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Plus de « bon gras » chez les enfants minces

On lit dans le Journal of Pediatrics des résultats scientifiques quant à l’impact des quantités de bon gras et de mauvais gras chez l’enfant. Rappelons que ce que l’on appelle « bon gras » en est un qui brûle plus facilement de l’énergie plutôt que d’en accumuler.

À la suite d’analyse de données, on comprend qu’une approche concernant la quantité de mauvais gras pourrait mieux contrer les taux croissants d’obésité et de diabète infantiles. Les enfants minces présentent une quantité plus importante de bon gras dans leur organisme.

On a pu faire cette constatation après avoir effectué des tests par imagerie auprès de 172 enfants âgés de 5 ans et plus. De plus, il semble que l’augmentation du bon gras lors du passage de l’enfance à l’adolescence, ainsi que sa corrélation inversée avec l’obésité, suggère qu’il joue un rôle majeur dans le métabolisme infantile.

Ainsi, en trouvant de nouveaux moyens pour augmenter la quantité de bon gras chez les enfants, on arriverait à combattre d’une toute nouvelle façon le diabète et l’obésité. Qui plus est, ces moyens se révéleraient plus sécuritaires pour leur santé.

On souligne finalement que bien des questions demeurent sans réponse quant à ce phénomène. Entre autres, on ne saurait dire encore si un enfant est plus mince parce qu’il présente un taux plus élevé de bon gras, ou s’il a un tel taux en raison de sa minceur.

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Être trop mince conduit aussi à de graves problèmes de santé

La semaine dernière, des chercheurs mentionnaient avoir découvert le gène de la minceur qui exposait à un plus grand risque de diabète de type 2. Voilà que les études confirment qu’être trop mince peut être aussi nocif que l’obésité.
 
Les personnes dont l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur à 18,5 sont considérées comme ayant une insuffisance pondérale. Celle-ci est liée à 34 000 décès par année aux États-Unis.
 
Les recherches sur le sujet n’en sont qu’à leur balbutiement, mais on constate qu’une grande minceur, comme on le voit régulièrement dans les magazines, chez les vedettes et les mannequins, prive le corps de nombreux nutriments essentiels.
 
Cela conduit alors à des os plus fragiles, donc plus de risques de fractures, notamment de la hanche, à un âge avancé.
 
Les personnes trop minces sont aussi plus susceptibles de souffrir d’arthrite et de maladies cardiaques.
 
Les risques de fausses couches dans les trois premiers mois est de 72 % supérieur et les complications durant la grossesse peuvent survenir également chez les femmes maigres.
 
Il y a un risque plus grand de dépression, surtout chez les hommes, et de cas d’infertilité masculine également. Les maladies pulmonaires sont aussi plus présentes dans les cas d’extrême maigreur.

De plus, on constate que les personnes trop minces, étant plus fragiles, ont plus de risques de mourir dans un accident de voiture, surtout les hommes, rapporte le Daily Mail.

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Les petites filles déjà préoccupées par la minceur à trois ans

Une récente étude de l’Université de Pepperdine à Malibu, aux États-Unis, nous apprend que les petites filles sont déjà préoccupées par la minceur à un âge aussi jeune que trois ans.

Pour en arriver à ces conclusions, l’auteure de cette étude, Jennifer Harriger, a présenté à 55 fillettes 3 personnages auxquels elles devaient associer un adjectif. Physiquement, il y avait un personnage gros, un de taille moyenne et un mince.

Des qualificatifs négatifs étaient attribués à une échelle de 3,1 mots au personnage dit « gros ». Les mots en question étaient stupide, bruyant, moche, etc. Le personnage dit « mince » n’a reçu que 1,2 mot négatif en moyenne.

À l’opposé, des qualificatifs positifs aussi éloquents que gentil, intelligent, beau et amical étaient accordés selon un taux de 2,7 au personnage mince, contre 1,2 au personnage corpulent.

Finalement, les petites filles disaient en majorité vouloir jouer avec le personnage mince. Il est donc évident que la publicité actuelle leur apprend qu’avoir un surplus de poids est mauvais.

Tristement, l’obsession de la minceur et de la perte de poids de la société actuelle semble affecter jusqu’aux plus jeunes filles.

 

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La minceur motive

Une recherche menée par l’Université Mount Allison, au Nouveau-Brunswick, démontre que le degré de motivation à suivre un entraînement physique est plus élevé chez les personnes minces que chez celles qui ont quelques kilos à perdre.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Terry Belke, mentionne : « Bien qu’il puisse y avoir de fortes incitations – sociales et cognitives – à s’entraîner pour une personne au poids excessif, cela peut ne pas être suffisant pour lui permettre de surmonter le désir instinctif de s’asseoir et de se relaxer. »
 
Il semble que plus le poids baisse, plus il y a un élément gratifiant à poursuivre un entraînement physique dans le but de perdre plus de poids.
 
Le Dr Belke croit également que notre mode de vie sédentaire peut expliquer la hausse de l’obésité. « Nous sommes entourés, en tout temps, d’aliments riches en calories, et nous n’avons pas besoin de travailler dur pour nous les procurer. »