », a déclaré Denis Dubois, vice-président, contenus originaux, Québecor Contenu.

« Vrai ajoute à son catalogue déjà fort impressionnant, ce documentaire sur la vie de Michel Bergeron, mais aussi sur l’homme derrière ce grand sportif, l’un des meilleurs entraîneurs de sa génération. Un contenu rassembleur qui rejoindra les amateurs de sport et les fans de documentaires biographiques », a jouté par la suite Véronique Bussières, directrice marketing, Club illico, Vrai et plateformes de contenu.

Et vous, allez-vous visionner Bergie?

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Michel Bergeron vit des moments difficiles depuis les décès de Lafleur et Bossy

Une proposition farfelue

Michel Bergeron de TVA Sports était un bon ami de Guy Lafleur et Mike Bossy. Depuis leur décès, il ne se sent pas bien. Il s’est vidé le cœur lors d’un appel au 98,5 Sports en soirée, lundi.

Mario Langlois recevait des appels d’auditeurs lors de son émission afin d’entendre des anecdotes de gens du public et c’est à ce moment que Bergeron a décidé d’appeler.

« Depuis le décès de Mike, j’ai de la difficulté. J’ai de la difficulté à faire mes nuits. J’ai continuellement des pensées. D’abord, les deux sont plus jeunes que moi. J’ai des problèmes de santé moi-même et je me dis qu’on n’est pas à l’abri. Il faut tenir une vie correcte. » – Michel Bergeron en appel au 98,5 Sports

De tels propos sont inquiétants de la part de celui que l’on surnomme Bergy, mais il a ensuite cru bon qu’une anecdote remonterait le moral de tous.

« Une fois, ma femme me demandait d’aller faire des commissions parce qu’on avait de la visite le lendemain. Je m’en vais au supermarché. Comme tout le monde, je prends un carrosse. Tout d’un coup, j’arrive face à face avec Guy. Là, Guy part à rire et il me dit « Tu nous vois-tu, tous les deux, avec un carrosse à Montréal?! » » – Michel Bergeron en appel au 98,5 Sports

Bergeron a dirigé Lafleur pendant une saison en 1988-89 avec les Rangers. Les deux homme se sont ensuite suivis à Québec, avec les Nordiques. Le Tigres a aussi travaillé en compagnie de Mike Bossy, mais à la télévision cette fois-ci, sur les ondes de TVA Sports.

Michel Bergeron est important pour TVA Sports et possède des connaissances que tous n’ont pas quand on parle de hockey. Nous lui souhaitons de vivre de meilleurs moments dans le futur.

En rafale

– Une première pour Laffy en séries.

– Le top 10 de la MLS pour Montréal.

– Grosse surprise dans la WHL.

– C’est pas fini pour les Lions!

– Il va y avoir de la compétition à Nashville.

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Voici les nouveautés qui arriveront ce printemps sur VRAI

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Ce printemps, la plateforme télévisuelle appartenant à Québecor Contenu, Vrai, vous propose, comme à l’habitude, du contenu de type style de vie, documentaire et divertissement. Le tout, entièrement en français! En effet, fidèle à elle-même, Vrai propose cinq nouvelles productions originales qui seront disponibles à partir du 10 mai prochain. Et on ne pourrait pas être plus excités de ça! (Surtout par la nouvelle télé-réalité Nouveaux Visages, qui met en lumière le milieu du mannequinat.)

Resto pop-up (disponible dès le 10 mai) :

« Un chef s’installe derrière les fourneaux de Resto pop-up le temps d’une soirée. Sa mission : préparer des plats qui nous font découvrir sa culture d’origine et qui nous en révèlent davantage sur sa personnalité. Il partage avec nous des ingrédients secrets et des techniques uniques provenant de son héritage gastronomique. Autour de l’îlot, Tamy Emma Pepin guide la discussion et s’assure que tout sera fin prêt pour l’arrivée des clients en salle. Une réalisation de Paul-Maxime Corbin ».

Crédit:Vrai

Bergie (disponible dès le 17 mai) :

« De sa jeunesse dans le quartier St-Michel à Montréal, en passant par sa carrière d’entraîneur au hockey et à celle dans les médias, on découvre Michel Bergeron sous tous ses angles. Images d’archives inédites, témoignages d’amis, de sa famille et d’anciens joueurs, cette série rassembleuse, réalisée par Félix St-Jacques, donne accès à Bergie comme jamais auparavant! ».

Nouveaux visages (disponible dès le 7 juin) :

« L’ex-mannequin Marikym Hervieux insuffle un vent de renouveau dans l’industrie de la mode via son agence. Avec sa partenaire d’affaires Claudine de Repentigny, elle représente des artistes issus de disciplines diverses et les propulse sur la scène montréalaise et internationale. Une série réalisée par Brian Desgagné et Christine Doyon ».

Refuge animal – mission : Aristopattes (disponible dès le 21 juin) :

« Après avoir été bénévole dans différents refuges, Stéphane Fallu découvre les Aristopattes. Cet organisme de bienfaisance vient en aide aux animaux domestiques abandonnés qui sont blessés ou malades, et qui ont besoin des soins médicaux. À la réalisation, Francis Darche ».

Pole dance (disponible dès le 19 juillet) :

« Quatre passionnées de « pole dance » dévoilent un côté intime de leur vie pour nous faire découvrir toutes les facettes de ce phénomène grandissant. Pour Julie et Andréanne, c’est un sport à part entière. Zoé est attirée par le côté artistique et Saskia assume pleinement ce jeu de séduction. Chacune à leur façon partage une partie de leur intimité quotidienne, avec toute l’énergie que cette passion étonnante leur procure. Une réalisation de Jeff Proteau ».

« Comme son nom l’indique, Vrai met de l’avant dans sa programmation des histoires authentiques qui permettent de démystifier des univers souvent méconnus. Ce printemps, ses abonnés vivront d’autres nouvelles expériences humaines et enrichissantes, bien ancrées dans la réalité », pouvait-on lire dans un communiqué.

En bref, on sait ce que l’on va faire ce printemps! Et vous, allez-vous être au rendez-vous?

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Michel Bergeron réclame le départ de Jeff Petry

Une proposition farfelue

Michel Bergeron a réclamé le départ de Jeff Petry lors de l’émission spéciale sur la date limite des transactions de TVA Sports, dimanche soir. Sa décision serait déjà prise depuis un certain temps.

« Il faut régler le dossier Petry dès maintenant. Mon idée est faite depuis l’incident avec Samuel Montembeault. Il faut qu’il parte de Montréal, point. » – Michel Bergeron à l’émission spéciale sur la date limite des transactions de TVA Sports

Depuis l’incident de Montembeault, on voit clairement un manque de leadership et d’effort dans le jeu de Petry. Les partisans n’apprécient vraiment pas ce style de jeu qui s’explique toutefois par la demande de transaction qu’il a fait dans les derniers mois.

Celui que l’on surnomme Bergy a remarqué de bonnes choses lors de l’arrivée de St-Louis, mais tout est revenu comme avant récemment.

« Il s’est replacé pendant quelques matchs après l’arrivée de Martin St-Louis, mais il a commis une autre gaffe monumentale, samedi. Dans sa tête, il est parti, c’est ce qu’il veut. Qu’on lui facilite la tâche! Qu’on l’envoie n’importe où, ça va être un bienfait pour toute l’équipe. Les jeunes qui gravitent autour de lui se demandent si c’est comme ça qu’un vétéran doit se comporter. » – Michel Bergeron à l’émission spéciale sur la date limite des transactions de TVA Sports

Bergeron soulève un bon point. Avec la jeune formation qu’a le Canadien en ce moment, il faut s’assurer que les vétérans en place deviennent un exemple à suivre pour assurer leur bon développement. Les récentes bourdes de Petry ont des conséquences qui ont été appliquées samedi soir, alors que Martin St-Louis ne l’a utilisé que pour moins de 17 minutes.

La valeur de Petry a certainement baissé cette année et les troubles l’entourant ne l’aident pas à la faire remonter. Kent Hughes devra prendre une décision d’ici lundi après-midi, à savoir si le retour que le Canadien pourrait en retirer serait assez bon à ses yeux.

De ce qu’on peut comprendre, les jours de Jeff Petry à Montréal sont comptés, à moins que les offres ne soient pas assez intéressantes. Dans ce cas, Petry pourrait continuer d’être une mauvaise influence et affecter les jeunes dans le vestiaire.

En Rafale

– Des transactions à venir pour Boston?

– Bravo à toi!

– Lehky a-t-il joué son dernier match à Montréal?

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Michel Bergeron s’insurge contre le Canadien

Michel Bergeron, surnommé Bergy ou le Tigre, n’en rate pas une lorsqu’il est temps de s’en prendre au Canadien. Il aime donner son show devant les lentilles puisqu’il est conscient que ça pogne.

Bergeron est critiqué par certains, mais ces gens-là continuent tout de même de l’écouter. Lors de l’une de ces dernières rubriques, il a versé quelques qualificatifs négatifs au sujet du Canadien, qui n’a pas amené Yanni Gourde et Jonathan Marchessault, au préalable, dans l’organisation.

Pour Bergeron, c’est inacceptable que de bons jeunes Québécois se démarquent ailleurs qu’à Montréal. Le Canadien n’a pas pigé dans sa cour lors de ces deux cas bien précis. Le développement fait défaut, toujours selon Bergy… Gourde et Marchessault dominent chacun de leur côté, le premier à Tampa et le second, à Vegas. Celui des Knights a d’ailleurs passé par Tampa, qui n’a pas cru bon de le conserver au sein de l’organisation. On parlait de son attitude.

«C’est impensable que des jeunes Québécois se mettent en évidence dans des séries de demi-finales et qu’on va les voir jouer pour la coupe Stanley.» – Bergeron

Bergeron est évidemment très fier des embauches de Joël Bouchard et Dominique Ducharme puisque ces hommes de hockey ont la tête bien au Québec, ce qui devrait influencer Marc Bergevin et son groupe. D’ailleurs, on le voit déjà au sein du Rocket de Laval, comme Alexandre Alain, par exemple.

C’est toujours facile de critiquer une organisation qui a manqué son coup dans un dossier, mais rien ne dit qu’elle n’a pas essayé. Comme dans le cas d’Alex Barré-Boulet, Marc Bergevin a tenté de le mettre sous contrat, mais il n’a pas réussi puisque le jeune homme avait déjà une entente officieuse avec le Lightning.

En rafale

– Paul Wilson est le nouveau VP affaires publiques du Canadien de Montréal.

– Voici quelques facteurs qui ont permis aux Golden Knights d’atteindre la finale de la Coupe Stanley.

– Daniel Jacob sera-t-il l’un des adjoints de Joël Bouchard du côté de Laval?

– Faites attention aux faux comptes qui se promènent sur Twitter!

– La statistique moche du jour.