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Mitsou raconte son combat contre le culte de la minceur

Mitsou Gélinas est pourtant considérée comme un sex-symbol, une beauté intemporelle, qui fait tourner les têtes depuis 1988 avec Bye Bye mon cowboy.

Le Journal de Québec rapporte sa première confession à cœur ouvert publiée sur son site officiel. Elle dévoile sa lutte perpétuelle pour convenir aux standards du showbiz et de la société. Des régimes à la liposuccion, elle a même perdu connaissance avant une parution télévisée.

Aujourd’hui, Mitsou a 43 ans et se rappelle que même après la liposuccion, rien n’a changé. « Ma taille est quasiment restée la même, mon ventre aussi. Celui que tout le monde aime, mes sœurs, ma mère, mes chums, sauf moi. »

Par son témoignage, une réalité partagée par trop de jeunes filles sur les standards de beauté, l’artiste espère que le message passera. Nul besoin d’être maigrichonne pour être belle, au contraire.

« On veut être des modèles. Mais en disant que tout est beau, que tout est parfait, on peut aussi faire le contraire. On peut heurter celles qui ont du mal à s’accepter. »

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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.