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Caroline Néron s’ouvre sur ses projets futurs

Caroline Néron est une véritable guerrière. Si elle ne s’incline à aucun combat, la femme d’affaires, actrice, maman, amoureuse et chanteuse réussit toujours à voir le côté positif de tous les défis qui s’offrent à elle. Faciles ou rocailleux. Ce qui est inévitablement tout à son honneur. Caroline Néron en inspire plus d’un et plus d’une et ce n’est pas peu dire!

En entrevue avec la journaliste Michèle Lemieux pour le magazine 7Jours, la femme d’affaires s’est ouverte sur ce qui occupe actuellement son emploi du temps, mais aussi, sur ses ambitions futures.

« Je constate qu’après une tempête, il y a toujours une accalmie et des leçons à retenir. On prend des directions plus humaines, plus réfléchies. Après une grande épreuve, il y a beaucoup de changements qui se mettent en place et ça nous amène à prendre des chemins plus sains. Ma vie est définitivement plus équilibrée. Je n’ai pas de rancune ou de remords face à ce que j’ai vécu. Je pense que ça m’a beaucoup servi personnellement et ça m’a appris beaucoup de choses. La phrase qui dit: « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts » prend tout son sens… Les épreuves font partie de la vie et même si on ne les choisit pas, je crois qu’il y a une raison pour laquelle elles se produisent. Quand on y pense : être en vie, être en santé, c’est le succès en soi », affirmait-elle dans l’entrevue.

Rappelons que Caroline Néron a un nouveau copain, Luc, et ce dernier aide grandement à combler le bonheur de la maman.

« […] Nous avons une belle histoire. Lorsque je suis tombée, en 2018, c’est le père d’Emanuelle, Jean-Marc, et sa femme, Nathalie, qui sont venus à ma rescousse. Ils m’ont beaucoup aidée. Notre relation a tellement évolué! Nous avions toujours eu des affinités, mais nous sommes devenus très proches pour notre fille. Un jour, j’ai demandé à Jean-Marc de me présenter un amoureux… Je trouvais que ça nous permettrait de conserver notre belle chimie. C’est donc Jean-Marc qui m’a présenté Luc et il est franchement bien tombé », disait-elle.

« Emanuelle adore Luc! Le voir agir avec elle, le voir s’investir avec elle, c’est profondément touchant. J’ai l’impression qu’il est le parfait beau-papa! Emanuelle le considère comme son beau-père, au même titre que Nathalie est sa belle-mère », lançait-elle quant à la relation entre sa fille et son nouvel amoureux.

Du côté de sa carrière, Néron a assurément plus d’un tour dans son sac.

« Au printemps prochain, je compte proposer des bijoux en or 10 carats. C’est une belle fierté pour moi. J’ai réalisé ma propre pub pour l’entreprise et je suis très contente de l’avoir fait. Depuis le lancement de mes quatre parfums, l’automne dernier, les choses vont bien. Je suis très heureuse de l’accueil du public pour le retour de mes parfums ».

« J’aimerais pouvoir jouer à nouveau prochainement, mais pour le moment, je n’ai rien au programme. Je serai de Rencontres au sommet sur Évasion, une émission animée par Patrice Godin. Nous avons grimpé neuf sommets en cinq jours! C’est une expérience que je n’oublierai jamais. Je me sens choyée d’avoir participé à cette aventure. J’ai découvert la Gaspésie sous un autre angle. Ça m’a donné envie de refaire de la randonnée de montagne, sport auquel mon chum venait tout juste de m’initier. Avec Rencontres au sommet, j’ai vécu une expérience humaine. Ç’a été thérapeutique et ça m’a sortie de ma zone de confort! », renchérissait-elle quant à son désir de jouer.

Il n’y a aucun doute, Caroline Néron est une femme plus qu’inspirante.

Pour lire l’entrevue au complet, c’est par ici.

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Laurie Babin s’ouvre sur sa carrière qui lui promet un bel avenir

La comédienne Laurie Babin est partout en ce moment dans notre univers culturel québécois et c’est une excellente affaire! Il faut dire que l’actrice est excessivement talentueuse alors il est peu surprenant qu’elle se retrouve dans toutes nos séries préférées du moment. Dernièrement, c’est dans la série d’horreur Lac Noir, que la belle livre toute une performance. 

Dans le magazine 7Jours, Laurie Babin s’est entretenue avec la journaliste Michèle Lemieux afin de parler de sa carrière en pleine expansion et l’entrevue est très honorable.

« C’est un autre projet dont je suis vraiment fière. Nous avons tourné en extérieur. La série se passe dans un camp de vacances désaffecté. Ce n’est pas une série policière ordinaire… C’est très surprenant, mais je ne peux en dire plus à ce sujet. La vie compliquée de Léa Olivier revient aussi cette année, et j’y campe une adolescente, comme dans Toute la vie. Ça me fait revivre une deuxième adolescence. Je me sens vraiment choyée. Comme je n’ai pas fait d’école de théâtre, j’ai le sentiment d’avoir un parcours privilégié. J’ai commencé jeune, mais j’ignorais si je voulais faire ce métier. Je suis chanceuse que ça ait fonctionné. J’ai l’air jeune, mais j’ai une certaine maturité qui vient avec mes 23 ans. Il m’arrive d’auditionner pour jouer une fille de mon âge et de me faire dire que j’ai l’air trop jeune pour le rôle… (rires) Dans quelques années, ce sera réglé. J’ai hâte de jouer des personnages de mon âge. Ça ne m’est pas encore arrivé », lançait-elle.

« Je me suis arrêtée. Je ne voulais plus faire ce métier, mais j’ai repris à 19 ans et les choses ont déboulé »

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Elle raconte qu’à un moment de sa vie, elle ne voulait plus pratiquer le métier de comédienne.

« J’ai débuté à l’âge de neuf ans, avec la série Zooville, une émission jeunesse à Radio-Canada. Mon père travaille dans le cinéma, alors je l’accompagnais sur les plateaux. Dès l’âge de six ans, j’ai su que je voulais travailler sur un plateau de tournage. J’ai commencé à insister auprès de mes parents. Parce que mon père connaissait la réalité du métier, il savait que c’était épuisant et parfois même difficile émotivement pour les enfants. Il ne voulait pas que je fasse ce métier. Ma mère était moins réticente. Il a fallu plusieurs années avant qu’ils acceptent de m’inscrire dans une agence, un peu à reculons. Ils pensaient que c’était une lubie temporaire de ma part… (rires) J’ai décroché Zooville rapidement, mais j’ai mis des années avant de décrocher un vrai premier rôle. C’était dans En thérapie, alors que j’avais 15 ans. Par la suite, j’ai travaillé sur 30 vies et je me suis arrêtée. Je ne voulais plus faire ce métier, mais j’ai repris à 19 ans et les choses ont déboulé ».

Elle poursuit l’entrevue et avoue être encore à l’université et que pour cette raison, elle ne se sent pas actrice à 100%.

« En ce moment, je suis encore à l’université. Je n’ai jamais vraiment mis ça de côté. C’est pour cette raison que je ne me sens jamais actrice à 100 %, car il y a encore une porte ouverte sur les études. J’ai l’impression de mener une double vie. Je suis actrice, mais je fais aussi un bac en littérature et en histoire. À travers mes projets, je travaille aussi en traduction de temps en temps. J’ai terminé une majeure en traduction à McGill. Ce sont pour moi deux choses parallèles. Toute ma vie, j’ai été très éparpillée, c’est d’ailleurs la grande tragédie de ma mère! (rires) J’essaie d’assumer cette facette de ma personnalité et de me dire que c’est possible de faire plusieurs choses en même temps. J’ai l’impression de puiser une certaine force dans la multiplicité de mes activités. Ça me nourrit tellement d’étudier, de travailler, d’apprendre de nouveaux instruments! J’ai longtemps joué du violon et, durant la pandémie, je me suis mise au violoncelle. J’écris également de la poésie et j’ai publié un recueil, Vivarium, aux éditions du passage. Je fais aussi du yoga. J’ai envie d’assumer l’éventail de mes passions… »

Nous pouvons voir Laurie Babin dans L’Échappée, Lac Noir, Toute la vie, Le 422 et dès le 24 février prochain, dans La vie compliquée de Léa Olivier, sur le Club illico!

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Caroline Dhavernas heureuse d’être de retour sur nos écrans

C’est en entrevue avec le magazine 7Jours que l’actrice Caroline Dhavernas s’est confiée sur son retour à l’écran après avoir consacré pas mal de temps à sa fille ainsi qu’à d’autres passions. On peut actuellement la voir dans l’excellente série télé mystérieuse, Aller Simple, aux côtés de  Éric Bruneau, Marc BeaupréNathalie Doummar, Anick Lemay, Rémi-Pierre Paquin, Anie Pascale, Luc Picard, Jean-Nicolas Verreault et Samian, pour ne nommer que ceux-là.

La série qui nous fait grandement penser à une bonne vieille partie du jeu Clue, gagne assurément à être connue comme elle mélange le suspense et les intrigues. Aussi, les personnages de la série jouissent tous d’une complexité intéressante et cela ajoute à l’histoire beaucoup de richesse.

Dans la série Caroline Dhavernas interprète le rôle de Julie Sicotte et quand Michèle Lemieux, journaliste pour le magazine 7Jours, lui a demandé s’il y avait certaines ressemblances entre Dhavernas et son personnage, l’actrice a immédiatement répondu « Elle est assez loin de moi. Je pense que c’est quelqu’un qui est particulièrement irrité par la vulnérabilité des gens autour d’elle. La prémisse, c’est six personnes qui ne se connaissent pas et qui sont invitées à rendre visite à un milliardaire. Des disparitions mystérieuses se produisent. On peut imaginer que les personnages vivent des moments de vulnérabilité. Le mien est très irrité par cela. C’est une femme forte qui, à mon avis, n’est pas très en contact avec sa propre vulnérabilité. Ce n’est pas tellement ma personnalité… », lançait-elle.

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Elle renchérit sur le fait que c’est la première fois qu’elle interprétait un rôle comme celui de son personnage dans Aller Simple. « Je n’avais jamais incarné un personnage comme celui-là. C’est une femme d’affaires assez carriériste et très caractérielle. Je me suis amusée à fond avec ce rôle. Le réalisateur a mené le bateau d’une manière exceptionnelle. J’ai eu l’occasion de jouer la blonde de Martin Matte dans Les beaux malaises, mais depuis Blue Moon, je n’avais pas vraiment fait de télé à Montréal. J’ai aussi tourné dans Les cavaliers, une série jeunesse. Ç’a été un bel été après une pandémie un peu longuette. J’étais bien contente de retourner au travail dans deux projets très différents », disait-elle à la journaliste du magazine.

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Caroline Dhavernas admet avoir dû s’arrêter, suite à la naissance de sa fille. Pour elle, ça s’est fait naturellement. « […] comme j’ai un jeune enfant, si j’avais voulu prendre la décision de m’arrêter, ç’aurait été beaucoup plus difficile. Je n’ai pas eu à me poser la question: c’est arrivé naturellement. J’en ai profité, en espérant que le travail reprenne un jour, et il a effectivement repris ».

C’est avec une belle honnêteté que l’actrice a admis avoir vécu quelques périodes difficiles. « Il y a eu des périodes difficiles. À certains moments, je me disais que j’étais chanceuse d’avoir une petite fille. J’ai passé beaucoup de temps avec elle lorsque les garderies étaient fermées. Il n’y a pas de gens très proches de moi qui ont succombé à la maladie, mais comme tout le monde, j’ai trouvé l’isolement très difficile. Quand les théâtres et les cinémas ont ouvert à nouveau, ç’a été plus clair que jamais à quel point c’était important pour ma santé mentale de me retrouver avec d’autres êtres humains pour vivre des émotions et réfléchir. Comme voyager est devenu compliqué, je me suis rendu compte à quel point j’ai été choyée parce que j’ai pu parcourir le monde, entre autres grâce à mon travail. La pandémie aura donc servi à nous faire comprendre que nous avons férocement besoin les uns des autres. Le cerveau a besoin de nouveauté pour être heureux. Certains sont plus casaniers, certes. Personnellement, j’ai besoin de nouveaux projets, de nouveaux défis dans ma vie pour être heureuse… et je ne suis assurément pas la seule », admet-elle.

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Caroline Dhavernas est assurément une grande actrice qui inscrit sa place aux côtés de Karine Vanasse et de Sophie Nélisse. On pourra d’ailleurs l’entendre nommer les prochaines stations de REM, comme elle est la voix officielle du transport en commun qui sera lancé dans le grand Montréal dès l’été 2022.

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