Encore un peu sous le choc d’avoir été éliminé dès la première semaine de l’aventure, c’est un Mickaël tout de même heureux de son expérience qui s’est présenté à La semaine des 4 Julie ce lundi soir. C’est évidemment son amitié avec les gars qui restera le souvenir le plus significatif chez le joueur de hockey dans la Ligue nord-américaine de hockey (LNAH), même s’il admet qu’il avait pensé que c’était Carl qui allait quitter le navire avant lui.
Bien entendu, il n’était pas possible de recevoir Mickaël sans aborder l’expression qu’il n’a pas cessé de répéter depuis que sa candidature a été dévoilée, soit les « p’tites madames ». Julie Snyder lui a donc demandé s’il y avait une raison particulière derrière l’adage qui, on va se l’avouer, n’est pas très populaire auprès des filles comme l’a souligné Karine Vanasse, aussi invitée à l’émission.
« Les filles n’aiment pas ça, mais ça amène une intrigue. Après, j’arrive avec mon beau sourire, ma belle humeur, et ça fonctionne. Tu commences avec une insulte et tu repars avec une qualité », a déclaré toute en assurance le joueur de hockey sous l’air peu convaincu de Karine Vanasse.
Qu’à cela ne tienne, Julie Snyder a pris au pied de la lettre son expression douteuse et lui a organisé une séance de speed dating avec de vraies « p’tites madames »! Trois candidates se sont donc présentées tour à tour pour convaincre le jeune homme de 22 ans de les choisir.
On peut dire que le résultat était tout simplement hilarant, surtout pour la première, Denise Albert, qui n’a pas été avec le dos de la cuillère, comme on dit! Celle-ci s’en ai en effet donné à coeur joie en camouflant les allusions sexuelles par des analogies de hockey.
« Moi, c’est Denise. Si tu ne comprends pas l’anglais, c’est les genoux… The Knees. Sérieusement, je suis une grande fan de hockey, donc je ne passerai pas par la bande pour te dire que mon grand rêve, c’est de te plaquer dans le coin et de te donner deux minutes de punition pour bâton élevé. Tu vas t’apercevoir que la p’tite madame est encore dans la game! Je suis une fille pas mal plus offensive que défensive, je vais aller droit au but et te dire que j’aimerais ça être ta Coupe Stanley », a-t-elle dit sous les fous rires de Mickaël et Julie.
C’est ensuite la fameuse influenceuse Paulette Gagnon qui a foulé le tapis rouge du studio. Cette dernière a évité les jeux de mots et a plutôt opté pour un solide argument : en tant que femme à la retraite, elle pourrait prendre soin de lui à temps plein! Dur à battre, on doit l’avouer.
Toutefois, la dernière candidate avait de quoi convaincre Mickaël, car c’était Annie, sa mère, qui lui offrait de retrouver le condo qu’il s’est fait dans son sous-sol. Lavage, ménage et repas inclus, pour un prix d’ami! Ça ne se refuse pas, surtout quand sa petite soeur Lana lui dit d’un ton vraiment trop mignon : « Envoye à maison! »
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