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Marie-Andrée d’OD forcée de faire une mise au point

Parfois lorsque l’on fait une blague… ce n’est pas tout le monde qui la comprend!

C’est effectivement ce qui est arrivé à Marie-Andrée, ancienne candidate d’Occupation Double Andalousie.

La jeune femme avait publié un montage photo en story Instagram dans lequel elle fait semblant d’avoir été enceinte de ses chats.

En effet, le montage photo séparé en quatre sections montre une fausse image de Marie-Andrée enceinte, une fausse échographie avec la tête de ses deux chats, ses deux minets dans un panier à linge ainsi que les deux boules de poil à l’âge adulte.

Suite à cette publication sur les réseaux sociaux, plusieurs internautes ont pensé que Marie-Andrée annonçait une grossesse…

La jeune femme a donc dû rectifier le tir sur ses réseaux sociaux et mentionner que ce n’était qu’une blague.

«La gang, je ne suis pas enceinte. Me semble la joke était claire», a écrit Marie-Andrée en story Instagram, visiblement un peu découragée.

On dirait que ses fans ont bien hâte qu’elle fonde une famille avec son cher Anthony…

Une chose à la fois!

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Doc Mailloux : La Presse contre-attaque

Selon le journaliste Mathieu Lamothe du Nouvelliste, La Presse aurait décidé de mettre en demeure à son tour le Doc Mailloux, après qu’une entente à l’amiable soit survenue dans une première affaire les opposant.

Rappelons que l’on rapportait hier (29 novembre) que Pierre « Doc » Mailloux avait accepté une offre de règlement qu’il jugeait « satisfaisante » après qu’il ait décidé de poursuivre La Presse et sa chroniqueuse Rima Elkouri pour des écrits qui, selon lui, portaient atteinte à sa réputation.

Or, selon La Presse, le Doc Mailloux a commis une erreur en partageant ses états d’âme sur des ondes radiophoniques, puisque l’entente à l’amiable aurait été assortie d’une clause de confidentialité.

Selon le quotidien et Rima Elkouri, Pierre Mailloux aurait tenu ainsi des propos qui « laissent croire indûment que ces dernières vous ont dédommagé substantiellement pour le préjudice découlant de l’affirmation non fondée sur des faits solides et vérifiables voulant que vous soyez raciste et que nos clientes n’auraient pas été en mesure d’établir ce fait », selon ce que l’on pourrait lire dans la mise en demeure soumise par les avocats de La Presse et de Mme Elkouri, des informations toujours obtenues et rapportées par Le Nouvelliste et Mathieu Lamothe.

La mise en demeure ordonnerait au Doc Mailloux de non seulement se rétracter publiquement et de rembourser la somme obtenue par le règlement hors cour, mais aussi de payer 100 000$ en dommages-intérêts et réparation.

Une contre-attaque en bonne et due forme de La Presse.

Le Docteur Mailloux n’aurait cependant pas semblé intimidé, et aurait déclaré au Nouvelliste attendre la suite « avec impatience », et que si « un cuisinier tolère mal la chaleur, il a avantage à sortir de la cuisine ou à ne pas se tenir proche des fourneaux ».

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Making A Murderer : La série presque tuée par le Wisconsin

Alors que la tornade Making A Murderer continue de balayer l’Amérique du Nord et d’alimenter les discussions partout dans le monde, les deux réalisatrices de la série documentaire diffusée par Netflix ont révélé que le projet aurait pu être stoppé net par l’État du Wisconsin.

C’est que les autorités du Wisconsin ont décidé de mettre en demeure Moira Demos et Laura Ricciardi en cours de production, afin de prendre possession de tout le matériel filmé par ces dernières.

Si un juge avait tranché en faveur de l’État du Wisconsin, Making A Murderer n’aurait tout simplement jamais vu le jour.

« Nous avons dû engager un avocat pour faire casser le subpoena, et nous avons réussi. Si l’État avait gagné, il serait parvenu à stopper la production », expliquent Demos et Ricciardi lors d’une période de questions sur Twitter.

Making A Murderer est la série à sensation depuis le mois de décembre dernier, alors que de nombreuses personnalités et de nombreux citoyens de partout se sont insurgés contre les pratiques des autorités du Wisconsin et du comté de Manitowoc dans l’affaire de Steven Avery, actuellement emprisonné pour un meurtre pour lequel ce dernier clame son innocence.

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Grossesse : attention aux antinauséeux

Le Devoir rapporte quelques statistiques et la publication d’une lettre ouverte concernant les antinauséeux, dont un en particulier, et les problèmes qui peuvent s’y rattacher.

On rapporte d’abord que 80 % des femmes enceintes québécoises se font prescrire des antinauséeux au cours de leur grossesse. De ce nombre, une grande majorité se verra offrir du Diclectin, l’antinauséeux justement visé par les avertissements rapportés.

Plusieurs médecins estiment que le Diclectin est à utiliser avec prudence, bien que l’on ne veuille pas créer un sentiment de panique chez les femmes québécoises et d’ailleurs.

La Société des obstétriciens gynécologues du Canada (SOGC) souhaite simplement sensibiliser les médecins et les femmes au phénomène, et estime que les médicaments ne devraient pas être la première solution désignée pour contrer des problèmes de nausée lors de la grossesse.

On estime à 33 millions le nombre d’utilisatrices du Diclectin.

La lettre de mise en garde en question a été publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology of Canada (JOGC).

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Inquiétudes à l’hôpital de Granby

Quelques inquiétudes planent du côté de l’hôpital de Granby, alors que la direction de l’établissement a fait savoir à plusieurs patients qu’ils étaient à risque d’avoir contracté une infection à la suite de leur passage entre 2005 et 2012.

Les craintes découlent de la découverte qu’une plaque d’impaction n’avait pas été démontée et nettoyée correctement au cours de cette période, rapporte Radio-Canada.

Cet instrument est utilisé pour des chirurgies de remplacement total de la hanche, et les patients ayant subi ce genre d’intervention entre 2005 et 2012 sont visés par la mise en grade. Au total, 172 patients devront retourner à l’hôpital de Granby pour y subir des tests.

Les personnes hospitalisées après le mois de janvier 2012 n’auraient aucune raison de s’inquiéter, semble-t-il.

Pour obtenir plus d’informations sur la mise en garde effectuée par l’hôpital de Granby, il est possible de le faire en contactant l’équipe de spécialistes responsable au (450) 375-8000 #2654.

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Polémique grandissante concernant le vaccin Gardasil

C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.

« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.

Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.

Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.

Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.

Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.

Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.

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Mytravelchic.com mise sur les escapades culturelles

Le site Mytravelchic.com propose de nouveaux séjours couplant nuits d’hôtel et billets pour des expositions dans les grandes villes européennes.

L’un des derniers-nés du secteur des voyages en ligne — le site existe depuis juin 2011 — surfe sur la tendance des city-breaks. Les courts séjours culturels dans une ville européenne séduisent de plus en plus de clients.

Mytravelchic.com, spécialisé dans le haut de gamme à prix réduit via le système des ventes privées, enrichit son offre et propose une quinzaine de séjours associant deux nuits d’hôtel à des entrées pour l’une des grandes expositions artistiques du moment en Europe.

Les clients peuvent par exemple opter en ce moment pour un séjour à Londres et l’exposition Paul Klee au Tate Modern, qui se tient jusqu’au 9 mars 2014, Barcelone et le musée Picasso avec l’expo Journey through the blue jusqu’au 19 janvier, ou encore choisir de faire un saut à Paris tout en profitant d’un billet coupe-file pour la rétrospective consacrée à Georges Braque au Grand Palais.

Venise et l’art contemporain à la Fondation François Pinault, Budapest et l’expo consacrée à Chagall à la Galerie nationale hongroise, Madrid et la présentation des oeuvres de Velasquez au Prado font aussi partie des offres.

Les forfaits proposés se déclinent généralement avec ou sans transport.

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Le mélange de vodka et de Red Bull serait plus dommageable qu’on le croit

Un professeur spécialiste australien s’inquiète de la banalisation du phénomène vodka-Red Bull, qui consiste à mélanger les deux produits lors de fêtes bien arrosées afin d’obtenir une plus grande capacité de consommation.

Selon le professeur Peter Miller, explique le Daily Mail (UK), plusieurs études récentes ont banalisé les impacts potentiels sur la santé de ce genre de comportement, et se basent surtout sur des données de faible consommation (comme consommer un seul Red Bull et quelques verres).

Or, il croit que ceci ne reflète en rien la réalité, et qu’une nouvelle génération de fêtards empile plutôt verre après verre, encouragés par leur insouciance et le dépôt de ces études.

De plus, Miller souligne aussi qu’une portion non négligeable de ces recherches ont été financées… par Red Bull!

Avec la montée en flèche de la popularité des verres comme la vodka-Red Bull, Peter Miller s’indigne de cette désinformation et du manque d’études exhaustives sur le sujet. Il rappelle en terminant que ces boissons ne sont pas faites pour être mélangées, d’autant plus qu’on en sait très peu sur les réels impacts des boissons énergisantes à la base et en soi.

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Le traitement de l’allergie aux produits laitiers pas encore au point

Il existe un traitement contre l’allergie aux produits laitiers, qui frappe beaucoup de gens et notamment des jeunes, mais qui semble ne pas encore donner tous les résultats escomptés, explique The National Library of Medicine.

Selon cette nouvelle étude sur le sujet, la thérapie dite « progressive » permet de belles améliorations, en réhabituant le corps avec de petites doses, pour ensuite augmenter celles-ci petit à petit.

Or, si le traitement semble fonctionner pendant un certain temps, les spécialistes avouent avoir du mal à faire durer l’effet sur une très longue période de temps.

Des recherches précédentes prévoyaient un bel avenir à cette façon de faire, mais l’étude à long terme démontre qu’il reste encore beaucoup de travail à faire.

On craint notamment les réactions subites bien longtemps après qu’un adolescent, par exemple, ait été traité.

On veut donc s’assurer de procéder avec précautions pour la sécurité des patients, jeunes et moins jeunes, mais on demeure convaincu, du côté des spécialistes, que le traitement est très prometteur.

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L’Union Européenne attaque les colorations capillaires

Les teintures n’ont jamais fait l’unanimité en santé, et certains spécialistes déconseillent toujours à certaines personnes d’avoir recours à ce genre de coloration capillaire.

C’est maintenant au tour de l’Union Européenne d’attaquer le problème et de tenter de sensibiliser la population aux risques inhérents aux teintures chimiques.

On rapporte au moins deux décès en lien avec ces teintures en 2011, deux femmes en bas de quarante ans, selon Top Santé.

D’autres problèmes ont été rapportés, notamment des démangeaisons, des brûlures, des troubles respiratoires et même la perte de cheveux, dans certains cas.

Si plusieurs personnes ne subissent aucun effet secondaire à la suite de l’utilisation d’une coloration industrielle non naturelle, on souhaite cependant que les avertissements soient beaucoup plus visibles, et qu’un timbre de test d’allergie soit proposé dans chaque emballage.

« L’avertissement est placé sur un côté du produit. Cela ne saute pas aux yeux comme les avertissements des paquets de cigarettes », explique le Dr White, dermatologue au St Thomas Hospital, qui publie ce rapport.

Il appelle donc à la prudence et croit qu’il faut être attentif aux premiers symptômes et effets secondaires observables à la suite d’une coloration, puis ne pas tarder à consulter un médecin si c’est le cas.