Catégories
Uncategorized

Le café est-il bon pour la santé? Probablement, à dose modérée

(PARIS-AFP) – Le café est-il bon pour la santé? Probablement oui, à condition de ne pas en abuser, répondent en substance la grande majorité des 150 études parues depuis le début de l’année sur le sujet à travers le monde.

Ingurgité à des doses variables, selon les études, le café pourrait avoir un effet positif sur les maladies cardio-vasculaires, les cancers digestifs, le diabète et les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

Il réduirait même le risque de décès de 10 % chez les adultes de 50 à 71 ans buvant trois tasses de café par jour, comparativement à ceux qui n’en consomment pas, selon une étude effectuée sur 400 000 personnes et publiée par l’Institut national américain du cancer.

L’une des boissons les plus consommées au monde après l’eau, le café a longtemps eu une mauvaise image, suspecté de favoriser certaines maladies cardiovasculaires et certains cancers comme ceux du rein et de la vessie, en plus d’avoir un effet néfaste sur le développement du foetus.

Les innombrables études réalisées depuis 20 ans ont largement balayé ces craintes. « Elles montrent que le café est plutôt bénéfique s’il est consommé en quantité modérée, soit 200 à 300 mg de caféine par jour », note Astrid Nehlig, directrice de recherche à l’Inserm et spécialiste des effets du café sur la santé.

Il semble toutefois difficile de déterminer ce qui, de la caféine ou des autres molécules présentes dans le café, comme les polyphénols (qui ont un effet antioxydant), est à l’origine des effets bénéfiques sur les diverses pathologies.

Catégories
Uncategorized

Une consommation modérée d’alcool améliore la qualité de vie

Les personnes qui consomment modérément et régulièrement de l’alcool auraient une meilleure qualité de vie que les personnes qui ne boivent pas du tout, révèle une étude publiée dans le Journal of Study on Alcohol and Drugs.
 
5404 personnes de 50 ans et plus au début de l’étude ont été suivies par une équipe de chercheurs de l’Université de Boston. On constate que pour la majorité des gens, la consommation d’alcool demeure stable pendant environ six ans.
 
Les consommateurs modérés prenaient en moyenne 1 à 3 boissons alcoolisées par semaine, mais pas plus de trois par jour pour les femmes et quatre par jour pour les hommes.
 
31,4 % des gens ont réduit leur consommation au cours de l’étude pour des raisons qui demeurent floues. On croit toutefois qu’avec l’âge, l’interaction sociale devient moins grande, ce qui peut également réduire la consommation d’alcool.
 
Comparativement aux abstinents, l’étude révèle que les buveurs modérés ont une meilleure qualité de vie, et ce, dès le début de l’étude. Cela a perduré tout au long de la recherche.
 
Par contre, ceux qui ont réduit leur consommation ont aussi vu leur qualité de vie être réduite.
 
Catégories
Uncategorized

2 h de jogging par semaine prolonge la vie de six ans

Lors de la rencontre EuroPRevent 2012 de l’European Society of Cardiology, des chercheurs ont dévoilé que faire deux heures de jogging par semaine à une intensité modérée peut prolonger la vie de six ans.
 
L’étude, qui a débuté en 1976 avec 20 000 personnes de 20 à 93 ans, a déjà fait l’objet de 750 publications.
 
Cette fois, l’auteur et cardiologue Peter Schnohr mentionne que le jogging est effectivement bon pour la santé, excepté qu’il faut en faire avec modération.
 
« La relation est comparable à celle de la consommation d’alcool. La mortalité est plus faible chez les personnes pratiquant un jogging modéré et régulier que chez les non-coureurs ou ceux qui pratiquent le jogging à un niveau extrême », explique Dr Schnohr.
 
Depuis des années, on croyait que le jogging pouvait être une activité trop intense pour les adultes d’âge moyen, mais la clé est d’en faire modérément et régulièrement.
 
Il n’est donc pas nécessaire de faire beaucoup de jogging pour en retirer les bénéfices. Deux heures par semaine augmentent de 6,2 ans la vie des hommes et de 5,6 ans la vie des femmes.
 
Catégories
Uncategorized

L’alcool pendant la grossesse serait bénéfique pour l’enfant

Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.

Les spécialistes australiens ont fourni les renseignements à la suite de l’étude de cas de 2 300 enfants âgés de 2 à 14 ans dont la mère buvait modérément pendant la grossesse (2 à 6 consommations par semaine). Il semble que ces enfants étaient plus équilibrés émotionnellement que ceux nés d’une mère qui s’était abstenue de tout alcool pendant la grossesse.
 
La seconde étude a été menée auprès de 11 500 enfants nés de mères qui consommaient légèrement pendant leur grossesse, soit de 1 à 2 consommations par semaine. Ces enfants ont obtenu des scores plus élevés aux tests cognitifs soumis.
 
La publication de ces données offense plusieurs corps médicaux. « On dirait plutôt une étude psychologique, et non une étude médicale », rapporte Edward Holt, obstétricien à Abilene. Un pédiatre du même institut, Justin Smith, se range du même côté, comme plusieurs autres collègues.
 
« Il n’y a aucune étude définitive et concluante à propos de la consommation d’alcool chez les femmes enceintes. Celle-ci ne fait pas exception », affirme Smith. « Le mot d’ordre demeurera le même, c’est-à-dire de conseiller l’abstinence de consommation, plutôt que de risquer la santé de la patiente et de l’enfant », poursuit le pédiatre.
Catégories
Uncategorized

Boire modérément procurerait une meilleure santé?

Une étude française démontre que les personnes qui boivent de l’alcool de façon modérée (2 verres par jour environ) ont une meilleure santé que celles qui ne boivent pas du tout ou qui boivent trop.
 
Après avoir analysé les données de 150 000 personnes dont la moyenne d’âge était de 47 ans, on constate que les buveurs modérés ont un indice de masse corporelle plus adéquat, des risques de maladies cardiovasculaires moindres et sont moins dépressifs. Même leur niveau d’activité physique et leur niveau socio-professionnel seraient meilleurs, mentionne l’European Journal of Clinical Nutrition.
 
Selon l’endocrinologue Boris Hansel, il faut toutefois arrêter de trouver des excuses santé à la consommation d’alcool, puisque plusieurs facteurs peuvent jouer un rôle. Par exemple, un cadre d’entreprise ne boira pas de la même façon qu’un ouvrier. De plus, il y aurait un facteur génétique à la faculté de gérer sa consommation d’alcool.
 
« Il n’y a aucune raison de penser que l’alcool augmente le niveau socio-professionnel. Ce qu’on voit clairement ici, c’est que les buveurs modérés sont des gens qui par ailleurs ont un mode de vie plus sain. Le fait de boire modérément est un marqueur de meilleur niveau social, de meilleur mode de vie, un marqueur de santé a priori », explique le Dr Hansel.
 
On remarque également que la consommation d’alcool augmente avec l’âge, sauf pour les moins de 30 ans où le vin est très populaire.