Après avoir passé les derniers mois au Costa Rica avec sa petite famille, Mirianne Brûlé est finalement de retour au Québec. Elle a partagé sur son compte Instagram des petits clichés de son retour et c’est mignon à souhait!
Ce qui est certain, c’est que le voyage n’était pas de tout repos! Après plusieurs heures de voiture, trois vols et deux nuits à l’hôtel, la petite famille a finalement réussi à revenir au Québec après avoir passé le confinement au Costa Rica, le pays d’origine du conjoint de Mirianne Brûlé, Leo Manzur. Cela a toutefois valu la peine, car la jeune femme est plus que ravie de faire découvrir son foyer à sa fille Camila et de retrouver ses repères.
Elle souligne dans une publication ces quelques lignes : « Les odeurs, les sons, la lumière, l’air… tout est si différent du Costa Rica. J’avais presque oublié la beauté de nos étés québécois. Je me sens si chanceuse d’être de retour à la maison. Il n’y a pas de mots pour exprimer cette joie, ce réconfort, cette gratitude, en plus Camila semble très heureuse et dort mieux que jamais ». Comme quoi, le jeu en a valu la chandelle!
Bon retour à la petite famille! Vivement d’autres clichés aussi mignons!
Voir cette publication sur InstagramVoir cette publication sur InstagramVoir cette publication sur InstagramLa comédienne Mirianne Brûlé qui a accueilli son premier enfant en août dernier, est présentement au Costa Rica, pays où elle a rencontré son beau Leo Manzur, qui y a un restaurant, celui-ci étant chef cuisinier. Elle a annoncé hier soir sur les réseaux sociaux que le président du Costa Rica venait de déclarer l’état d’urgence au pays. Sa petite famille et elle, incluant ses parents, car ceux-ci sont présentement en visite, ont donc décidé de demeurer volontairement en quarantaine. Celle-ci espère que ses parents pourront revenir bientôt au Canada, eux qui ne parviennent pas à trouver de billet de retour avant la semaine prochaine. Voici précisément ce qu’elle a écrit : « Le président du Costa Rica vient de déclarer l’état d’urgence au pays. Les écoles, bars et lieux publics ferment. La frontière sera fermée aux étrangers dès mercredi. Cette catastrophe mondiale aura des répercussions très graves sur l’économie locale puisque la majorité vivent du tourisme( dont nous). Cette photo de nous 3 à la plage est sûrement la dernière pour un bout puisque nous avons décidé de faire la quarantaine à la maison avec mes parents qui sont en visite et qui n’arrivent pas à avoir un billet de retour avant la semaine prochaine. En espérant qu’ils puissent retourner. Je vous recommande de respecter les consignes pour limiter au maximum la propagation de ce virus. Restez à la maison le plus possible. Collés sur ceux que vous aimez ».
On peut lire dans ses réponses aux commentaires que celle dont les revenus dépendent aussi des profits du restaurant de son conjoint, compte demeurer au Costa Rica pour le moment étant donné la complexité associée au fait de revenir au pays. Elle indique notamment qu’elle ne trouve aucun vol direct, tous les vols passant par les États-Unis, et qu’elle ne désire pas, pour sa famille et elle, prendre ce risque.
Heureusement, Mirianne et sa famille semblent garder le moral si on se fie à certaines de leurs publications récentes où on peut se laisser bercer par la douce mélodie de la guitare. On souhaite beaucoup de courage à Mirianne et ses proches!
Par un doux matin frette gris poche de novembre, alors que mon bébé de 3 mois dormait paisiblement, je m’apprêtais à sortir mes vidanges pour la première fois depuis que j’avais donné la vie, car normalement c’est mon conjoint qui le faisait, mais ce matin-là il était occupé à autre chose et – boom – ça m’a frappée: la poubelle à couches, une fois transférée dans ledit sac de vidanges, me semblait peser une tonne… après seulement une semaine.
Je me suis mise à calculer vite vite; environ 6-8 couches par jour, 7 jours par semaine ça donne une cinquantaine de couches par semaine, donc
200 par mois et donc 2400 couches en 1 année… Et selon Google, une couche jetable a besoin de 250 à 500 ans pour se décomposer dans un site d’enfouissement. Je me suis dit « oh mon dieu »!J’ai donc commencé mes recherches sur le merveilleux monde des couches réutilisables/lavables. Parce qu’on va se le dire, au début, ça nous semble être un monde à part auquel on peut accéder seulement après une maîtrise en anatomie du corps de bébé et une autre en biochimie du lavage.
Il existe plusieurs sortes de couches et d’inserts, différents niveaux d’absorption et il y a les routines de lavage qui diffèrent selon le modèle de laveuse, selon l’eau, selon le détergent. Il y a aussi le décrassage, l’entreposage… Bref, au début, ça semble bien compliqué.
Je vais parler ici en tant que novice en la matière, car il y a beaucoup de personnes qui en connaissent plus que moi sur le sujet; sur internet, il y a beaucoup de parents experts qui se disent accros aux couches lavables (il existe d’ailleurs un groupe Facebook qui s’appelle « Accros aux couches lavables », si vous ne me croyez pas). Ce groupe qui porte si bien son nom m’a d’ailleurs été très utile dans mon processus d’apprentissage.
Essayer avant d’adopter
Mais avant d’investir dans un lot de couches dispendieux, j’avais envie d’essayer. J’ai lu sur plusieurs sites que les différentes marques de couches peuvent convenir ou non à la forme du bébé (s’il a des petites ou des plus grosses cuisses, un petit ou un rond bedon, etc.). Les prix diffèrent aussi selon les marques et le pays où elles ont été fabriquées; bref, c’est un investissement et un pensez-y-bien.
J’ai donc décidé de louer un ensemble de couches chez Câlins et popotin à Montréal. Oui oui vous avez bien lu, vous pouvez louer un ensemble de couches qui contient différents modèles et différentes marques. Pour une semaine, je crois que ça m’a coûté 20$ plus un dépôt de 100$ qui est redonné à la fin de la location. Ça permet d’expérimenter et d’essayer différents fits pour bien choisir et aussi voir si on est à l’aise avec le lavage.
Pour moi, première constatation: ce n’est vraiment pas si compliqué que ça! Il y a 3 sortes de couches – les couches à poches avec insert, les couches tout-en-un (le nom le dit: tout est là, pas d’insert à ajouter) et les couches plates (celles qu’on plie comme dans le temps de nos mères). J’ai préféré les couches à poches avec un insert à placer à l’intérieur de la poche; je trouvais ça facile, ça semblait confortable pour bébé et simple à laver et sécher. C’est aussi pratique parce qu’on peut ajuster l’insert selon l’âge de bébé.
Pour ma part, j’ai opté pour les Bum Genius (ceci n’est pas une pub!). On me demande souvent quelle marque j’utilise et je sais qu’il y en a des super belles de compagnies québécoises aussi, mais je n’ai tout simplement pas encore eu la chance de les utiliser, car j’ai acheté pour commencer un lot de 15 couches usagées Bum Genious sur Kijiji et elles sont parfaites.
Là, vous vous demandez: acheter des couches usagées, ah oui, vraiment?
Mais oui! Tout à fait! C’est encore mieux pour l’environnement, car on prolonge la durée de vie d’utilisation d’un lot de couches qui est en parfait état, mais qui n’est plus utilisé parce que le bébé a grandi. Il faut juste s’assurer que les élastiques sont encore bons et que la membrane imperméable l’est toujours. J’ai dépensé 150$ pour un lot de 15 couches avec les inserts. Après, il suffit de les décrasser pour s’assurer qu’elles sont bien désinfectées et c’est tout (voir le tableau ci-dessous du groupe Facebook Accros aux couches lavables). Ce sont des « one size » donc, normalement, elles sont censées faire jusqu’à la propreté.
Ça y est. Je suis maman. Après y avoir tant rêvé pendant toutes ces années. Après avoir porté la vie 9 mois durant, avoir vu mon corps se transformer jour après jour, avoir vécu les hauts et les bas de la grossesse qui m’a semblée si longue, voire même presque interminable à la fin… Après avoir suivi semaine après semaine le développement de cet enfant tant désiré, les rendez-vous chez le médecin, remplis d’angoisse et d’espoir que tout soit correct, que tout soit normal, que nous allions avoir un bébé en santé. J’avais hâte, tellement hâte de rencontrer ma puce, de la tenir dans mes bras, de la cajoler, de la trouver belle, de l’aimer à l’infini….de la nourrir. Par contre, après coup, il y a bien des choses que j’aurais aimé savoir sur l’allaitement.
View this post on InstagramOn a beau se préparer du mieux qu’on peut à devenir maman, lire tous les livres, surfer des heures sur le net, parler aux amies qui ont des enfants, prendre les cours prénataux, on ne peut toutefois pas devenir maman avant de devenir maman. On le devient au fur et à mesure, à chaque jour qui se présente et c’est une grande aventure remplie d’essais-erreurs. Au début, quand on devient maman, on flotte, on est sur un nuage hors du temps et de la réalité.
On se sent tellement privilégiée; on a mis un enfant au monde. Wow, c’est juste fou! On se sent forte, belle, capable de tout, une vraie héroïne!! Dès qu’on met le bébé sur toi à l’accouchement, l’enfant a le réflexe de chercher le sein. C’est naturel, c’est incroyable, tu te dis ça y est, je vais allaiter. Tu imagines que c’est aussi simple que ça, que la nature est bien faite, que tu es faite pour ça, que c’est merveilleux et tellement un beau moment à partager avec ton bébé. Tu te dis que tu es chanceuse et que pour toi, tout va bien aller, même si ta belle-soeur t’a dit qu’elle avait eu de la misère un peu, tu te dis non pas moi, moi je vais faire ça comme une championne.
Laissez-moi vous dire que dans mon cas, ce ne fût pas si simple que ça. Après la lune de miel, qui dure environ une semaine je dirais, les défis ont commencé à se pointer. D’abord et avant tout, le manque de sommeil qui s’accumule ne peut que nuire à cet apprentissage. Je dis bien apprentissage, car on doit apprendre à allaiter et cet apprentissage se fait à 2: la maman et le bébé. Ma petite, depuis qu’elle est née, a un fort besoin de succion, mais refuse systématiquement toutes formes de suces (je les ai TOUTES essayées, croyez-moi) ce qui fait en sorte qu’elle réclame le sein sans arrêt et que je suis devenue assez rapidement une suce humaine. En plus, ma cocotte est délicate et a une petite bouche et mes seins, après ma montée de lait, deviennent deux fois plus gros que sa tête. Ce qui fait qu’elle n’arrivait pas à prendre tout le mamelon dans sa bouche et donc, elle tirait de toutes ses forces sur le bout de mes mamelons. Ils sont devenus très rapidement en forme de biseau avec de belles fissures à vif, au sang.
Le début du calvaire a commencé; chaque tétée me faisait un mal de chien, des chocs électriques qui allaient jusque dans le bras, je sentais mon coeur battre plus fort dans ma poitrine, j’avais chaud, j’en devenais rouge de douleur. Les larmes coulaient sur mes joues en silence dans la nuit. Les jours passaient et je devenais de plus en plus découragée. J’ai cherché des solutions de toutes sortes; les crèmes, les ostéopathes, les marraines d’allaitement, etc. J’ai essayé de me tirer du lait pour donner une bouteille quand je n’étais plus capable d’endurer la douleur, mais elle refusait la bouteille et celle-ci finissait la plupart du temps dans le fond de l’évier, à ma grande déception. Finalement, il fallait juste attendre que ça passe. Que mes seins s’habituent, que mes bobos guérissent et que l’apprentissage se fasse.
View this post on InstagramÇa m’a pris 6 semaines: 6 semaines de souffrance à être toujours sur le bord de lâcher. Mais je suis entêtée et je ne voulais surtout pas abandonner. Je le voyais comme une mission. Ma mission de mère, mon travail, ma responsabilité. Vous dire comment j’ai pleuré quand, à son premier rendez-vous, le médecin m’a dit les yeux remplis d’inquiétude qu’elle ne prenait pas assez de poids… La pression que je me suis mise sur les épaules par la suite… Je pense que j’ai fait une mini dépression et mon chum vous dirait sûrement que oui, vu le nombre de fois où j’ai pleuré la nuit en allaitant, en suppliant le ciel que ça arrête de faire mal. C’était vraiment une torture physique et mentale.
Si je partage mon expérience aujourd’hui, c’est parce que je sais que je ne suis pas la seule. J’ai commencé à discuter avec d’autres mamans sur les réseaux sociaux et dans mon entourage et je me rends compte que nous sommes plusieurs à passer par ce parcours du combattant.
Pourquoi personne ne m’en avait jamais parlé avant?
Est-ce un tabou de ne pas réussir son allaitement du premier coup?
Est-ce tabou de parler du fait que ce ne sont pas toutes les femmes qui réussissent à allaiter?
Est-ce qu’on peut se dire aussi que c’est ben correct d’abandonner si notre santé physique et mentale sont en cause? Que ce n’est pas un échec, que nous ne sommes pas de moins bonnes mères pour autant? Qu’il n’y a pas de honte à avoir. Qu’on peut en parler. On peut se dire tout ça?
Maman heureuse, bébé heureux. C’est une phrase toute simple prononcée par mon médecin qui est restée dans ma tête et qui joue en boucle. Peu importe les choix qu’on fait par rapport à l’allaitement, je crois que le plus important est de s’écouter et de respecter nos limites. Moi, j’ai certes poussé mes limites au maximum, mais je l’ai fait parce que je me sentais capable malgré tout et je le désirais très fort. Aujourd’hui, je suis extrêmement heureuse de l’avoir fait. Je vis aujourd’hui, 8 semaines après la naissance de ma fille, un allaitement super agréable et sans douleur. Je vis finalement ces moments magiques partagés dans une bulle d’amour et de détente avec ma fille qui grandit à vue d’oeil.
Où trouver de l’aide?
Les ressources disponibles
Avant tout, je dirais qu’il ne faut surtout pas hésiter à demander de l’aide. Il existe des ressources comme Nourri-Source pour trouver une marraine d’allaitement, les haltes d’allaitement des CLSC sont d’excellents endroits pour trouver le support le réconfort dont on a grandement besoin, les ostéopathes et les conseillères en allaitement peuvent aussi être d’une grande aide. Bref, tous les moyens sont bons pour essayer de se soulager et il ne faut surtout pas s’isoler avec le problème, car il va juste empirer.
Remèdes: Mon top 5
Comme je n’avais jamais entendu parler de ces trucs avant de passer par là et que j’aurais aimé les connaître, voici un Top 5 des remèdes qui ont sauvé mon allaitement ou, du moins, qui m’ont aidée à ne pas lâcher (on s’entend je ne suis pas médecin: demandez l’avis de votre médecin si vous éprouvez des problèmes et cherchez ensemble des solutions).
1- La crème Lanoline (en vente libre): Ça soulage un temps, mais dans mon cas, après un moment, ce n’était pas suffisant. Et surtout, c’est hyper graisseux et ça laisse des taches sur les vêtements. Tenez-vous-le pour dit.
2- La crème du docteur Newman (sous ordonnance) m’a énormément aidée à me soulager, mais comme elle contient de la cortisone et que je l’ai utilisée trop longtemps, après un moment, elle amincit la peau et ça n’aide plus à guérir les bobos. Donc, à utiliser avec modération.
3- Les téterelles (je sais, je n’avais jamais entendu ce mot de ma vie moi non plus) sont des embouts en silicone à porter directement sur les mamelons en allaitant pour créer un écran entre le sein et la bouche du bébé pour que ça fasse moins mal. Pour moi, ça m’a soulagée une semaine. Je pensais honnêtement que c’était un vrai miracle, je criais presque victoire. Mais après une semaine, ma petite a vite compris le subterfuge et refusait désormais le bout de silicone avec une moue de dégoût. C’était comme un plaster sur le bobo: ça soulage sur le coup, mais ça ne guérit pas. Mais si ça peut aider à ne pas lâcher, why not?!?
4- Finalement mon médecin m’a prescrit en crème deux des ingrédients de la crème du docteur Newman, mais de façon séparée: la Taro Mupirocin et la Clotrimaderm à appliquer 2 fois par jour seulement. C’est à partir de là que j’ai commencé à guérir. Enfin!
5- Ensuite, il faut se promener les seins à l’air le plus possible et ne pas porter de pads d’allaitements humides. Il faut que ça sèche pour que ça guérisse. J’avais même un petit éventail en papier et je me séchais les mamelons après chaque tétée (je sais, au revoir le sex appeal, mais il faut ce qu’il faut).
En terminant, j’ai juste envie de m’adresser aux nouvelles mamans qui, comme moi, ont de la misère avec l’allaitement, mais qui aimeraient vraiment que ça fonctionne. J’ai juste envie de vous dire: lâchez pas, vous êtes extraordinaires, vous n’êtes pas seules et surtout, vous êtes normales!
Parce que c’est ça qu’on a envie d’entendre quand on est une nouvelle maman et qu’on est inquiète de tout.
C’est NORMAL de trouver ça difficile, c’est NORMAL d’avoir besoin d’aide, c’est NORMAL d’être découragée, c’est NORMAL de pleurer et c’est aussi NORMAL d’arrêter l’allaitement si on n’est juste plus capable.
Je vous serre fort dans mes bras et sur ce, je retourne allaiter ma merveille!
Au cours de l’été dernier, alors qu’elle était enceinte de son premier enfant, la comédienne Mirianne Brûlé a partagé un premier texte sur TPL Moms. Elle se confiait alors sur son immense joie à l’idée de bientôt devenir maman.
Elle a par la suite continué de partager son expérience en abordant notamment ses dilemmes face à sa valise d’hôpital et les craintes qui la guettaient quelques semaines avant son accouchement.
Aujourd’hui, elle fait partie de la communauté des TPL Moms et continuera à dévoiler ici sa belle aventure maternelle.
On a donc voulu lui poser quelques questions pour vous permettre de mieux la connaître!
1.Décris-toi en quelques mots!
Une fille vraie, intense, curieuse, loyale, qui aime profiter de la vie et les échanges humains.
2. Depuis quand est-ce que tu lis TPL Moms?
Depuis que je suis tombée enceinte en décembre 2018.
View this post on Instagram3. Parles-nous un peu de ton quotidien de maman!
Ma fille a 2 mois. Je suis une maman gaga, je l’allaite et je suis en fusion avec elle. J’adore mettre de la musique et danser pour la faire rire. On a de grandes conversations de aheu-ouha-grrrou, son sourire fait fondre mon coeur et celui de papa. Je ne dors pas beaucoup et je trouve ça difficile par bouts, les petites nuits, mais je prends mon rythme petit à petit. J’apprends tous les jours.
Dans un mois, on part pour le Costa Rica (son papa habite là-bas et on a un resto là-bas) pour quelques mois; je suis excitée de cette nouvelle étape avec ma famille. Nous sommes revenus au Québec à 2 et nous allons revenir au Costa Rica à 3! ?
4. De quoi parleront tes chroniques avec TPL Moms?De mon expérience de nouvelle maman et de ma vie d’expat’ dans un autre pays avec un petit bébé.
5. Qu’est-ce qui te rend le plus heureuse?Les rencontres humaines, être entourée des gens que j’aime, la nature, partager des expériences nouvelles, voyager, manger. ?
6. Quel est LE conseil que tu aimerais donner aux mamans (et/ou aux papas)?Suivre son instinct. Ne pas se juger, faire du mieux qu’on peut et, surtout, ne pas se comparer. Chaque enfant est unique et chaque maman et papa l’est tout autant.
View this post on InstagramPour en savoir plus sur la vie d’expat’ de Mirianne et sa famille, gardez l’oeil ouvert!
Mirianne Brûlé fêtera bientôt le premier mois de naissance de son tout premier enfant, la petite Camila, qu’elle a eu avec son amoureux, Leo. Depuis l’arrivée de sa fille, Mirianne semble filer le parfait bonheur. Elle apprend et apprivoise son nouveau quotidien de maman au gré des nombreux premiers moments de son bébé qui la font souvent pleurer de joie. C’est tout un changement d’avoir un bébé, même pour la personne qui l’a porté comme l’a montré Mirianne en partageant un cliché post-partum de son ventre suivant son accouchement. La comédienne n’en revient toujours pas comment le corps s’adapte, et malgré la fatigue, elle tente le mieux qu’elle peut de prendre soin d’elle.
Pour ce qui est de Camilla, on peut dire qu’elle vole la vedette sur le compte Instagram de sa maman tant elle est mignonne! La plus récente photo publiée par Mirianne le prouve bien, alors que Camilla arbore une mine de surprise vraiment rigolote, et que dire de ses beaux yeux bleus. Mirianne a décrit l’expression faciale de sa fille de la manière parfaite : « Baby it’s cold outside. Sa face quand je lui dis qu’il fait 12 degrés dehors! »
C’est pas mêlant, on la croquerait!
Regardez cette publication sur InstagramLa belle Mirianne Brûlé célèbre ce week-end la toute première semaine de vie de sa petite Camila! Pour l’occasion, la comédienne a partagé un touchant texte lundi matin mettant en lumière sa nouvelle vie de maman, alias le rôle qu’elle a toujours rêvé d’obtenir.
« Elle est parfaite. Je réalise tout doucement que ce petit être si mini et si fragile est ma fille, j’en pleure de joie par moment. Nous sommes dans l’apprentissage, l’apprivoisement et l’adaptation. Je suis follement amoureuse et extrêmement fatiguée (jamais été aussi fatiguée de ma vie), j’allaite sans arrêt – ce qui ne se fait pas sans douleur pour le moment (ouch!) -, mon corps reprend tranquillement ses repères après l’accouchement », a-t-elle déclaré sur Instagram en début de semaine, nous montrant également la petite binette de sa princesse.
Voir cette publication sur InstagramPlus tôt, au cours de la fin de semaine, Mirianne a aussi partagé un cliché de type « avant-après » dans ses stories, montrant son joli baby bump et son mignon ventre post-partum. « Parce que j’étais super curieuse de ça… Voici à quoi ressemble mon ventre une semaine post-partum. C’est fou comment le corps humain s’adapte et, ceci étant dit, nous sommes toutes différentes. L’important, c’est de prendre soin de soi », a-t-elle souligné.